Citation Parler longtemps
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Une Sélection de 20 citations et proverbes sur le thème Parler longtemps.
20 citations
Je l'aime tant, le temps qui reste...
Je veux rire, courir, parler, pleurer,
Et voir, et croire
Et boire, danser,
Crier, manger, nager, bondir, désobéir
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Voler, chanter, partir, repartir
Souffrir, aimer
Je l'aime tant le temps qui reste
Je ne sais plus où je suis né, ni quand
Je sais qu'il n'y a pas longtemps...
Et que mon pays c'est la vie.Longtemps Claire avait tu ses enfances, non qu'elle en fut honteuse ni orgueilleuse, mais c'était un pays tellement autre et comme échappé du monde qu'elle n'eût pas su le convoquer à coups de mots autour d'une table avec ses amis de Paris. Elle avait laissé les choses parler pour elle.
Bavarder: Parler tant et aussi longtemps qu'on n'a rien à dire, et se taire quand on croit avoir réussi.
Il y a longtemps, mon cher et illustre maître, que je n'ai entendu parler de vous, et que de mon côté je ne vous ai donné signe de vie.
Enfin, je dis que pour être heureux il faut être susceptible d'illusion, et cela n'a guère besoin d'être prouvé ; mais, me direz-vous, vous avez dit que l'erreur est toujours nuisible : l'illusion n'est-elle pas une erreur ? Non : l'illusion ne nous fait pas voir, à la vérité, les objets entièrement tels qu'ils doivent être pour nous donner des sentiments agréables, elle les accommode à notre nature. Telles sont les illusions de l'optique : or, l'optique ne nous trompe pas, quoiqu'elle ne nous fasse pas voir les objets tels qu'ils sont, parce qu'elle nous les fait voir de la manière qu'il faut que nous les voyions pour notre utilité. Quelle est la raison pour laquelle je ris plus que personne aux marionnettes, si ce n'est parce que je me prête plus qu'aucun autre à l'illusion, et qu'au bout d'un quart d'heure je crois que c'est Polichinelle qui parle ? Aurait-on un moment de plaisir à la comédie, si on ne se prêtait à l'illusion qui vous fait voir des personnages que vous savez morts depuis longtemps, et qui les fait parler en vers alexandrins ? Mais quel plaisir aurait-on à un autre spectacle où tout est illusion, si on ne savait pas s'y prêter ? Assurément, il y aurait bien à perdre, et ceux qui n'ont à l'opéra que le plaisir de la musique et des danses y ont un plaisir bien décharné et bien au-dessous de celui que donne l'ensemble de ce spectacle enchanteur. J'ai cité les spectacles, parce que l'illusion y est plus aisée à sentir. Elle se mêle à tous les plaisirs de notre vie, et elle en est le vernis.
Souvent, dans ces hautes terres où la solitude a rouillé l'herbe, on rencontre un ruisseau, naissance de ces torrents qui, plus bas, hennissent de roc en roc, cabrent des ventres blancs et secouent de longues crinières humides. Ici, sans bruits, comme une étincelante couleuvre, il coule, sans mouvement dirait-on, dans un lit de petits joncs nerveux. De ses abords, où se sont épaissies les bardanes, les mauves et les menthes, se lève soudain un mouton qui dormait. On découvre alors, près d'un rocher gris, une cabane de bois gris, un âne gris, un homme gris, qui depuis longtemps déjà vous regardait, mais n'a pas fait un pas vers vous. Et il ne vous parlera guère, ou par oui et par non, ou peut-être, si vous lui demandez aide, par le don silencieux d'une tranche de pain et d'un verre de lait. Il connaît tellement les chemins de par ici qu'il ne peut vous être d'aucune aide pour vous guider. il sait qu'il ne peut parler que de choses qui vous sont totalement inconnues. Il n'essaie pas.
Je suis un grand-père du temps des mammouths laineux, je suis d’une race lourde et lente, éteinte depuis longtemps. Et c’est miracle que je puisse encore parler la même langue que vous, apercevoir vos beaux yeux écarquillés et vos minois surpris, votre étonnement devant pareilles révélations. Cela a existé, un temps passé où rien ne se passait. Nous avons cheminé quand même à travers nos propres miroirs. Dans notre monde où l’imagerie était faible, l’imaginaire était puissant.
J'aurais aimé te parler longtemps ou plutôt me taire avec toi. Il y a trop longtemps que je me tais tout seul. J'ai constaté qu'au long des mois, des années maintenant, ne se tissent que peu d'amitiés nouvelles, ne se retrouve pas l'amitié.
Chaque fois que je viens de parler un peu trop longtemps à quelqu'un, je suis comme un homme qui s'est grisé et qui, tout honteux, ne sait où se fourrer.
