Citations sur jean racine

Quoi donc ! Éliacin a paru devant elle

Madame, je le sais, les soupçons importuns Sont d'un second hymen les fruits les plus communs

Qu'on rappelle mon fils, qu'il vienne se défendre

Rome, aussi bien que moi, vous donne son suffrage

On verra, sous le nom du plus juste des princes, Un perfide étranger désoler vos provinces

Vivez, solennisez vos fêtes sans ombrage

Je l'ai laissé passer dans son appartement

Mais admire avec moi le sort dont la poursuite Me fait courir alors au piége que j'évite

Vous parlez mieux pour lui qu'il ne parle lui-même

L'amour est-il muet, ou n'a-t-il qu'un langage ?

La fortune t'appelle une seconde fois ; Narcisse, voudrais-tu résister à sa voix ?

.... accru de leurs soldats, Nous verrons notre camp grossir à chaque pas

Ses nymphes de regret prirent toutes le deuil

Ni crainte, ni respect ne m'en peut détacher

Vous pensez que des yeux toujours ouverts aux larmes Se plaisent à troubler le pouvoir de vos charmes

Trop heureux si bientôt la faveur d'un divorce Me soulageait d'un joug qu'on m'imposa par force

Je ne saurais chercher une fille inconnue

De toute autre victime [qu'Iphigénie] il [le dieu] refuse l'offrande

D'abord elle a d'Auguste aperçu la statue ; Et mouillant de ses pleurs le marbre de ses pieds....

Et mes yeux, malgré moi, se remplissent de pleurs

Un oracle toujours se plaît à se cacher ; Toujours avec un sens il en présente un autre

Vous-même, rappelant votre force première, Vous vouliez vous montrer et revoir la lumière

Rome, contre les rois de tout temps soulevée

Son ombre vers mon lit a paru se baisser

Depuis plus de six mois éloigné de mon père, J'ignore le destin d'une tête si chère