Citation Comment alors
Découvrez une citation Comment alors - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Comment alors issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 60 citations et proverbes sur le thème Comment alors .
60 citations
Et comment faire un choix, alors qu'affluent à la conscience les souvenirs des événements, grands et petits, des hommes que l'on a connus, des conduites que l'on a tenues ? Et puis, aussi fidèle ou bien exercée qu'elle paraisse, la mémoire est capricieuse.
Ce qui m’a un peu embêté pendant le confinement, c’est cette idée qu’on a fonctionné au ralenti. C’était un peu un stage d’initiation à la vieillerie, voire, à la retraite. Alors comment on fait pour avoir de nouvelles idées, et de nouvelles idées de mise en forme ? C’est compliqué.
Si écrire consiste à imaginer tout ce qui manque, à substituer au vide un certain ordre, je n'écris pas : comment pourrais-je créer la moindre fiction alors que j'ai moi-même été avalé par une fiction ? Comment bâtir un ordre quelconque sur de telles ruines ? Autant demander à Jonas d'imaginer qu'il vit dans le ventre d'une baleine au moment où il vit dans le ventre d'une baleine. Je n'ai pas besoin d'écrire pour mentir, imaginer, transformer ce qui m'a traversé. Le vivre m'a suffi. Et, cependant, j'écris
Comment notre époque et ceux qui la vivent ne seraient-ils pas frappés d'égoïsme alors que les trois quarts du commerce de détail et la totalité des activités de survie les encouragent à s'occuper de leur petite personne?
Comment se pouvait-il qu'avec une âme naturellement expansive, pour qui vivre, c'était aimer, je n'eusse pas trouvé jusqu'alors un ami tout à moi, un véritable ami ... ?
L'orthographe des noms polonais est souvent ardue. Alors, ne demandez pas à un polonais comment il s'appelle mais comment il s'épelle
Comment M. Poutine peut-il passer pour volontariste alors que la nature lui a refusé un menton?
Norma Jeane travaillait énormément, de façon obsessionnelle. Quand j'ai commencé mes recherches, j'ai revu, par ordre chronologique, tous les films dans lesquels elle a joué: Quand la ville dort, Les hommes préfèrent les blondes, Sept ans de réflexion, Bus Stop, Les Misfits... C'était une véritable artiste qui de film en film améliorait son jeu, sa présence. C'est, pour moi, un aspect fondamental du livre, montrer comment cette femme a vraiment travaillé pour être actrice alors que jamais personne n'a reconnu son intelligence, sa sensibilité, sa capacité d'imagination. J'ai voulu montrer ce versant de sa personnalité, l'indéniable talent qu'elle avait en dépit de sa timidité et de son manque d'assurance. Le monde l'a mal comprise ou pas comprise du tout. Elle n'était qu'un sex-symbol.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Alors j'ai devant moi le fiancé d'Isabelle? - Fiancé est trop dire. J'ai demandé sa main, et elle n'a pas encore dit non. Je ne sais au juste comment on appelle ce lien.
Et voilà comment on rate une affaire magnifique! Est-ce que vous n'auriez pas dû vous méfier plus tôt? Alors, vous admettez que cette affaire tombe à l'eau?
N'a-t-on jamais vu quelqu'un sortir d'une maison sans passer par la porte? Comment se fait-il alors que personne ne passe par la voie?
Lire donne aux femmes des idées. Sacrilège. Comment obturer le flot de jouissance que procure alors, chez les femmes, la lecture?
Le Parti finirait par annoncer que deux et deux font cinq et il faudrait le croire. Il était inéluctable que, tôt ou tard, il fasse cette déclaration. La logique de sa position l'exigeait. Ce n'était pas seulement la validité de l'expérience, mais l'existence d'une réalité extérieure qui était tacitement niée par sa philosophie. L'hérésie des hérésies était le sens commun. Et le terrible n'était pas que le Parti tuait ceux qui pensaient autrement, mais qu'il se pourrait qu'il eût raison. Après tout, comment pouvons-nous savoir que deux et deux font quatre ? Ou que la gravitation exerce une force ? Ou que le passé est immuable ? Si le passé et le monde extérieur n'existent que dans l'esprit et si l'esprit est susceptible de recevoir des directives. Alors quoi ? (…) La liberté, c'est la liberté de dire que deux et deux font quatre. Lorsque cela est accordé, le reste suit.
Et comment puis-je croire en Dieu alors que, la semaine dernière seulement, je me suis pris la langue dans le ruban d'une machine à écrire électrique?
