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Une Sélection de 70 citations et proverbes sur le thème pouvait Cette.
70 citations
Il tomba par hasard sur une allégorie de la littérature et découvrit qu’on la représentait comme une grande dame drapée de soieries, muette et blanche, une lyre à la main devant une assemblée de marbre. ... Il pensa que la littérature ne pouvait pas ressembler à cette image éloignée des femmes. La littérature devait tenir la plume comme une épée ... dans une lutte obstinée pour défendre le droit de nommer, pétrie dans la même glaise, dans la même fange, dans la même absurdité que ceux qui la servent.
Arrogant, péremptoire, il ne pouvait pas se tromper, les secrets de la guerre il les détenait comme il détenait la recette de la colle à l'ail, de la mayonnaise au marron.
Avec le développement d'Internet, les stalkers – un anglicisme pour désigner les harceleurs névrotiques – pouvaient désormais débusquer leurs cibles hors du cadre familial ou de l'entreprise. Le Web avait démocratisé cette activité-là aussi : on ne s'en prenait plus seulement à des personnalités en vue, comme Madonna ou Jodie Foster ; tout le monde pouvait devenir la cible de tout le monde…
Elle allait dans un institut de beauté pour se faire désincruster le visage. Qu'est-ce que ça pouvait être cette désincrustation? Peut-être que ça faisait sortir de petits vers de chaque pore.
Cette espèce de malaise lorsqu'on essaie d'imaginer la vie quotidienne des grands esprits... Vers deux heures de l'après-midi, que pouvait bien faire Socrate?
Et toute cette débauche de moralisme était de surcroît au service d'une ambition parfaitement cynique, il était absolument manifeste que l'Université n'était pour lui qu'une étape nécessaire mais insignifiante sur un chemin qui devait le mener vers la consécration des plateaux de télévision où il avilirait publiquement, en compagnie de ses semblables, le nom de la philosophie, sous l'oeil attendri des journalistes incultes et ravis, car le journalisme et le commerce tenaient maintenant lieu de pensée, Libero ne pouvait plus en douter, et il était comme un homme qui vient juste de faire fortune, après des efforts inouïs, dans une monnaie qui n'a plus cours.
On eût dit que, sur terre, il y avait les Blancs, les Noirs, les Jaunes, et enfin une race à part: les émigrés. Et nul ne pouvait s'évader de cette condition d'émigré comme nul ne pouvait changer la couleur de sa peau.
Jusqu'ici, sa gaieté pouvait passer pour le privilège d'une jeunesse dorée, sûre de son avenir parce que maîtresse du monde. Or voici que cette humeur se maintient et s'accroît dans le noir d'une prison, loin des siens. C'est donc que cette joie venait d'ailleurs, de bien plus loin qu'une simple ivresse du monde. Il est dans cette prison comme Jonas dans le ventre de la baleine : plus rien de clair ne lui parvient. Alors il chante. Alors il trouve dans son chant plus qu'une lumière et plus qu'un monde : sa vraie maison, sa vraie nature et son vrai lieu.
Je m'épuisais en conjectures pour deviner quelle pouvait être cette occupation, et il aurait fallu deviner en effet pour rencontrer juste.
Est ce que la vie pouvait n'être que ça ? cette succession d'espoirs et de dépressions, l'un faisant toujours oublier l'autre, malgré les années et le peu de sagesse qu'on pouvait en tirer ? Est-ce que c'était possible qu'il n'y ait pas plus ?
Gridoux pouvait casser la graine en toute tranquilité. Cette graine était en général une assiette de hachis parmentier fumant que Mado Ptits-Pieds lui apportait après le coup de feu, à l'environ d'une heure.
Je savais qu'un jour, et un jour prochain, je volerais. Rien ne pouvait me faire renoncer à cette foi. Je ne voulais pas de profession autre que celle de pilote.
Ah ! si cela pouvait changer si c'était moi qui toujours devais rester jeune, et si cette peinture pouvait vieillir ! ... Pour cela, pour cela je donnerais tout ! ...
« Le rire n’est point cruel de sa nature; il distingue l’homme de la bête, et il est, ainsi qu’il appert en l’Odyssée d’Homerus, poète grégeois, l’apanage des dieux immortels et bienheureux qui rient olympiennement tout leur saoul durant les loisirs de l’éternité. » Cette phrase me donnait une véritable ivresse. Je croyais apercevoir une antiquité merveilleuse à travers ce moyen âge que seul Gautier pouvait me révéler. Mais j’aurais voulu qu’au lieu de dire cela furtivement après l’ennuyeuse description d’un château que le trop grand nombre de termes que je ne connaissais pas m’empêchait de me figurer le moins du monde, il écrivît tout le long du volume des phrases de ce genre et me parlât de choses qu’une fois son livre fini je pourrais continuer à connaître et à aimer.
Une pluie mêlée de flocons de neige tombait sur la terre étrangère. La piste de béton, les bâtiments et les gardes de l'aérodrome étaient trempés. La neige fondue baignait la plaine et les collines à l'entour, faisant luire l'asphalte noir de la chaussée. En toute autre saison cette pluie monotone eût semblé à quiconque une triste coïncidence. Mais le général n'était guère surpris. Il venait en Albanie afin d'assurer le rapatriement des restes de ses compatriotes tombés à tous les coins du pays pendant la dernière guerre mondiale. Les négociations avaient été entamées dès le printemps et les contrats définitifs signés seulement à la fin du mois d'août, quand, justement, les premières journées grises font leur apparition. On était maintenant en automne. C'était la saison des pluies, le général le savait. Avant son départ, il s'était renseigné sur le climat du pays. Cette période de l'année y était humide et pluvieuse. Mais le livre qu'il avait lu sur l'Albanie lui aurait-il appris que l'automne y était sec et ensoleillé, cette pluie ne lui aurait pas, pour autant, paru insolite. Au contraire. Il avait en effet toujours pensé que sa mission ne pouvait être menée à bien que par mauvais temps.
