Citation ou l on vient
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Une Sélection de 200 citations et proverbes sur le thème ou l on vient.
200 citations
Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France. Le sentiment me l'inspire aussi bien que la raison. Ce qu'il y a, en moi, d'affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminente et exceptionnelle. J'ai, d'instinct, l'impression que la Providence l'a créée pour des succès achevés ou des malheurs exemplaires. S'il advient que la médiocrité marque, pourtant, ses faits et gestes, j'en éprouve la sensation d'une absurde anomalie, imputable aux fautes des Français, non au génie de la patrie. Mais aussi, le côté positif de mon esprit me convainc que la France n'est réellement elle-même qu'au premier rang ; que, seules, de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même ; que notre pays, tel qu'il est, parmi les autres, tels qu'ils sont, doit, sous peine de danger mortel, viser haut et se tenir droit. Bref, à mon sens, la France ne peut être la France sans la grandeur.
Il y a des disputes où l'on va, l'on va, l'on s'échauffe, il se peut qu'on échange des coups, et un moment vient où l'on s'aperçoit qu'on ne se souvient plus du tout de l'objet de sa dispute...
Si ce n'est point amour, qu'est-ce donc que je sens?
Mais, Dieu, si c'est amour, qu'est-ce et de quelle sorte?
S'il est bon, d'où provient son âpre effet mortel?
S'il est mauvais, d'où vient que sont doux ses tourments?La partie physique de l'opération n'a pas de secret pour nous. Quand un chirurgien sculpte un beau visage, il utilise une sorte de plastique intelligent spécial pour remodeler les os. Pour qu'un jeune Pretty devienne grand ou ancien, il suffit d'ajouter un catalyseur chimique à ce plastique et il redevient mou comme de l'argile.
L’âme pacifiée reste la plus ferme. Vous serez fermes, face à cette étrange tyrannie. Vous ne servirez pas cette religion aussi vieille que les cultes les plus anciens. Elle tua Périclès (stratège, orateur, homme d’État athénien), alors qu’il ne voulait d’autre gloire que de n’avoir fait prendre le deuil à aucun citoyen, et elle n’a pas cessé, depuis ce meurtre illustre jusqu’au jour où elle vint s’abattre sur notre ville innocente, de décimer les hommes et d’exiger le sacrifice des enfants. Quand même cette religion nous viendrait du ciel, il faudrait dire alors que le ciel est injuste. Si vous en arrivez là, vous n’en tirerez cependant aucun orgueil. Il vous revient au contraire de songer souvent à votre ignorance, pour être assurés d’observer la mesure, seule maîtresse des fléaux.
La vie, en toute condition humaine, la vie entière n'est qu'oisiveté, s'il convient de nommer ainsi le labeur, le tracas qui ne tend pas vers quelque grand objet ou qui tend vers un but qu'il ne saurait rejoindre.
Le sens d'être ne peut jamais être mis en opposition avec l'étant ou avec l'être pris comme fond porteur de l'étant, parce que fond ne devient accessible que comme sens, fût-il même le sans fond de l'absurdité.
Il croit que l'Histoire ne sauvegarde que la gravité, le désespoir ou la mélancolie. La légèreté sera balayée selon lui. «L'eau de rose ne se conserve pas: on ne se souvient que du sang».
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Phase un : la séduction de la belle-famille, systématiquement accompagnée de remises en question personnelles très fortes. Un peu comme un chiot au chenil qui veut être choisi et fait la moue la plus attendrissante possible. Mais intérieurement, il tremble. Il vient avec son passé, sa gueule cassée et il est plein d'espérances quant à sa nouvelle famille d'accueil. Mais il n'a qu'une peur : décevoir et être abandonné à nouveau. Phase deux : l'intégration, pure et simple, des règles de la famille. On fait des efforts pour rentrer dans le moule, on prend sur soi, on marche au pas. Phase trois : ma préférée, la rébellion ! Ça passe ou ça casse, mais au moins on est fixé. Notre vraie nature ressurgit enfin. On ne peut plus faire semblant.
