Citations sur corneille

Je vous connaissais mal

Il n'a point pris le ciel ni le sort à partie, Point querellé le bras qui fait ces lâches coups

La joie n'est qu'un épanouissement du coeur

Mes peuples aguerris sous votre discipline

On ne daigne peser ni compter mon suffrage

Et que serait heureux qui pourrait aujourd'hui Disputer cette place [dans le coeur] et l'emporter sur lui !

Et les portes d'airain, se fermant après moi, M'ont vomi loin du temple et m'ont poussé vers toi

Rodrigue, fuis, de grâce, ôte-moi de souci

La fourbe n'est le jeu que des petites âmes, Et c'est là proprement le partage des femmes

Mais quitter l'un pour l'autre est un échange heureux

Noble et dure contrainte ! aimable tyrannie !

Vous n'avez commandé que sous des généraux, Et n'êtes pas encor du poids de vos rivaux

Madame, ce qu'on fait sans honte et sans remords, Ne coûte rien à dire ; il n'y faut point d'efforts

Puisque Sertorius m'impose ce devoir

La topographie moderne de ces contrées-là [Éthiopie] n'est pas fort connue, et celle du temps de Céphée encore moins

Quand on craint d'être injuste, on a toujours à craindre, Et qui veut tout pouvoir doit oser tout enfreindre

Et le seul hyménée Peut rompre le silence où je suis enchaînée

Il était sous Néron de toutes ses délices [parties de plaisir]

Préparez-vous à voir vos pays désolés

J'en tiens [de l'amour], ou l'on n'en tint jamais. - C'est consentir bientôt à perdre ta franchise

....Voyant à leurs pieds tomber tous leurs soldats, Et que seuls désormais en vain ils se défendent, Ils demandent le chef : je me nomme, ils se rendent

Insolent, ôte-toi pour jamais de ma vue

Et qu'une femme enfin dans la calamité

Puisse le grand moteur des belles destinées, Pour prolonger vos jours, retrancher nos années !

Votre marâtre y règne et le roi votre père Ne voit que par ses yeux, seule la considère