L’océan était-il une créature vivante ? On ne pouvait continuer d’en douter, à moins de se complaire dans les paradoxes ou l’entêtement. Il devenait impossible de nier les « fonction psychiques de l’océan – peu importait ce que le terme recouvrait exactement. Il était évident en tout cas, que l’océan ne nous avait que trop bien « vus »… Cette seule constatation infirmait les théories solaristes proclamant que l’océan était un « monde intérieur » - « une vie recluse » - privé par processus involutif d’organes de pensée ayant jadis existé, ignorant l’existence des objets et des phénomènes extérieurs, prisonnier d’un tourbillon gigantesque de courants mentaux créés et confinés dans les abîmes de ce monstre tournant entre deux soleils.
Joël fit une boulette de papier de la plaidoirie pour la facture électronique et la jeta à son chat. Celui-ci bondit sur cette proie, lui confirmant que rien ne pouvait remplacer totalement le papier.
La réforme des retraites était nécessaire, on ne pouvait pas ne rien faire. Cette réforme est-elle acceptée ? A l'évidence non. Une colère s'est exprimée et personne ne peut rester sourd. C'est toute cette colère que de très nombreux Français ont exprimée en manifestant, et pour l'immense majorité, dans le calme et le respect de nos institutions. Personne et surtout pas moi ne peut rester sourd à cette revendication de justice sociale et de rénovation de notre vie démocratique. Colère face à un travail qui, pour trop de Français, ne permet plus de bien vivre, face à des prix qui montent, du plein, des courses, de la cantine. Colère parce que certains ont le sentiment de faire leur part, mais sans être récompensés de leurs efforts, ni en aides ni en services publics efficaces.
J'y vis à nouveau combien l'être humain tient à son sol natal. Malgré toute la crainte du danger que ressentaient ces femmes, elles se cramponnaient de toutes leurs forces à cette terre qui pouvait à tout instant devenir leur tombeau.
Le vent parcourt les rameaux de La haie — de petites feuilles rondes et dorées s'envolent, ponctuent les meubles posés dans l'herbe et la fourrure de la pelisse qui protège Gaia. Cet instant de lumière dit l'essentiel : un soleil d'hiver, un ciel aux légers nuages hauts, la brume irisée des champs et cette femme endormie, si inconnue, si proche. Les débris du passé, éparpillés dans l'herbe, approfondissent le temps d'une enfilade d'existences devinées. Gaia se relève, me sourit et, comme si quelqu'un pouvait nous entendre, murmure : « Ici, on est vraiment loin de tout… » Ces heures ensoleillées, devant Mo i Rana, marque le début de ce que les diggers appelaient « le franchissement ».
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Paris croulait littéralement sous les décorations de Noël et on pouvait sentir dans l'air cette impatience mêlée de tristesse qui caractérise les fêtes de fin d'année. Une fois encore, on allait bâfrer, picoler s'offrir des cadeaux, mais c'était pour mieux oublier cet état de fait : une année de plus, une année de moins...
J'aimais cette liberté qui pouvait conduire au désastre comme à la lumière.
Comme si l'on pouvait se passer de cette drogue cruelle de l'espoir quand on a le malheur d'aimer plus qu'on n'est aimé !
Elle se demandait à quoi pouvait ressembler septembre pour qui ne travaillait pas dans l'enseignement. Se trouvait-on épargné par la mélancolique réminiscence de ce mois-là ? Si oui, ce devait être comme de sécher un des douze travaux d'Hercule ; on ne coupait pas certes au bourdon de Noël, mais au moins n'avait-on pas à revivre la fin de toutes les grandes vacances de sa vie, cette triste prise de conscience de sa propre mortalité, quand une fois encore, année après année, les enfants envahissaient votre univers avec leurs pulls neufs et leurs crayons bien taillés. Non, supposait-elle, nul ne devait y couper. Ce calendrier se gravait de si bonne heure dans le psyché de chacun. Personne n'échappait au caractère funeste de septembre.
Le Voyage d'Octavio (2015) de Miguel Bonnefoy
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Le petit matin de Christine Denis de Rivoyre
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N'éteins pas la lumière (2014) de Bernard Minier
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Belle du Seigneur (1968) de Albert Cohen
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Syllogismes de l'amertume (1952) de Emil Cioran
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Le Sermon sur la chute de Rome (2012) de Jérôme Ferrari
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Aliocha (1991) de Lev Aslanovitch Tarassov, dit Henri Troyat
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Le Très-Bas de Christian Bobin
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Les Confessions (édition posthume 1782-1789) de Jean-Jacques Rousseau
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Sombre Dimanche (2013) de Alice Zeniter
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Zazie dans le métro (1959) de Raymond Queneau
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Mes vols (1937) de Jean Mermoz
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Le Portrait de Dorian Gray (1891) de Oscar Wilde
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Sur la lecture de Marcel Proust
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Le Général de l'armée morte (1963) de Ismaïl Kadaré
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Solaris (1966) de Stanislaw Lem
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Mon opérateur télécom me vole-t-il ? (2012) de Didier Hallépée
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Allocution d'Emmanuel Macron, le 17 avril 2023 de Emmanuel Macron
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Orages d'acier (1920) de Ernst Jünger
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Au-delà des frontières (2019) de Andreï Makine
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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La terre des morts de Jean-Christophe Grangé
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Les Souvenirs (2011) de David Foenkinos
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Solitude ma mère (1995) de François Bégaudeau
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Les Revenants (2011) de Laura Kasischke
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