Au cours des onze années durant lesquelles j'ai travaillé à sa réalisation, je n'ai donc pas eu de nom pour le film. “Holocauste”, par sa connotation sacrificielle et religieuse, était irrecevable ; il avait en outre déjà été utilisé. Mais un film, pour des raisons administratives, doit avoir un titre. J'en ai tenté plusieurs, tous insatisfaisants. La vérité est qu'il n'y avait pas de nom pour ce que je n'osais même pas alors appeler “l'événement”. Par-devers moi et comme en secret, je disais “la Chose”. C'était une façon de nommer l'innommable. Comment aurait-il pu y avoir un nom pour ce qui était absolument sans précédent dans l'histoire des hommes ? Si j'avais pu ne pas nommer mon film, je l'aurais fait.
Dans cette Europe humide et noire, comment alors ne pas recevoir avec un tremblement de regret et de difficile complicité, ce cri du vieux Chateaubriand à Ampère partant en Grèce : « Vous n'aurez retrouvé ni une feuille des oliviers ni un grain des raisins que j'ai vus dans l'Attique. Je regrette jusqu'à l'herbe de mon temps. Je n'ai pas eu la force de faire vivre une bruyère. » Et nous aussi, enfoncés, malgré notre jeune sang, dans la terrible vieillesse de ce dernier siècle, nous regrettons parfois l'herbe de tous les temps, la feuille de l'olivier que nous n'irons plus voir pour elle-même, et les raisins de la liberté.
Comment peut-on croire à ce que l'on crée alors que la publicité donne aux personnages tellement plus de réalité qu'on ne pourrait le rêver?
La vie est un choix. Du matin au soir, tous les jours. A qui l'on parle, où l'on s'assoit, ce que l'on dit, comment on le dit. Notre vie est définie par nos choix. C'est aussi simple et aussi complexe que cela. Et aussi fort. Alors, quand j'observe, c'est ce que je cherche à observer. Le choix des gens.
Le sujet des virus m'a toujours intéressé, mais je voulais l'écrire vraiment à la française. Je ne voulais pas d'une souche volée dans un laboratoire américain, qu'un méchant répandrait parmi la population. Non, ce qui m'intéressait, c'était de savoir ce qui se passerait spécifiquement en France, vraiment heure par heure, si une telle situation venait à arriver. Je voulais comprendre comment naît une pandémie. Je me suis donc rapproché de l'Institut Pasteur, à Lille, près de chez moi. Et le scénario développé alors, c'est exactement ce qui se passe aujourd'hui.
En contant son histoire, ne fait-on pas l'éloge de soi-même ? Complaisant pour les bons sentiments, on laisse dans l'ombre les défaillances, les fautes commises. Et comment faire un choix, alors qu'affluent à la conscience les souvenirs des événements, grands et petits, des hommes que l'on a connus, des conduites que l'on a tenues ? Et puis, aussi fidèle ou bien exercée qu'elle paraisse, la mémoire est capricieuse.
Protester, c'est refuser d'être réduit à rien et forcé au silence. Au moment même où une protestation a lieu, si elle a lieu, alors il y a une petite victoire. Le moment, bien que passé comme tout moment, acquiert un caractère indélébile. Il passe, mais il a été imprimé. Une protestation n'est pas seulement un sacrifice accompli en vue d'une alternative, d'un futur plus juste ; c'est une rédemption inconséquente du présent. Le problème est comment continuer à vivre avec l'adjectif inconséquent.
Comment peut-on se donner la mort pour une promotion ajournée ? Comment peut-on se croire indigne de survivre à l'échec lorsque l'échec n'est qu'un incident de parcours censé nous aguerrir ? Comment peut-on oser se situer en deçà de ses ambitions et penser, une seule seconde, qu'il existe un objectif plus fort que l'amour, plus important que sa propre vie ? Que de questions biaisées qui s'évertuent à nous dévier de la seule réponse qui nous importe : nous-mêmes. Depuis les temps reculés, l'Homme court après son ombre et cherche ailleurs ce qui est à portée de sa main, persuadé qu'aucune rédemption n'est possible sans martyre, que le revers est un déni de soi, alors que sa vocation première réside dans sa faculté de rebondir... Ah ! l'Homme, ce prodige réfractaire à ses chances et fasciné par l'échafaud de ses vanités, sans cesse écartelé entre ce qu'il croit être et ce qu'il voudrait être, oubliant que la plus saine façon d'exister est de demeurer soi-même, tout simplement.
