Citations sur Ô

Ô des fleuves français brillante souveraine, Salut ! ma longue course à tes bords me ramène

Viens, ô divin Bacchus, ô jeune Thyonée, Viens tel que tu parus aux déserts de Naxos, Quand ta voix rassurait la fille de Minos

Ô lignes que sa main, que son coeur a tracées, ô nom baisé cent fois, craintes bientôt chassées

Ah ! je les reconnais, et mon coeur se réveille ; Ô sons, ô douces voix chères à mon oreille, Ô mes muses, c'est vous ; vous mon premier amour !

Ô ciel ! ô terre ! ô prodige nouveau !

Ô appât du plaisir sensible, et goût du fruit défendu, surmonté par la constance du P. Bourgoing ! ô Jésus-Christ ! ô sa mort, ô son anéantissement et sa croix honorés par sa pénitence !

Ô mère ! ô femme ! ô reine admirable !

Ô paroles qu'on voyait sortir de l'abondance d'un coeur....

Ô membres tendres et délicats si souvent couchés sur la dure !

Ô vanité ! ô néant ! ô mortels ignorants de leurs destinées !

Mais, ô coup funeste pour la princesse Anne ! la pieuse abbesse mourut....

Ô nuit désastreuse ! nuit effroyable !

On ne parle plus que de paix [dans l'Église] ; ô qu'elle soit véritable ! ô qu'elle soit effective ! ô qu'elle soit éternelle !

Ô qu'il était éloigné de ces prédicateurs infidèles qui...

Ô Romains ! ô vengeance ! ô pouvoir absolu ! Ô rigoureux combat d'un coeur irrésolu !

Mais je dépens de vous, ô serment téméraire ! Ô haine d'Émilie ! ô souvenir d'un père !

Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie

Ô combien d'actions, combien d'exploits célèbres Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres !

Ô que n'est-il déjà jour ! Ô ! si la sagesse était visible, de quel amour les hommes s'enflammeraient pour elle !

D'une âme généreuse ô volupté suprême ! Un mortel bienfaisant approche de Dieu même !

Que deviendrez-vous donc, ô homme, qui cherchez quelle est votre véritable condition par votre raison naturelle ?

Où suis-je ? Ô trahison ! ô reine infortunée !

Ô haine de Vénus ! ô fatale colère !

Ô crainte, a dit mon père, indigne, injurieuse !

Ô délire ! ô faiblesse humaine ! le sentiment du bonheur écrase l'homme, il n'est pas assez fort pour le supporter