Citation elle ou moi
Découvrez une citation elle ou moi - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase elle ou moi issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème elle ou moi.
140 citations
Norma Jeane travaillait énormément, de façon obsessionnelle. Quand j'ai commencé mes recherches, j'ai revu, par ordre chronologique, tous les films dans lesquels elle a joué: Quand la ville dort, Les hommes préfèrent les blondes, Sept ans de réflexion, Bus Stop, Les Misfits... C'était une véritable artiste qui de film en film améliorait son jeu, sa présence. C'est, pour moi, un aspect fondamental du livre, montrer comment cette femme a vraiment travaillé pour être actrice alors que jamais personne n'a reconnu son intelligence, sa sensibilité, sa capacité d'imagination. J'ai voulu montrer ce versant de sa personnalité, l'indéniable talent qu'elle avait en dépit de sa timidité et de son manque d'assurance. Le monde l'a mal comprise ou pas comprise du tout. Elle n'était qu'un sex-symbol.
Pardonne-moi, Dora. Peut-être est-ce la fatigue. Des années de lutte, l'angoisse, les mouchards, le bagne... Où trouverais-je la force d'aimer ? Il me reste au moins celle de haïr. Cela vaut mieux que ne rien sentir.
Dans ce monde où tout est préparé, maîtrisé, contrôlé, où plus rien n'est spontané, mon franc-parler a parfois choqué les hypocrites. Moi, je dis ce que je pense et pense ce que je dis ! Il paraît que la vérité sort de la bouche des enfants. En ce qui me concerne, elle vient de mon âme d'enfant. Et c'est un privilège pour moi, à 82 ans, d'avoir su la conserver, après tant d'années où j'ai connu le meilleur et le pire de la vie.
Oh ! Cette dernière chaîne de l'Himalaya, le dernier col très large qui s'inclinait vers une pente descendant à la steppe immense, déserte, où s'érige, sentinelle puérile mais émouvante, le fortin de la première ville tibétaine… Moi, je serais restée là des jours… des mois peut-être et parfois la folle envie me prend de louer des yacks, d'emmener deux ou trois serviteurs tibétains plus robustes que les miens et de remonter là-haut pour revoir… voir mieux, davantage, cela que je ne reverrai jamais…
Papa, est-ce qu'on choisit sa vie ou est-ce que c'est elle qui choisit ? Réponds-moi, c'est important.
Je tends l'oreille et j'écoute l'hiver. Moi, je ne bouge pas, pourtant la neige est là, elle tombe sur moi et vient de boutonner sa cape sur mon dos et de nouer son écharpe à mon cou.
Ah ! le temps ne viendra que trop tôt, où, dégradée par sa chute, elle ne sera plus pour moi qu'une femme ordinaire.
Dans les films, quand une femme est quittée, elle entre dans une agence de voyages. Sans regarder la personne au guichet, elle dit donnez-moi un billet pour n'importe où, un aller sans retour. Et hop, elle part. Je ferai comme dans les films. Tokyo est évidemment le lieu parfait. Tokyo c'est loin, les gens y vivent vieux, mangent du riz et sont rarement diabétiques. Compte tenu de ce qui m'arrive, savoir que je ne finirai pas aveugle et amputée des deux jambes est une bonne nouvelle.
