Citation comme y a
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Une Sélection de 1370 citations et proverbes sur le thème comme y a.
1370 citations
Etre considéré comme un fantasme sexuel? Je n'y pense pas trop. A la sortie de Dobermann mon agent m'a dit: «Accepte d'être une icône». Avec le temps je comprends mieux. Mais j'ai envie d'autre chose, de toucher un public plus vaste...
Si l'on peut perdre ceux que l'on aime, peut-on vivre sans crainte ? C'est la grande question que pose Saint Augustin. Je sais quelle fut sa réponse, mais comme je ne veux pas de la sienne, qui sent l'encens et l'eucharistie, il me reste à en trouver une autre, et je n'y parviens pas. Il faut vivre avec ça, la trouille au ventre.
Le timbre de sa voix n'était pas le même qu'avant. Les mots avaient l'air de sortir d'une boîte ancienne, d'y avoir été conservés plusieurs années, d'en sortir un par un, détachés les uns des autres, sans fluidité, comme de vieux papiers qui s'effritaient entre ses doigts à la lumière.
J’étais convaincue que le féminisme allait faire partie intégrante du socialisme. Comme un courant de pensée fort, dynamique, moderne, de gauche. Mais force est de constater que Mitterrand disparu, les vieilles habitudes ont repris le dessus. La greffe n’a pas pris. Il y a eu rejet.
La vie, c'est comme une dent - D'abord on y a pas pensé - On s'est contenté de mâcher - Et puis ça se gâte soudain - Ca vous fait mal, et on y tient - Et on la soigne et les soucis - Et pour qu'on soit vraiment guéri - Il faut vous l'arracher, la vie.
Dans l'amour il y a 90% de curiosité contre seulement 10% de peur de mourir abandonné comme une vieille merde.
Lire permet non de fuir la réalité, comme beaucoup le pensent, mais d'y puiser une vérité.
C'est un printemps comme un autre, un printemps à rendre mélancolique n'importe qui. Il y a des magnolias en fleurs dans les squares parisiens, et j'ai dans l'idée que ça écorche le coeur de ceux qui les remarquent
C'était toujours la nuit. Les arrestations avaient invariablement lieu la nuit. Il y avait le brusque sursaut du réveil, la main rude qui secoue l'épaule, les lumières qui éblouissent, le cercle de visages durs autour du lit. Dans la grande majorité des cas, il n'y avait pas de procès, pas de déclarations d'arrestation. Des gens disparaissaient, simplement, toujours pendant la nuit. Leurs noms étaient supprimés des registres, tout souvenir de leurs actes était effacé, leur existence était niée, puis oubliée. Ils étaient abolis, rendus au néant. Vaporisés, comme on disait
Chaque fin d'amour est comme un déménagement. Cela ne va pas sans casse. Au dixième, combien y a-t-il de meubles en état ?
La vie en communauté, l'amour collectif, c'est bien joli, mais j'aimerais un peu d'exclusivité. Or à Liberty House, l'amour est diffus et indifférencié : chacun en a sa part et tous l'ont tout entier — ce qui me convient mieux en théorie qu'en pratique. Depuis mon arrivée ici, je partage tout avec tous : les douches, les repas, les corvées ménagères, les soirées au coin du feu, ou les salutations au soleil. Même mes parents ont cessé de m'appartenir, et je les surprends parfois à poser sur moi un regard perplexe, comme s'ils avaient complètement oublié mon existence, absorbés qu'ils sont par la leur.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il y a comme ça des périodes où les plaques tectoniques de nos vies se mettent en mouvement, où les coutures des jours craquent, où l'ordinaire sort de ses gonds; ensuite le décor se recompose et on continue; c'est plus ou moins grave, on en parle parfois à la télévision, à la radio, dans les journaux, ou ça ne sort pas du cercle de la famille, des amis et du voisinage; ça survient, ça arrive, ça entre dans la cage du temps pour n'en plus ressortir.
Comme le souvenir que laisse un mort est supérieur à sa vie! Il n'y a pas de déchets.
Il y a ta bonté marine comme un fjord de douceur, et le sapin qui reste vert sous la mort blanche
Debout dans la tempête. Il veille quand tremblent les bouleaux
Tandis que hurlent loup et lynx.Les volontaires, en ce début de guerre - et sans doute, à la fin y en aurait-il encore - se poussaient comme une queue au théâtre. Beaucoup étaient appelés, peu d'élus.