J’ai horreur de parler à un groupe. Quand je dois parler à un groupe, j’essaie toujours d’isoler une personne et de lui parler à elle, mais pendant que je parle je sens que les autres m’observent et me prennent en traître. J’ai également horreur des gens qui vous demandent pleins d’entrain comment vous vous sentez et qui s’attendent à ce que vous leur répondiez « Très bien » alors qu’ils savent pertinemment que vous êtes à l’agonie.
Ah! la grande amour, ça vient, on ne sait pas quand, on ne sait pas comment, et qui mieux est, on ne sait pas pour qui... Alors ce ne sont plus que clairs de lune, gondoles, ivresses éthérées, âmes soeurs et fleurs bleues.

Robert Debré
Références de Robert Debré - Biographie de Robert Debré
Plus sur cette citation >> Citation de Robert Debré (n° 170590) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean-Yves Lafesse
Références de Jean-Yves Lafesse - Biographie de Jean-Yves Lafesse
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Yves Lafesse (n° 172888) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Philippe Lançon
Références de Philippe Lançon - Biographie de Philippe Lançon
Plus sur cette citation >> Citation de Philippe Lançon (n° 156384) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Philippe Bouvard
Références de Philippe Bouvard - Biographie de Philippe Bouvard
Plus sur cette citation >> Citation de Philippe Bouvard (n° 75890) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean-Jacques Rousseau
Références de Jean-Jacques Rousseau - Biographie de Jean-Jacques Rousseau
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Jacques Rousseau (n° 83260) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Marc Escayrol
Références de Marc Escayrol - Biographie de Marc Escayrol
Plus sur cette citation >> Citation de Marc Escayrol (n° 140466) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Philippe Bouvard
Références de Philippe Bouvard - Biographie de Philippe Bouvard
Plus sur cette citation >> Citation de Philippe Bouvard (n° 75793) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Joyce Carol Oates
Références de Joyce Carol Oates - Biographie de Joyce Carol Oates
Plus sur cette citation >> Citation de Joyce Carol Oates (n° 164502) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean Giraudoux
Références de Jean Giraudoux - Biographie de Jean Giraudoux
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Giraudoux (n° 84017) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Marcel Pagnol
Références de Marcel Pagnol - Biographie de Marcel Pagnol
Plus sur cette citation >> Citation de Marcel Pagnol (n° 96938) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Confucius
Références de Confucius - Biographie de Confucius
Plus sur cette citation >> Citation de Confucius (n° 119296) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Laure Adler
Références de Laure Adler - Biographie de Laure Adler
Plus sur cette citation >> Citation de Laure Adler (n° 112005) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






George Orwell
Références de George Orwell - Biographie de George Orwell
Plus sur cette citation >> Citation de George Orwell (n° 161978) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Woody Allen
Références de Woody Allen - Biographie de Woody Allen
Plus sur cette citation >> Citation de Woody Allen (n° 47623) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Claude Lanzmann
Références de Claude Lanzmann - Biographie de Claude Lanzmann
Plus sur cette citation >> Citation de Claude Lanzmann (n° 154112) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 157728) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Gertrude Stein
Références de Gertrude Stein - Biographie de Gertrude Stein
Plus sur cette citation >> Citation de Gertrude Stein (n° 58874) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Louise Penny
Références de Louise Penny - Biographie de Louise Penny
Plus sur cette citation >> Citation de Louise Penny (n° 169397) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Franck Thilliez
Références de Franck Thilliez - Biographie de Franck Thilliez
Plus sur cette citation >> Citation de Franck Thilliez (n° 168447) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Robert Debré
Références de Robert Debré - Biographie de Robert Debré
Plus sur cette citation >> Citation de Robert Debré (n° 170588) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






John Berger
Références de John Berger - Biographie de John Berger
Plus sur cette citation >> Citation de John Berger (n° 152776) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
Références de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra - Biographie de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
Plus sur cette citation >> Citation de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra (n° 159624) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Sylvia Plath
Références de Sylvia Plath - Biographie de Sylvia Plath
Plus sur cette citation >> Citation de Sylvia Plath (n° 165537) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Raymond Queneau
Références de Raymond Queneau - Biographie de Raymond Queneau
Plus sur cette citation >> Citation de Raymond Queneau (n° 63938) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :





Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Dictionnaire des citations en C +
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur Comment alors
Toutes les citations sur Comment alors Citations Comment alors Citation sur comment Citations courtes comment
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Thèmes populaires
Citations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
Liens