Sans partager intégralement les phobies de sa fille et de son gendre, elle était tout de même d'accord avec eux pour reconnaître que nous étions une espèce en voie d'extinction. Nous avions peur et nos peurs étaient aussi multiples et insidieuses que les menaces elles-mêmes. Nous avions peur des nouvelles technologies, du réchauffement climatique, de l'électrosmog, des parabènes, des sulfates, du contrôle numérique, de la salade en sachet, de la concentration de mercure dans les océans, du gluten, des sels d'aluminium, de la pollution des nappes phréatiques, du glyphosate, de la déforestation, des produits laitiers, de la grippe aviaire, du diesel, des pesticides, du sucre raffiné, des perturbateurs endocriniens, des arbovirus, des compteurs Linky, et j'en passe. Quant à moi, sans bien comprendre encore qui voulait nous faire la peau, je savais que son nom était légion et que nous étions contaminés. J'endossais des hantises qui n'étaient pas les miennes mais qui frayaient sans peine avec mes propres terreurs enfantines. Sans Arcady, nous serions morts à plus ou moins brève échéance, parce que l'angoisse excédait notre capacité à l'éprouver. Il nous a offert une miraculeuse alternative à la maladie, à la folie, au suicide. Il nous a mis à l'abri. Il nous a dit : « N'ayez pas peur. »
Je m’appelle Adrien Sterner et je suis connu pour avoir créé le premier métavers grandeur nature. J’y ai reproduit la réalité, la vraie réalité, l’entière réalité dans ses moindres détails. Toutes les rues de toutes les villes de tous les pays du monde sont imitées à l’identique, mieux que sur n’importe quelle maquette 3D. En gros, j’ai réussi à construire une planète B virtuelle où tout est bien meilleur que chez vous. [...] Grâce à moi, vous aurez oublié la sensation de l’ennui. Puisque votre vie n’a pas l’air palpitante, je suis heureux de pouvoir vous en offrir une deuxième. Place à votre anti-moi, bienvenue dans l’Antimonde !
Je sentais la caresse légère de ses doigts sur mon cou comme une brûlure, et, à un coup de roulis brusque, son pied se posa sur le mien, et elle me ceintura de ses bras tièdes, en riant d’un rire un peu précipité ; j’étais hors d’état de rien dire, mais je pressai ce pied nu, tout glacé sur les planches humides, son bras s’attarda une seconde autour de moi, et je sentis l’odeur d’enfance et de forêt de ses cheveux. En cet instant, je ne la désirais même plus, je ne sentais plus rien que le vent fortifiant qui nous giflait de claquements d’ailes rudes, et qu’une tendresse ouvrant ses mille bras dans une nuit confiantes, sûre de les refermer sur leur mesure même de douce chaleur.
Là où je dois peindre, j'écris un retangle de la taille que je veux qui joue, pour moi, le rôle d'une fenêtre ouverte par laquelle regarder l'historia.
En battant des oeufs, Virginie fredonnait Parlez-moi d'amour... Elle chantait tout le temps: des chansons à la mode, des chansons réalistes clamant la détresse des faubourgs ou de vieilles romances.
A l'éternelle triple question toujours demeurée sans réponse: «Qui sommes-nous? D'où venons-nous? Où allons-nous?» je réponds: «En ce qui me concerne personnellement, je suis moi, je viens de chez moi et j'y retourne».
Certains opposent la Géométrie à la Poésie. Quant à moi, lorsque la poésie languit, je fais volontiers de la géométrie, et je vois assez souvent, par réaction naturelle contre un abus de géométrie de quelques jours ou heures, la poésie renaître.
Ne cherche pas à connaître, il est défendu de le savoir, quelle destinée nous ont faite les Dieux, à toi et à moi, ô Leuconoé ; et n'interroge pas les Nombres Babyloniens. Combien le mieux est de se résigner, quoi qu'il arrive ! Que Jupiter t'accorde plusieurs hivers, ou que celui-ci soit le dernier, qui heurte maintenant la mer Tyrrhénienne contre les rochers immuables, sois sage, filtre tes vins et mesure tes longues espérances à la brièveté de la vie. Pendant que nous parlons, le temps jaloux s'enfuit.
Cueille le jour, et ne crois pas au lendemainUne dame disait un jour devant moi, d'elle-même, comme la chose la plus naturelle du monde: - - Je ne pense jamais, cela me fatigue; - ou, si je pense, je ne pense à rien. - Comme dit Hugo: ceci est grand jusqu'au sublime.
