Citation ou au soir
Découvrez une citation ou au soir - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase ou au soir issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 50 citations et proverbes sur le thème ou au soir.
50 citations
Un soir, au moment où le couvre-feu sonnait à tous les beffrois de Paris, les sergents du guet, s'il leur eût été donné d'entrer dans la redoutable cour des Miracles, auraient pu remarquer qu'il se faisait dans la taverne des truands [...]
Elle imagine l'avenir. Pile, elle s'imagine sous les traits de toutes les femmes au charme discret et aux robes élégantes qu'elle aperçoit furtivement au générique des films qu'elle n'a pas le droit de regarder le soir, sans forcement penser à un métier, ou bien sous ceux de de cette fille brune aux cheveux courts avec ses chiens et son ticket Millionnaire. Face ? Elle n'imagine rien. La vie ne semble pas possible pour une fille qui est du mauvais côté, celui de la disgrâce.
Julien, indigné de sa lâcheté, se dit: Au moment précis où dix heures sonneront, j'exécuterai ce que, pendant toute la journée, je me suis promis de faire ce soir, ou je monterai chez moi me brûler la cervelle.
On voit ainsi apparaître des types d'habits ou de bagages inconnus au siècle précédent. Pour les déplacements d'une durée de quelques jours, la règle est de s'encombrer le moins possible. Le voyageur n'emporte qu'une paire de culottes très souples qui ne représente, une fois pliée, qu'un petit volume, une paire de bas de soie, deux chemises très fines, deux ou trois cravates, trois mouchoirs, une paire d'escarpins dans lesquels on loge une petite trousse contenant un rasoir, du fil, des aiguilles et des ciseaux.
J'appartenais au monde de ces enfants qui regardent la télévision le matin au réveil, jouent au football toute la journée dans les rues peu fréquentées, au milieu de la route, dans les pâtures qui s'étendent derrière leur maison ou en bas des blocs, qui regardent la télévision, encore, l'après-midi, le soir pendant des heures, la regardent entre six et huit heures par jour.
Tout est en règle explique M. Kim avec satisfaction. Comment pourrait-il en être autrement dans ce périple prévu à l'avance, checké chaque matin, cadenassé heure par heure, où nous savons où nous serons ce soir, demain et après-demain à la minute près ? Jamais nous ne serons en promenade, pris par l'aventure, la fantaisie de la découverte, jamais nous ne goûterons au sucré-salé des imprévus et des hasards. Impossible de s'arrêter là, de faire un tour ici, sous les érables, vers ces grottes aux peintures rupestres, d'aller humer ce rivage où cogne la mer de l'Est et ses rouleaux d'écume (trois rangées de barbelés nous en empêchent), non, nous roulons sur des rails invisibles, guidés par des murs transparents, menottés à nos hôtes-geôliers. Même civile, notre estafette est un fourgon policier qui nous transfère de cellule-hôtel en ressort de détention. Pas envisageable de sympathiser avec les matons. Et je dois avoir, en plus de mon nom étranger, un numéro de matricule sur le dos, du genre : I-739. I comme intrus sur le territoire.
Voilà les hommes qui sollicitent nos suffrages et, de guerre lasse, les obtiennent. Ils nous représentent. Vous voyez maintenant qu'ils nous représentent mal, et même qu'ils ne nous représentent pas du tout. Quand on les voit s'effondrer en pantalonnades ou se gonfler en plastronnades, il faut bien se dire que, pendant ce temps, nous faisons tout autre chose ; nous construisons des usines, nous inventons des vaccins, nous écrivons des livres, labourons les champs, ou nous nous promenons main dans la main, sur les collines de thym et d'asphodèles. C'est à peine, si, en lisant le journal du soir, nous disons : « Qu'est-ce qu'ils ont encore fait, ces imbéciles ? » Jusqu'au jour, évidemment, où nous en aurons assez. Mais ce sera pour changer un cheval borgne contre un aveugle.
Le passé bouge et les miroirs sont imprévisibles. Chaque matin tu te réveilles en croyant être le même que la veille au soir, croyant reconnaître dans le miroir un visage identique, mais parfois, dans ton sommeil, tu as été bouleversé par de cruels lambeaux de douleurs ou de passions anciennes qui donnent au matin une lumière légèrement trouble, et ce visage qui te semble le même est sans cesse en train de changer, modifié minute après minute par le temps, comme un coquillage par le frottement du sable, par les coups et le sel de la mer. À chaque instant, même si tu te tiens immobile, tu changes de lieu et de temps grâce aux décharges chimiques infinitésimales en quoi consistent ton imagination et ta conscience.