Je suis personnellement frappé de voir combien la peur a longtemps imprégné la plupart de mes rapports, de mes relations humaines : peur de ce que l'autre pense, peur de ce qu'il ne pense pas, peur de ce qu'il dit, peur de ce qu'il ne dit pas, peur d'un excès de paroles, peur d'un silence trop long, peur d'un manque d'amour, peur d'un excès d'amour, peur de parler, peur de taire, peur d'être seul, peur d'entrer en relation, peur de n'avoir rien à faire, peur d'être débordé de travail, peur de plaire, peur de déplaire, peur de séduire... Bon sang, que de peurs! Et que d'énergie consacrée à combattre ces peurs !
«Vous ne pouvez pas manger le gâteau et l'avoir», disent les Anglais à propos de la dualité entre vivre sa vie et la penser. Et les amoureux disent la même chose lorsqu'ils se déclarent: «Il ne faut pas trop parler. Parler tue la chose.» Longtemps je me suis inscrit dans cette dualité.
Plût à Dieu que je les eusse laissés effectuer ces recherches eux-mêmes ! Je n'aurais pas été obligé de porter si longtemps ce secret, et de le porter seul, de crainte que le monde ne me croie fou, ou ne sombre dans la folie à cause des implications démoniaques de tout cela. Si je me suis résolu à parler, c'est que j'ai eu peur que l'obsession ne me mène à la démence, et maintenant je voudrais n'avoir jamais rien caché. Je suis seul à connaître la vérité sur la peur qui rôdait dans la montagne fantomatique et déserte.
Étant appelé à parler de musique dans cette revue, que l'on m'accorde de m'expliquer en quelques mots sur la façon dont j'entends le faire. On trouvera donc à cette place des impressions sincères et loyalement ressenties, beaucoup plus que de la critique ; celle-ci ressemblant trop souvent à des variations brillantes sur l'air de « Vous vous êtes trompé parce que vous ne faites pas comme moi », ou bien : « Vous avez du talent, moi je n'en ai aucun, ça ne peut pas continuer plus longtemps... »
Il fût devenu fou ; la raison d'ordinaire
N'habite pas longtemps chez les gens séquestrés :
Il est bon de parler, et meilleur de se taire,
Mais tous deux sont mauvais alors qu'ils sont outrés.Dans les débats de société, vous pouvez dire n'importe quoi, à condition de parler plus longtemps que l'adversaire : comme dans les querelles de ménage, c'est l'endurance qui fera la différence.
Soudain, abandonnant mon anglais de touriste, je me mets à parler vietnamien au chauffeur. Je sors cette langue, devenue étrangère, de ma bouche docile et je dis au mec qui s'en fout : je suis née ici, c'est mon pays aussi, le mien, j'ai mon histoire avec lui, j'y ai droit, alors oui, je suis partie longtemps, je n'ai plus la langue ni les codes ni mes amis ni ma famille, mais c'était ma mère aussi, ce pays. Le chauffeur acquiesce avec indifférence. Il me prend pour une folle.
J'ai plusieurs fois ressenti le besoin de parler. Mais là, c'est fondamental, j'ai beaucoup de choses à lâcher. Je serre les dents depuis longtemps.
Je t ' aime parce que, lorsque tu me regardes, et cela depuis longtemps, je me sens un héros. Et je t ' aime surtout parce que j'ai enfin compris que je ne peux parler de mon amour à personne d'autre que toi
Ce n'est pas rien d'être le fils d'un personnage comme Georges Wilson. Et ce n'était pas rien non plus d'être le fils de ma mère… J'ai plusieurs fois ressenti le besoin de parler. Mais là, c'est fondamental, j'ai beaucoup de choses à lâcher. Je serre les dents depuis longtemps.
On ne saurait conserver longtemps les sentiments qu'on doit avoir pour ses amis et pour ses bienfaiteurs, si on se laisse la liberté de parler souvent de leurs défauts.
Lassé enfin d'un état si malheureux et si incertain, il résolut de tenter quelque voie d'éclaircir sa destinée. Que veux-je attendre, disait-il ? il y a longtemps que je sais que j'en suis aimé ; elle est libre, elle n'a plus de devoir à m'opposer ; pourquoi me réduire à la voir sans en être vu et sans lui parler ? Est-il possible que l'amour m'ait si absolument ôté la raison et la hardiesse, et qu'il m'ait rendu si différent de ce que j'ai été dans les autres passions de ma vie ? J'ai dû respecter la douleur de madame de Clèves ; mais je la respecte trop long-temps, et je lui donne le loisir d'éteindre l'inclination qu'elle a pour moi.
II n'y avait rien d'autre sur la terre, rien, ni personne. Ils étaient nés du désert, aucun autre chemin ne pouvait les conduire. Ils ne disaient rien. Ils ne voulaient rien. Le vent passait sur eux, à travers eux, comme s'il n'y avait personne sur les dunes. Ils marchaient depuis la première aube, sans s'arrêter, la fatigue et la soif les enveloppaient comme une gangue. La sécheresse avait durci leurs lèvres et leur langue. La faim les rongeait. Ils n'auraient pas pu parler. Ils étaient devenus, depuis si longtemps, muets comme le désert, pleins de lumière quand le soleil brûle au centre du ciel vide.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

Jean-Loup Dabadie
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