Moi, je sens mon corps à peine, je ne sais pas où ma vie commence ni où elle finit et je ne réponds pas toujours quand on m'appelle, tant ça m'étonne, parfois, d'avoir un nom.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Oh ! Cette dernière chaîne de l'Himalaya, le dernier col très large qui s'inclinait vers une pente descendant à la steppe immense, déserte, où s'érige, sentinelle puérile mais émouvante, le fortin de la première ville tibétaine… Moi, je serais restée là des jours… des mois peut-être et parfois la folle envie me prend de louer des yacks, d'emmener deux ou trois serviteurs tibétains plus robustes que les miens et de remonter là-haut pour revoir… voir mieux, davantage, cela que je ne reverrai jamais…
Ai-je menti en vous disant que je mentais ou en vous disant que je ne mens pas. Un menteur ! Moi ? Au fond je ne sais plus. Je m'embrouille. Quelle drôle d'époque. Suis-je un menteur ? Je vous le demande ? Je suis plutôt un mensonge. Un mensonge qui dit toujours la vérité.
- Dites-moi, que préférez-vous, un vin de Bordeaux ou un vin de Bourgogne? - - Voilà, Madame, une question pour laquelle j'éprouve tellement de plaisir à scruter, que je reporte semaine après semaine le prononcé du verdict.
J’ai tant regardé la rivière
et le soleil
et le doux ciel,
que j’ai lâché mon roseau vert.
Il est allé dans l’eau si claire,
il est allé jusqu’à la mer !
J’ai voulu cueillir aussitôt
un autre roseau si beau,
mais je me suis coupée aux herbes,
mes cheveux ont traîné dans l’eau...
(Ah ! rendez-moi donc mon roseau
et ma prairie et ma rivière !)
J’ai vu passer le fils du roi ;
il m’a dit : « Ma belle, pourquoi,
le long de la jolie rivière,
pourquoi pleures-tu là ? »
Ha ! Ha !
C’était le fils du roi.
Il m’a dit : « Viens avec moi,
et si tu veux tu seras reine.
Tu auras pour filer la laine
un rouet d’or, et un fuseau
aussi léger qu’un os d’oiseau !»
Las! je suis reine et prisonnière
dans un royaume merveilleux.
Mon cœur, mon cœur a tant de peine,
pleurez, pleurez, mes yeux.
Où sont mes sœurs et ma rivière ?
J’ai perdu mon roseau vert.Je ne sais pas si tu es en moi ou si je suis en toi, ou si tu m'appartiens. Une chose est sure je ne veux pas te posséder. Je pense que nous sommes tous les deux à l'intérieur d'un autre être que nous avons créé et qui s'appelle nous.
N'importe où et quoi que je fasse, lorsqu'elle est loin de moi, je sens toujours qu'il me manque un organe vital: son coeur.
Interview de Joyce Carol Oates par Catherine Argand (Lire), le 01/11/2000 de Joyce Carol Oates
Références de Joyce Carol Oates - Biographie de Joyce Carol Oates
Plus sur cette citation >> Citation de Joyce Carol Oates (n° 164502) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Justes (1952) de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 148266) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Répliques et piques de Brigitte Bardot
Références de Brigitte Bardot - Biographie de Brigitte Bardot
Plus sur cette citation >> Citation de Brigitte Bardot (n° 153121) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Journal de voyage de Alexandra David-Neel
Références de Alexandra David-Neel - Biographie de Alexandra David-Neel
Plus sur cette citation >> Citation de Alexandra David-Neel (n° 153508) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Ecrivain de la famille (2011) de Grégoire Delacourt
Références de Grégoire Delacourt - Biographie de Grégoire Delacourt
Plus sur cette citation >> Citation de Grégoire Delacourt (n° 137106) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Tout blanc (2013) de Marie-Sabine Roger
Références de Marie-Sabine Roger - Biographie de Marie-Sabine Roger
Plus sur cette citation >> Citation de Marie-Sabine Roger (n° 151450) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Liaisons dangereuses (1782) de Pierre Choderlos de Laclos
Références de Pierre Choderlos de Laclos - Biographie de Pierre Choderlos de Laclos
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Choderlos de Laclos (n° 148355) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Tokyo c'est loin (2006) de Tania de Montaigne
Références de Tania de Montaigne - Biographie de Tania de Montaigne
Plus sur cette citation >> Citation de Tania de Montaigne (n° 156165) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Arcadie (2018) de Emmanuelle Bayamack-Tam
Références de Emmanuelle Bayamack-Tam - Biographie de Emmanuelle Bayamack-Tam
