Citations sur corneille

Diègue : Rodrigue a pris haleine en vous la racontant

C'est ainsi qu'on déguise un violent dépit ; C'est ainsi qu'une feinte au dehors l'assoupit

Ainsi [flatteuses voluptés] n'espérez pas qu'après vous je soupire ; Vous étalez en vain vos charmes impuissants

Notre profond silence abusant leurs esprits, Ils n'osent plus douter de nous avoir surpris

Les dieux à qui les sert font espérer des grâces

Sitôt qu'il se connaît, il en veut à mes jours

Je ne m'oppose pas à la commune joie, Mais souffrez des soupirs que la nature envoie

Observe exactement la loi que je t'impose

Je l'ai trouvé, seigneur, au bout de cette allée, Où la clarté du ciel semble toujours voilée

Je vous devrai beaucoup pour un si bon office

Ils couraient au pillage et rencontrent la guerre

Qu'en un cloître sacré je pleure incessamment....

Madame, vous voyez où l'amour m'a conduit

Un tumulte, dit-on, s'élève dans la place

J'ai honte de ma vie, et je hais son usage, Depuis que je la dois aux effets de ta rage

Dis-lui que l'amitié, l'alliance et l'amour Ne pourront empêcher que les trois Curiaces Ne servent leur pays contre les trois Horaces

De ce feu turbulent l'éclat impétueux N'est qu'un faible avorton d'un coeur présomptueux

N'arboreront-ils point l'étendard de Pompée ?

Mais au lieu de goûter ces grossières amorces....

Et l'on ne reconnaît de semblables forfaits Que quand la main s'apprête à venir aux effets

Vous savez les desseins de tout ce que j'ai fait

Et que sur mon tombeau ce grand titre gravé

Prenez-en aujourd'hui la marque la plus haute

Là par un long récit de toutes les misères Que durant notre enfance ont enduré nos pères

Lui rendre Nicomède avecque ma couronne