La conscience ressemble aux facultés de l'esprit, elle a besoin d'éducation. En l'exerçant, on lui apprend à Voir plus juste, et par conséquent à se faire mieux obéir. Souvent, dans la vie, on ne fait le mal que parce qu'on n'aperçoit pas clairement le bien, ou qu'on parvient à se le cacher sous quelque sophisme.
Ah ! si, je veux te donner quelque chose, un bon conseil. Veux-tu savoir la maxime qui m'a servi de règle dans toute ma vie ? Écoute ceci, et crois-moi : l'homme qui n'a pas de besoins devient tôt ou tard le maître de ceux qui en ont .
C'est au moment où l'on rejette tous les principes qu'il convient de se munir de scrupules.
La vie en communauté, l'amour collectif, c'est bien joli, mais j'aimerais un peu d'exclusivité. Or à Liberty House, l'amour est diffus et indifférencié : chacun en a sa part et tous l'ont tout entier — ce qui me convient mieux en théorie qu'en pratique. Depuis mon arrivée ici, je partage tout avec tous : les douches, les repas, les corvées ménagères, les soirées au coin du feu, ou les salutations au soleil. Même mes parents ont cessé de m'appartenir, et je les surprends parfois à poser sur moi un regard perplexe, comme s'ils avaient complètement oublié mon existence, absorbés qu'ils sont par la leur.
C'est une deux-chevaux qu'il a achetée il y a sept ou huit ans d'occasion et qui doit bien avoir parcouru, en kilométrage, cinq fois le tour de la terre. Cette malheureuse ferraille fourbue et frémissante parvient encore à rouler.
La maladie est la zone d'ombre de la vie, un territoire auquel il coûte cher d'appartenir. En naissant, nous acquérons une double nationalité qui relève du royaume des bien portants comme de celui des malades. Et bien que nous préférions tous présenter le bon passeport, le jour vient où chacun de nous est contraint, ne serait-ce qu'un court moment, de se reconnaître citoyen de l'autre contrée.
Le lien fondamental entre le crâne et la charpente posturale est, on s'en souvient, le basion, bord antérieur du trou occipital.
En quittant la cabine d'Emily (et une telle intimité ne se renouvellerait pas), je savais que je serais toujours lié à elle par quelque rivière souterraine, ou filon de charbon ou d'argent — disons d'argent, car elle a toujours beaucoup compté pour moi. En mer Rouge, je suis sans doute tombé amoureux d'elle. Même si, quand je me suis arraché à elle, le magnétisme, quel qu'il soit, avait perdu sa force. Combien de temps suis-je resté avec Emily dans ce qui m'avait paru un lit haut comme le ciel ? Quand nous nous étions revus, nous n'en avons pas reparlé. Elle ne se souvient peut-être même pas quel poids de chagrin elle m'a ôté ou a tenu, ni pendant combien de temps. Je n'avais jamais connu pareille étreinte, pareille odeur d'un bras émergeant du sommeil. Je n'avais jamais pleuré à côté de quelqu'un qui, aussi, m'excitait d'une manière mystérieuse. Pendant qu'elle baissait les yeux sur moi, il devait y avoir chez elle une certaine compréhension, ainsi que dans ses petits gestes pleins d'attention.
Quand tout le monde dort, tu as l'impression que ceux qui veillent ramassent les rêves des autres. L'inspiration me vient souvent à l'aube. L'inconscient se met en mouvement malgré moi, il est bouillant. Il faut la grâce, l'instant magique. Il faut trouver les mots qui groovent: les mots, c'est aussi de la musique, ça chante ou ça ne chante pas, ça décolle ou ça plonge.
