Citations sur corneille

Un excès de plaisir nous rend tous languissants, Et, quand il surprend l'âme, il accable les sens

Contre un si grand rival j'agis à force ouverte

C'est un fils qui venge son père, mais c'est sur sa mère qu'il le venge

Le Parthe a décampé, pressé par d'autres guerres Contre l'Arménien qui ravage ses terres

Qu'une femme hargneuse est un mauvais voisin !

Trop peu d'honneur pour moi suivrait cette victoire

Tu n'as dans leur querelle aucun sujet de craindre ; Elle a trop fait de bruit pour ne pas s'accorder

Hier, dans sa belle humeur, elle entretint Valère

Qui méprise la vie est maître de la sienne [d'Auguste]

Sa main seule départ ses libéralités

La méchante l'abuse aussi bien que Phocas

Aussi, dans le discours que vous venez d'entendre, Je parlais pour l'aigrir et non pour me défendre

J'aperçois Vinius, qu'on m'amène sa fille ; J'en punirai le crime en toute la famille

Me ranger à son choix, sans savoir son projet, Deviner sa pensée, obéir par avance, Sont-ce, Lise, envers lui des crimes d'importance ?

Mais quel fruit pensez-vous en pouvoir recueillir ?

Ô frère, plus aimé que la clarté du jour !

Et je préférerais un peu d'emportement Aux plus humbles devoirs d'un tel accablement

Que tu tombes au point de me porter envie

Et je sens tout mon coeur balancé nuit et jour Entre l'orgueil du diadème Et les doux espoirs de l'amour

Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné, De combien ont rougi les champs de Macédoine, Combien en a versé la défaite d'Antoine

Seigneur, pour mes parents je nomme mes exploits ; Ma valeur est ma race, et mon bras est mon père

Mon bonheur ordinaire M'acquiert les volontés de la fille et du père

Parmi les généreux il n'en va pas de même

Jusques où n'ont été leurs saintes abstinences ? Jusques où n'ont-ils su pousser Le zèle de voir avancer Les fruits de tant de pénitences ?

Le pouvoir absolu n'a rien de redoutable, Dont à sa conscience un roi ne soit comptable