Citation c est une longue
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Une Sélection de 20 citations et proverbes sur le thème c est une longue.
20 citations
Si les civilisations anciennes ont donné aux vieillards une part si importante dans la cité, c'est que, jusqu'à une époque récente, l'environnement changeait avec lenteur. L'expérience plus longue qu'ils en avaient était plus significative.
DROMIO. --Mon maître, si vous devez goûter de la soupe, commandez donc
auparavant une longue cuiller.
ANTIPHOLUS. --Pourquoi, Dromio ?
DROMIO.--Vraiment, c'est qu'il faut une longue cuiller à l'homme qui
doit manger avec le diable.Il est difficile au sage d'avoir une longue conversation avec l'insensé; mais il ne lui est pas possible de se taire toujours.
Je rêve que je n'ai plus qu'une molaire dans la partie supérieure de la mâchoire et que cette molaire ne tient plus; en effet, je la déchausse avec les doigts; la dent est longue, une racine très profonde.
La vie est un jeu de mots dont l'à-peu-près nous contente. La vie est une longue phrase peu ponctuée, mais avec beaucoup de parenthèses.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Les gens, écrire, pour eux, c'est comme une longue conversation que l'on aurait avec soi-même, comme une confession devant le prêtre de la famille (...), et pour d'autres, écrire c'est comme se coucher devant un monsieur ou une demoiselle Freud.
Parler, c'est suspect. Quand on parle de sa vie, longue ou courte, brève et tragique ou d'une durée défiant l'entendement, on impose à son public une continuité, et cette continuité est un mensonge.
On n'arrive au style qu'avec un labeur atroce, avec une opiniâtreté fanatique et dévouée. Le mot de Buffon est un grand blasphème: le génie n'est pas une longue patience, mais il a du vrai et plus qu'on ne le croit de nos jours surtout.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »Consacrer les ressources du génie à soutenir une cause dangereuse, c'est arroser une plante vénéneuse avec de l'élixir de longue vie.
Je regardais la mer qui, à cette heure, se soulevait à peine d’un mouvement épuisé et je rassasiais les deux soifs qu’on ne peut tromper longtemps sans que l’être se dessèche, je veux dire aimer et admirer.Car il y a seulement de la malchance à n’être pas aimé : il y a du malheur à ne point aimer. Nous tous, aujourd’hui, mourons de ce malheur. C’est que le sang, les haines décharnent le cœur lui-même ; la longue revendication de la justice épuise l’amour qui pourtant lui a donné naissance. Dans la clameur où nous vivons, l’amour est impossible et la justice ne suffit pas. C’est pourquoi l’Europe hait le jour et ne sait qu’opposer l’injustice à elle-même. Mais pour empêcher que la justice se racornisse, beau fruit orange qui ne contient qu’une pulpe amère et sèche, je redécouvrais à Tipasa qu’il fallait garder intactes en soi une fraîcheur, une source de joie, aimer le jour qui échappe à l’injustice, et retourner au combat avec cette lumière conquise.
Plus tard, Flaubert, que je voyais quelquefois, se prit d'affection pour moi. J'osai lui soumettre quelques essais. Il les lut avec bonté et me répondit : « Je ne sais pas si vous aurez du talent. Ce que vous m'avez apporté prouve une certaine intelligence, mais n'oubliez point ceci, jeune homme, que le talent — suivant le mot de Chateaubriand — n'est qu'une longue patience. Travaillez. »
Très bien, tu crois que ce sont des idiots, tu les détestes à cause de leur morale, leur bonheur est la source de ta frustration et de ton ressentiment. Mais ce sont là de terribles ennemis que tu portes en toi, à la longue aussi destructifs que des balles. La balle tue sa victime avec clémence. Cette autre bactérie que l'on laisse vieillir ne tue pas un homme mais laisse dans son sillage la carcasse d'une créature déchirée et pervertie ; il y a encore du feu dans son être mais on l'entretient en y jetant des fagots de mépris et de haine. Il amassera peut-être des richesses, mais il n'amassera pas de réussites, car il est son propre ennemi et il est incapable de jouir vraiment de ses oeuvres.
Si l'on considère la langue comme une vieille ville avec son inextricable réseau de ruelles et de places, ses secteurs qui ramènent loin dans le passé, ses quartiers assainis et reconstruits et sa périphérie qui ne cesse de gagner sur la banlieue, je ressemblais à un habitant qui, après une longue absence, ne se reconnaîtrait pas dans cette agglomération, ne saurait plus à quoi sert un arrêt de bus, ce qu'est une arrière-cour, un carrefour, un boulevard ou un pont. L'articulation de la langue, l'agencement syntaxique de ses différents éléments, la ponctuation, les conjonctions et jusqu'aux noms désignant les choses les plus simples, tout était enveloppé d'un brouillard impénétrable.
Vraiment, mon divin ange , je ne savais pas que vous eussiez enterré votre médecin. Je ne sais rien de si ridicule qu'un médecin qui ne meurt pas de vieillesse ; et je ne conçois guère comment on attend sa santé de gens qui ne savent pas se guérir : cependant il est bon de leur demander quelquefois conseil, pourvu qu'on ne les croie pas aveuglément. Mais comment pouvez-vous prendre les mêmes remèdes, madame d'Argental et vous, puisque vous n'avez pas la même maladie ? c'est une énigme pour moi. Tout ce que je puis faire, c'est de lever les mains au ciel, et de le prier de vous accorder une vie très longue, très saine, avec très peu de médecins.
Vraiment, c'est qu'il faut une longue cuiller à l'homme qui doit manger avec le diable.
Le présent le plus cher à mon coeur est le trésor d'images que nous gardons en mémoire après une longue vie et vers lequel nous nous tournons avec un nouvel intérêt lorsque notre activité décroît.
L'homme imaginant (1970) de Henri Laborit
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La Comédie des Méprises (1592) de William Shakespeare
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Sans référence de Théognis de Mégare
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Journal en miettes (1967) de Eugène Ionesco
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Le livre de la déraison souriante (1991) de Robert Sabatier
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Alabama Song (2007) de Gilles Leroy
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Le Don du loup (2013) de Anne Rice
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Correspondance I, A Louise Colet, 15 août 1846 de Gustave Flaubert
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Une course à Chamounix (1838) de Adolphe Pictet-Cazenove
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L’été, « Retour à Tipasa » (1952) de Albert Camus
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Préface de Pierre et Jean, La Guillette, Etretat, septembre 1887 de Guy de Maupassant
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De sang-froid (1965) de Truman Capote
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Austerlitz (2001) de W. G. Sebald
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Lettre à Monsieur le Comte d'Argental, 6 novembre 1767 de Voltaire
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La Comédie des Méprises (1592) de William Shakespeare
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Eloge de la vieillesse de Hermann Hesse
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