Et toute cette débauche de moralisme était de surcroît au service d'une ambition parfaitement cynique, il était absolument manifeste que l'Université n'était pour lui qu'une étape nécessaire mais insignifiante sur un chemin qui devait le mener vers la consécration des plateaux de télévision où il avilirait publiquement, en compagnie de ses semblables, le nom de la philosophie, sous l'oeil attendri des journalistes incultes et ravis, car le journalisme et le commerce tenaient maintenant lieu de pensée, Libero ne pouvait plus en douter, et il était comme un homme qui vient juste de faire fortune, après des efforts inouïs, dans une monnaie qui n'a plus cours.
Il faut apprendre à éprouver la vie comme un long glissement calme. Au moment où l'on y parvient, on est aussi près de la mort que de la vie.
Dans les rues de la ville, il y a mon amour. - Peu importe où il va dans le temps divisé. - Il n'est plus mon amour: chacun peut lui parler. - Il ne se souvient plus qui, au juste, l'aima.
La mémoire est une espèce de tournure (ou de penchant si ce terme convient mieux) qui a été donnée à l'esprit et en vertu duquel la sensation produite dure un petit peu plus longtemps que la cause qui l'a produite.
A la première occasion, je me renseignerai sur les principes de classification de Citroën. Quelques jours plus tard, un autre ouvrier me les donnera. Il y a six catégories d'ouvriers non qualifiés. De bas en haut: trois catégories de manoeuvre (M. 1., M. 2, M.3); trois catégories d'ouvriers spécialisés (O.S. 1, O.S. 2, O.S. 3). Quand à la répartition, elle se fait d'une façon tout à fait simple: elle est raciste. Les Noirs sont M. 1, tout en bas de l'échelle. Les Arabes sont M. 2 ou M. 3. Les Espagnols, les Portugais et les autres immigrés européens sont en général O.S. 2. Les Français sont, d'office, O.S. 2. Et on devient O.S. 3 à la tête du client, selon le bon vouloir des chefs. Voilà pourquoi je suis ouvrier spécialisé et Mouloud manoeuvre, voilà pourquoi je gagne quelques centimes de plus par heure, quoique je sois incapable de faire son travail.
Il est toujours difficile de dire ce qu'on perd et ce qu'on gagne à choisir t'elle voie plutôt que telle autre. Mais on ne revient pas en arrière à volonté. Ou alors on devient une de ces épaves qui, à force de ne jamais choisir, finissent par vieillir sans avoir vécu.
Mémoires de guerre (1944-1946), l'Appel de Charles de Gaulle
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Port-Royal (1954), la soeur Françoise de Henry de Montherlant
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Canzoniere de Pétrarque
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Uglies (2005) de Scott Westerfeld
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Exhortation aux médecins de la peste (1941)
de Albert Camus
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Canti, Au comte Charles Pepoli de Giacomo, comte Leopardi
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Etre et Temps (1927) de Martin Heidegger
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Les Jours fragiles (2004) de Philippe Besson
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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En voiture, Simone ! de Aurélie Valognes
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Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867) de Ernest Legouvé
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L'idée de Jean Têterol (1878) de Victor Cherbuliez
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Alexis ou le Traité du vain combat (1929) de Marguerite Yourcenar
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Arcadie (2018) de Emmanuelle Bayamack-Tam
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Pluche ou l'Amour de l'art (1967) de Jean Dutourd
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Les choses humaines (2019) de Karine Tuil
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Le Geste et la Parole (1964-1965) de André Leroi-Gourhan
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La Table des autres (2012) de Michael Ondaatje
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Interview Libération par Guillaume Launay et Michel Becquembois — 18 février 2010 de Jacques Higelin
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Le Sermon sur la chute de Rome (2012) de Jérôme Ferrari
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Les désarrois de l'élève Törless (1906) de Robert Musil
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Allégeance de René Char
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Carnets (1912) de Samuel Butler
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L'Etabli (1978) de Robert Linhart
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L'amour triste (1950) de Bernard Pingaud
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