La vie est un choix. Du matin au soir, tous les jours. A qui l'on parle, où l'on s'assoit, ce que l'on dit, comment on le dit. Notre vie est définie par nos choix. C'est aussi simple et aussi complexe que cela. Et aussi fort. Alors, quand j'observe, c'est ce que je cherche à observer. Le choix des gens.
Pour rien au monde nous n'aurions manqué cette fête de l'été. Parfois les orages d'août y mettaient fin vers le soir. Les champs alentour avaient été fauchés et la chaleur de la paille nous enivrait, nous transportait. Nous courions avec les gosses dans les chaumes piquants, pour faire lever des nuages de moustiques. Les 2 CV des bonnes sœurs roulaient à travers champs. Les groupes d'hommes se réunissaient pour regarder les concours de lutte bretonne, ou les jeux de palets. Il y avait de la musique de fanfare sans haut-parleurs, que perçaient les sons aigres des binious et des bombardes.
La mode n'est-elle pas d'avoir un soir chez une femme célèbre et cotée, comme on a un soir à l'opéra, au Français ou à l'Odéon, depuis qu'on y joue les demi-classiques?
Seuls les faits montrés à la télé accédaient à la réalité. Tout le monde avait un poste en couleur. Les vieux l’allumaient le midi au début des émissions et s’endormaient le soir devant l’écran fixe de la mire. En hiver les gens pieux n’avaient qu’à regarder Le Jour du Seigneur pour avoir la messe à domicile. Les femmes à la maison repassaient en regardant le feuilleton sur la première chaîne ou Aujourd’hui madame sur la deuxième. Les mères tenaient les enfants tranquilles avec Les Visiteurs du mercredi et Le Monde merveilleux de Walt Disney.
Pour garder la cadence imposée, on devait mobiliser l'ensemble de ses facultés; dès l'instant où le premier boeuf tombait et jusqu'au coup de sifflet de midi, puis de douze heure trente à Dieu sait quelle heure de l'après-midi ou du soir, jamais il n'y avait le moindre répit, ni pour la main, ni pour l'oeil, ni pour l'esprit.[...] Si un ouvrier n'arrivait pas à suivre, il y en avait des centaines d'autres sur le pavé qui ne demandaient qu'à s'essayer.
Au grenier, les lucarnes découpaient dans les murs des rectangles lumineux. Selon l'angle d'où je les regardais, ils changeaient de couleur. Allongée, ils étaient bleu-ciel; vert-feuille; debout, blancgravier-de-jardin. La lucarne arrière, c'était mon tableau de maître. Il existe des tableaux pivotants, des tableaux que l'on peut mettre la tête en bas, d'autres dont on fait varier l'inclinaison. Celui-là, sans y toucher, changeait du matin au soir.
La secrétaire occupait un ancien placard à linge sale, sans fenêtre, où l'électricité brûlait du matin au soir et n'ayant guère plusde largeur que sa machine à écrire.
Je n’ai jamais cru aux oracles. À l’instinct davantage. C’était donc moi sans être moi. C’était le monde, semblable en tout point, méconnaissable. Ce monde frappé d’un nouveau regard, ni triste, ni apitoyé, ce qui aurait rendu cette déformation passagère, non, ce retour célébrait d’impossibles retrouvailles. Les lieux, les objets, les décors étaient vidés de leur familiarité. Un vase bleu sur une cheminée, un fauteuil adossé au mur d’une chambre, un rideau que l’on tire le soir ou le matin. Les perspectives des villes ne rejoignent plus aucun récit.
Parfois l'enfant ne sait pas dire son chagrin,
Mais il entend, le soir, les étranges présages
Qui annoncent aux pierres blessées, à même le sol,
Leur libération, où il apprend que les pierres
Cœurs brisés, ont parfois l'éclat dur d'un langage.
Le bruit de la mer rugit au vestiaire
- Et un reproche ; mais cela même est rassurant :
Un reproche de moins entre lui et la mort…
Et là, sur le tapis devant la cheminée,
Il regarde l'enfer et voit son avenir
- Qui sait, peut-être une chambre de chauffe ?-
Pourtant, l'enfant, je pense, a connu des fous-rires
(On dit que de la vie ce sont les seuls remèdes),
Et puis, n'eût-il pas survécu,
Saurait-il que Rimbaud a connu ces chagrins,
Rimbaud dont l'âge d'homme aussi, comme le sien,
Fut déserté d'amour et privé de langage ?Vous êtes amoureux. Loué jusqu'au mois d'août.
