Citations sur boileau

Tous mes sots à la fois, ravis de l'écouter, Détonnant de concert se mettent à chanter

Il faut de nécessité que tout ce que nous avons dit arrive en lui

Le feu sort de vos yeux pétillants et troublés ; Votre pouls inégal marche à pas redoublés

C'est par là que Molière illustrant ses écrits...

La raison, pour marcher, n'a souvent qu'une voie

À peine ai-je senti cette liqueur traîtresse, Que de ces vins mêlés j'ai reconnu l'adresse

La fourmi, tous les ans traversant les guérets, Grossit ses magasins des trésors de Cérès

Ces doucereux Renauds, ces insensés Rolands

Et sous l'appui des lois mit la faible innocence

Et le mont la [une habitation] défend des outrages du nord

Quoi ! ce critique affreux n'en sait pas plus que nous !

Lui donne toutefois la bénédiction

Leur appétit fougueux, par l'objet excité, Parcourt tous les recoins d'un monstrueux pâté

Couraient chercher le ciel au travers des épines

On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau

Par ce doute où il l'embarrasse lui-même, il enjoue sa narration et occupe agréablement le lecteur

Mais Evrard, en passant coudoyé par Boirude, Ne sait point contenir son aigre inquiétude

Je laisse aux plus hardis l'honneur de la carrière

Écho n'est plus un son qui dans l'air retentisse, C'est une nymphe en pleurs qui se plaint de Narcisse

Le moine secoua le cilice et la haire

Oh ! que j'aime bien mieux cet auteur plein d'adresse Qui, sans faire d'abord de si haute promesse, Me dit d'un ton aisé, doux, simple, harmonieux....

Quand Dieu viendra juger les vivants et les morts, Et des humbles agneaux, objet de sa tendresse, Séparera des boucs la troupe pécheresse

Fuyez des mauvais sons le concours odieux

Attendant son destin d'un quatorze ou d'un sept, [il] Voit sa vie ou sa mort sortir de son cornet

Quoi ! pour un maigre auteur que je glose en passant