Citations sur boileau

Alors, sans consulter si Phébus l'en avoue

Le pain bis, renfermé, d'une moitié décrut

Entre ces deux excès la route est difficile

L'autre broie en riant le coloris des moines

Je ne sais pas pourquoi l'on vante l'Alexandre ; Ce n'est qu'un glorieux qui ne dit rien de tendre

Au moindre bruit qui court qu'un auteur les menace

Il [le chantre] saisit, en pleurant, ce rochet qu'autrefois Le prélat trop jaloux lui rogna de trois doigts

Ainsi tel.... S'en va, mal à propos, d'une voix insolente, Chanter du peuple hébreu la fuite triomphante, Et, poursuivant Moïse au travers des déserts, Court avec Pharaon se noyer dans les mers

Le nouveau roi [le faux honneur] triomphe, et, sur ce droit inique, Bâtit de vaines lois un code fantastique

Boileau, qui, dans ses vers pleins de sincérité, Jadis à tout son siècle a dit la vérité, Qui mit à tout blâmer son étude et sa gloire, A pourtant de ce roi parlé comme l'histoire

Ou d'un plomb qui fuit l'oeil et part avec l'éclair, Je vais faire la guerre aux habitants de l'air

Pour tirer l'homme enfin de ce désordre extrême, Il fallut qu'ici-bas Dieu, fait homme lui-même, Vînt du sein lumineux de l'éternel séjour.... à l'aspect de ce Dieu les démons disparurent

Mais d'un bouge prochain accourant à ce bruit....

Demandez à Juvénal ce qui l'oblige de prendre la plume, c'est qu'il est las d'entendre et la Théséide de Codrus et....

La déesse, en entrant, qui voit la nappe mise, Admire un si bel ordre

L'âge viril, plus mûr, inspire un air plus sage, Se pousse auprès des grands, s'intrigue, se ménage

Aussitôt de longs clous il prend une poignée

Que toujours, dans vos vers, le sens coupant les mots Suspende l'hémistiche, en marque le repos

Le droit de bandite est un droit de copropriété créé du consentement des communes et des habitants, à prix d'argent, en faveur d'acquéreurs déterminés, de leurs héritiers....

Le superbe animal [un taureau], agité de tourments, Exhale sa douleur en longs mugissements

Se faire estropier sur les pas des Césars

L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé

La pierre, la colique et les gouttes cruelles.... De travaux douloureux le viennent accabler, Sur le duvet d'un lit, théâtre de ses gênes, Lui font scier des rocs, lui font fendre des chênes

Mais le prélat vers lui fait une marche adroite, Il l'observe de l'oeil

Qu'on est assis à l'aise aux sermons de Cottin