Citations sur corneille

Et qui me fait régner en effet est mon maître

Un effroi général

.... et je vous l'ai tant dit, Prince, que ce discours vous dût être interdit

Et peut-être pressé [le roi] des guerres d'Arménie, Vous laissera moquée, et la reine impunie

Et pour m'assassiner je lui prête mon bras

Jusqu'à ce que ma main de ses fers le dégage

L'amour est un tyran qui n'épargne personne

Je sais ce qu'est un songe et le peu de croyance Qu'un homme doit donner à son extravagance, Qui d'un amas confus des vapeurs de la nuit Forme de vains objets que le réveil détruit

De quel front donnerais-je un exemple aujourd'hui Que mes lois dès demain puniraient en autrui ?

Car hors de l'Arménie enfin je ne suis rien

Donne aux saints devoirs d'un chrétien Tout ce que Dieu te donne à vivre

Nos malheurs jusqu'ici vous touchent faiblement ; Vous n'avez point encor de part à nos misères

Tout le secret ne gît qu'en un peu de grimace

Ne me refusez pas ce bonheur souverain

Si le bon plaisir de Votre Majesté est tel que lesdites provisions aient lieu et que ledit office revive

Que prudemment les dieux savent tout ordonner !

Que parlez-vous, seigneur, de tête et de tyran ?

Ne cherche point à faire un coup d'essai fatal

La haine entre les grands se calme rarement

L'apparence t'abuse, il m'aime au fond de l'âme

[Maurice] Tu recouvres deux fils pour mourir après toi, Et je n'en puis trouver pour régner après moi

Une si haute place

Le plonge en un bain d'eaux et d'herbes inconnues

Une douleur si sage et si respectueuse, Ou n'est guère sensible ou guère impétueuse

Et dans un même instant par un effet contraire Leur front pâlir d'horreur et rougir de colère