Vous êtes amoureux. - Vos sonnets la font rire.
Tous vos amis s'en vont, vous êtes mauvais goût.
- Puis l'adorée, un soir, a daigné vous écrire ... !
- Ce soir-là, ... - vous entrez aux cafés éclatants,
Vous demandez des bocks ou de la limonade ...
- On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade.Oh! qu'une, d'Elle-même, un beau soir, sût venir - Ne voulant plus que boire à mes lèvres, ou mourir!
Hier au soir, Madame n'a pas soupé: elle n'a pris que du thé. Elle a sonné de bonne heure ce matin; elle a demandé ses chevaux tout de suite, et elle a été, avant neuf heures, aux Feuillans, où elle a entendu la Messe.
L'espère! Quel joli nom pour désigner l'affût, l'attente du chasseur embusqué, et ces heures indécises où tout attend, espère, hésite encore entre le jour et la nuit. L'affût du matin un peu avant le lever du soleil, l'affût du soir au crépuscule.
Tout journal est une boutique où l'on vend au public des paroles de la couleur dont il les veut. S'il existait un journal des bossus, il prouverait soir et matin la beauté, la bonté, la nécessité des bossus.
J'étais seul, l'autre soir, au Théâtre-Français, - Ou presque seul; l'auteur n'avait pas grand succès. - Ce n'était que Molière ...
L'homme moderne est seul, bien seul, à travers le gigantesque arsenal désert où continue de tourner, du matin au soir, silencieusement, vainement, l'ombre immense de la Croix. - Briser cette solitude, ou périr.
Ni Juifs, ni chiens, ni niggers...Est-ce ma faute si la formule, ces mots féroces que j’ai entendus répéter jusqu’à New York même et par d’honnêtes gens, m’obsède ? Est-ce que nous sommes des punaises pour ces honnêtes Américains ? Est-ce que nous avons marché sur l’eau pour venir chez eux ? Est-il honorable à l’heure actuelle, dites-moi, qu’en Amérique – dans des villes des U.S.A. qui se flattent d’être à l’avant-garde pour tout le progrès -, à partir d’une certaine heure, le soir, les Juifs et les nègres ne puissent sortir de leurs maisons, qu’ils y soient relégués, comme des pestiférés, sous peine de représailles plus ou moins couvertes par des lois honteuses d’elles-mêmes ? Je suis du côté des « niggers ». Je n’en ai ni gloire ni humiliation. Je n’ai pas choisi.
Notre-Dame de Paris (1831) de Victor Hugo
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La légèreté (2014) de Emmanuelle Richard
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Le Rouge et le Noir (1830) de Henri Beyle, dit Stendhal
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En voyage, tome II (1910) de Victor Hugo
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En finir avec Eddy Bellegueule (2014) de Édouard Louis
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Nouilles froides à Pyongyang (2013) de Jean-Luc Coatalem
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Les Trois Arbres de Palzem, 1984 de Jean Giono
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Séfarade (2005) de Antonio Muñoz Molina
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Nature morte (2011) de Louise Penny
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Chanson bretonne suivi de L'enfant et la guerre (2020) de J. M. G. Le Clézio
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Contes et nouvelles (1890) de Guy de Maupassant
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Les Années (2008) de Annie Ernaux
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La Jungle (1905) de Upton Sinclair
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La Chèvre d'or de Anne Bernard
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Travelingue (1941) de Marcel Aymé
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Parle tout bas (2021) de Elsa Fottorino
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Pierres blessées
de Malcolm Lowry
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Roman (1870), On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans de Arthur Rimbaud
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Sans référence de Jules Laforgue
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Les Liaisons dangereuses (1782) de Pierre Choderlos de Laclos
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Lettres de mon moulin (1866), En Camargue de Alphonse Daudet
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Illusions perdues (1837-1843) de Honoré de Balzac
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Une soirée perdue (1840) de Alfred de Musset
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Sans référence de Georges Bernanos
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« Les mémoires » de Joséphine Baker, recueillis par Marcel Sauvage (1949) de Joséphine Baker
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