Plus sur cette citation >> Citation de Emmanuelle Bayamack-Tam (n° 161194) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les liens artificiels (2022) de Nathan Devers
Références de Nathan Devers - Biographie de Nathan Devers
Plus sur cette citation >> Citation de Nathan Devers (n° 174819) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Rivage des Syrtes (1951) de Julien Gracq
Références de Julien Gracq - Biographie de Julien Gracq
Plus sur cette citation >> Citation de Julien Gracq (n° 166142) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de Leon Battista Alberti
Références de Leon Battista Alberti - Biographie de Leon Battista Alberti
Plus sur cette citation >> Citation de Leon Battista Alberti (n° 30444) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
David et Olivier (1985) de Robert Sabatier
Références de Robert Sabatier - Biographie de Robert Sabatier
Plus sur cette citation >> Citation de Robert Sabatier (n° 26671) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Pensées (1972) de Pierre Dac
Références de Pierre Dac - Biographie de Pierre Dac
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Dac (n° 5047) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Cahiers de Paul Valéry
Références de Paul Valéry - Biographie de Paul Valéry
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Valéry (n° 117194) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Odes, I, 11 de Horace
Références de Horace - Biographie de Horace
Plus sur cette citation >> Citation de Horace (n° 154986) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Philosophie de Georges Courteline
Références de Georges Courteline - Biographie de Georges Courteline
Plus sur cette citation >> Citation de Georges Courteline (n° 4760) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Diable et le Bon Dieu (1951) de Jean-Paul Sartre
Références de Jean-Paul Sartre - Biographie de Jean-Paul Sartre
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Paul Sartre (n° 25259) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Journal de voyage de Alexandra David-Neel
Références de Alexandra David-Neel - Biographie de Alexandra David-Neel
Plus sur cette citation >> Citation de Alexandra David-Neel (n° 153510) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le menteur de Cocteau de Jean Cocteau
Références de Jean Cocteau - Biographie de Jean Cocteau
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Cocteau (n° 158824) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de Anthelme Brillat-Savarin
Références de Anthelme Brillat-Savarin - Biographie de Anthelme Brillat-Savarin
Plus sur cette citation >> Citation de Anthelme Brillat-Savarin (n° 49035) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Petites voix (1930) de Madeleine Ley
Références de Madeleine Ley - Biographie de Madeleine Ley
Plus sur cette citation >> Citation de Madeleine Ley (n° 168848) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sur la route de Madison (1992) de Robert James Waller
Références de Robert James Waller - Biographie de Robert James Waller
Plus sur cette citation >> Citation de Robert James Waller (n° 97542) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Carnets de jeunesse (1990-1994) de René Fallet
Références de René Fallet - Biographie de René Fallet
Plus sur cette citation >> Citation de René Fallet (n° 108943) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer

- Eau - Ecologie - Economie - Ecouter - Ecrire - Ecriture - Education - Égalité - Egalite - Ego - Egoisme - Elegance - Elevation - Elitisme - Embobiner - Emergence - Emotion - Energie - Enfance - Enfant - Enfer - Engager - Ennemi - Ennui - Enseignement - Enseigner - Envie - Environnement - Ephemere - Epouse - Épouse - Époux - Epoux - Epreuve - Eprouver - Éprouver - Equilibre - Erotisme - Erreur - Erudiction - Esclave - Espace - Espece - Espérance - Esperance - Esperer - Espérer - Espoir - Esprit - Essentiel - Estime - Etat - Eternel - Eternite - Ethique - Ethologie - Etonnement - Etrange - Etre - Etudier - Europe - Evidence - Evolution - Exces - Excuses - Exhibitionnisme - Exil - Existence - Exister - Experience - Expliquer - Exponentiel - Extase - Extra+terrestre
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur elle ou moi
Toutes les citations sur elle ou moi Citations elle ou moi Citation elle ou moi et Proverbe elle ou moi Citation sur elle Citations courtes elle
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Thèmes populaires
Citations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
Liens
