Citations sur corneille

Des arrêts du destin l'ordre est invariable

Madame.... Vous aurez en Léonce un digne possesseur

Et si Rome savait de quels feux vous brûlez

Il verra comme il faut dompter des nations Et sur de grands exploits bâtir sa renommée

Mais pour servir César rien n'est illégitime

Le ciel pour vous ailleurs n'a point fait de couronne, Et l'on s'en rend indigne alors qu'on l'abandonne

Que je sens de rudes combats

Qu'est-ce-ci, mes enfants ? écoutez-vous vos flammes ?

De quelque main que parte cette comédie, il est constant qu'elle est très ingénieuse, et je n'ai rien vu dans cette langue [espagnole] qui m'ait satisfait davantage ; j'ai tâché de la réduire à notre usage et dans nos règles

Mais vous seriez pour lui fort aise d'obéir

Noble et dure contrainte ! aimable tyrannie !

Qui fait le conseiller n'est plus ambassadeur ; Il excède la charge, et lui-même y renonce

Son sort que tu plains te doit faire penser Que ton coeur est sensible et qu'on peut le percer

Vous aimez, vous plaisez, c'est tout auprès des femmes

Consumant dès l'abord toute leur patience

Sans prendre aucun souci de votre dignité

.... Un charme ordinaire a trop peu de pouvoir Sur les spectres parlants qu'il faut vous faire voir

Et comme si vos feux étaient un don fatal, Il en fait un présent lui-même à son rival

Ces exemples récents suffiraient pour m'instruire

Eût-elle démenti ce billet de Maurice ?

.... laissons-les sans nous achever leurs querelles

De la main de ton père un coup irréparable Déshonorait du mien la vieillesse honorable

Pour envoyer l'effroi sous l'un et l'autre pôle

Ces femmes de bien qui se gouvernent mal

Tel Sophocle à cent ans charmait encore Athènes, Tel bouillonnait encor son vieux sang dans ses veines