Des livres, en revanche, on en avait à profusion, les murs en étaient tapissés, dans le couloir, la cuisine, l'entrée, sur les rebords des fenêtres, que sais-je encore ? Il y en avait des milliers, dans tous les coins de la maison. On aurait dit que les gens allaient et venaient, naissaient et mouraient, mais que les livres étaient éternels. Enfant, j'espérais devenir un livre quand je serais grand. Pas un écrivain, un livre : les hommes se font tuer comme des fourmis, les écrivains aussi. Mais un livre, même si on le détruisait méthodiquement, il en subsisterait toujours quelque part un exemplaire qui ressusciterait sur une étagère, au fond d'un rayonnage dans quelque bibliothèque perdue, à Reykjavik, Valladolid ou Vancouver.
Je pense que le grand art est l'art des distances: trop près on brûle, trop loin on gèle, il faut apprendre à trouver le point exact et s'y tenir, on ne peut l'apprendre qu'à ses dépens comme tout ce qu'on apprend vraiment, il faut payer pour savoir.
Cette crise est en étroite relation avec le temps. Avec notre façon d’organiser, de tordre, de subir le temps. Nous sommes à la merci d’une force microscopique qui a l’arrogance de prendre des décisions à notre place. Nous nous retrouvons comprimés et rageurs, comme prisonniers d’un embouteillage, mais sans qu’il y ait personne autour de nous.
Le coeur d'un libertin est fait comme une auberge, on y trouve à toute heure un grand feu bien nourri.
Avec le temps, il avait compris que l'essentiel de la fiction, peut-être la fiction dans sa totalité, des plus grandes histoires aux plus banales, concernait des choses disparues. Une famille, un amour, un moyen de subsistance, la paix, les idéaux. Au coeur de toutes ces histoires, il y avait un vide, un désir, des blancs qu'on pouvait pas remplir - comme si le deuil était le lot de l'humanité.
Quand on est en guerre, une mort est un mauvais point dans un bilan ; quand c'est la maladie, une mort est une défaite de la médecine ; quand c'est un accident du travail, une mort est un pas vers la justice, la protection des travailleurs, la mécanisation. Quand c'est la révolution, une vie vaut dix vies, celles de la paix future, du renouveau. Quand on meurt dans son avion, comme Saint-Exupéry, c'est une vie gagnée, celle de la gloire et un pied de nez à la médiocrité et à la triste vieillesse
Il y a une chose que nous savons, et que l'homme blanc découvrira peut-être un jour, c'est que notre dieu est le même dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l'homme, et sa pitié est égale pour l'homme rouge et le blanc. Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c'est accabler de mépris son créateur. Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.
Il y a des héros en mal comme en bien.
Il paraît qu’Emmanuel Macron n’est pas un candidat comme les autres. Il paraît. Et chaque observateur y va de son commentaire pour savoir s’il est de droite, de gauche, socialiste, modéré, centriste… Comme le caméléon, Macron change, se transforme sous nos yeux. De gauche, il l’est évidemment, par son histoire, ses actes, son créateur. Mais, ce qu’il est, surtout, c’est populiste.
Magazine Biba, août 1998. de Vincent Cassel
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Bonheur Fantôme (2009) de Anne Percin
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Un amour impossible (2015) de Christine Angot
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Yvette Roudy, les femmes sont une force, Entretien avec Delphine Gardey, Jacqueline Laufer (2002) de Yvette Roudy
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Je voudrais pas crever (1962) de Boris Vian
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L'Egoïste Romantique (2005) de Frédéric Beigbeder
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Avec toutes mes sympathies de Olivia de Lamberterie
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Ça racontre Sarah de Pauline Delabroy-Allard
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1984 (1949) de George Orwell
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Physiologie de l'amour moderne (1883) de Paul Bourget
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Arcadie (2018) de Emmanuelle Bayamack-Tam
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Nos vies de Marie-Hélène Lafon
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Journal, 12 juillet 1898 de Jules Renard
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Ethiopiques (1956) de Léopold Sédar Senghor
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La Comédie de Charleroi (1934) de Pierre Drieu la Rochelle
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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La folle allure (1995) de Christian Bobin
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Contagions (2020) de Paolo Giordano
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A quoi rêvent les jeunes filles (1832) de Alfred de Musset
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Le tueur se meurt (2013) de James Sallis
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Jury de Macha Méril
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Discours prononcé en 1854 par Seattle (v. 1786-1866), chef des tribus Duwamish et Suquamish, devant le gouverneur Isaac Stevens de Chef Seattle
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Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664), 185 de François de La Rochefoucauld
Références de François de La Rochefoucauld - Biographie de François de La Rochefoucauld
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« Le bobopopulisme de Monsieur Macron », Tribune libre de Gérald Darmanin, L'Opinion, le 25/01/2017 de Gérald Darmanin
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