Citation on se sent moins
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Une Sélection de 70 citations et proverbes sur le thème on se sent moins.
70 citations
Il arrive que les maîtres, surtout jeunes, se plaisent à discourir; et les élèves ne se plaisent pas moins à écouter; c'est la ruse de la paresse. Mais nul ne s'instruit en écoutant; c'est en lisant qu'on s'instruit.
Si seulement on pouvait s'entraîner en prévision des naufrages et s'arranger pour qu'ils se produisent quand on est dans une forme parfaite, il y aurait moins de noyades en mer.
Sans référence de Quoi que puissent affimer les mathématiciens, la chose qu'on appelle démonstration n'existe pas, en ce monde du moins...
Si vous dites : II fait beau temps, et que vous disiez vérité, il fait donc beau temps. Voilà pas une forme de parler certaine ? Encore nous trompera-t-elle. Qu'il soit ainsi, suivons l'exemple. Si vous dites : Je mens, et que vous disiez vrai, vous mentez donc. L'art, la raison, la force de la conclusion de cette-ci sont pareilles à l'autre ; toutes fois nous voila embourbés. Je vois les philosophes Pyrrhoniens qui ne peuvent exprimer leur générale conception en aucune manière de parler; car il leur faudrait un nouveau langage. Le notre est tout formé de propositions affirmatives, qui leur sont de tout ennemies. De façon que, quand ils disent : « Je doute », on les tient incontinent à la gorge pour leur faire avouer qu'au moins ils assurent et savent cela, qu'ils doutent. [...] Cette fantaisie est plus sûrement conçue par interrogation : « Que sais-je ? » comme je la porte à la devise d'une balance.
Il ne me fut jamais très difficile de trouver du travail, puisque ce n’était pas comme ouvrier spécialisé, mais comme manœuvre ou travailleur auxiliaire, que je cherchais à gagner mon pain. Je me trouvais ainsi dans la même situation que ceux qui secouaient de leurs pieds la poussière de l’Europe avec le dessein impitoyable de refaire leur existence dans un monde nouveau et de conquérir une nouvelle patrie. Détachés de toutes les considérations paralysantes de devoir et de rang, d’entourage et de tradition, ils saisissent chaque gain qui s’offre et font toutes les besognes, pénétrés de l’idée qu’un travail honorable n’abaisse jamais, quel qu’il soit. J’avais de même décidé de sauter à pieds joints dans ce monde nouveau pour moi pour y faire mon chemin. Je m’aperçus bientôt qu’il était moins difficile de trouver un travail quelconque que de le conserver. L’insécurité du pain quotidien m’apparut comme un des côtés les plus sombres de cette vie nouvelle.
Sur le quai de la gare, où elle a tenu à l'accompagner, tous les témoins ont vu combien il leur en coûtait de se séparer. Jusqu'au moment du départ ils sont demeurés enlacés, les bras croisés à hauteur de la taille, n'en finissant pas de se regarder, de s'embrasser, n'échangeant pas un mot, tétanisés à l'idée que bientôt un train régional allait les arracher brusquement l'un à l'autre, parvenir à scinder cette créature à deux têtes qu'ils forment sur le quai. Les quelques passagers qui attendent avec eux ont beau faire semblant de s'intéresser au trafic, de tendre l'oreille vers les haut-parleurs nasillards qui recommandent de faire attention au passage d'un train voie C ou que le train prévu à telle heure arrivera voie B, avec un retard de dix minutes environ, de se passionner pour les pigeons perchés sur le bord de la marquise, ou de dégager leur poignet pour vérifier que leur montre marque bien la même heure que l'horloge suspendue entre deux câbles deux lampadaires, on sent bien qu'ils se privent avec peine de la contemplation du beau couple, qu'ils ne demanderaient pas mieux que de s'installer sous leur nez et de compter à la trotteuse de la même montre la durée de leur baiser, ou du moins simplement les contempler, comme s'ils étaient derrière une glace sans tain, se gavant en toute impunité de cet éblouissement partagé de deux cœurs insatiables. Comme ça ne se fait pas [...], alors ils font comme les moineaux, toujours la tête en mouvement, pour capter des éclats de bonheur.
Rien n'est plus honorable, et ne fait plus d'honneur à la vertu, que la confiance avec laquelle on s'adresse aux personnes dont on connaît parfaitement la probité. On sent qu'il n'y a point de risque à courir. Si elles ne sont pas toujours en état d'offrir du secours, on est sûr qu'on en obtiendra du moins de la bonté et de la compassion. Le coeur, qui se ferme avec tant de soin au reste des hommes, s'ouvre naturellement en leur présence, comme une fleur s'épanouit à la lumière du soleil, dont elle n'attend qu'une douce influence.
Nous sommes tous esclaves de nos affections, esclaves des préjugés de ceux que nous aimons ; nous devons aussi gagner notre vie, et par cela devenir un rouage de machine. Le plus pénible, ce sont les concessions qu'il faut faire aux préjugés de la société qui nous entoure ; on en fait plus ou moins selon qu'on se sent plus faible ou plus fort. Si l'on n'en fait pas assez, on est écrasé. Si l'on en fait trop, on est vil et l'on prend le dégoût de soi-même. Me voilà loin des principes que j'avais il y a dix ans. Je croyais à cette époque qu'il fallait être excessif en tout, et ne faire aucune concession au milieu qui nous entoure. Je croyais qu'il fallait exagérer ses défauts comme ses qualités.
Toutes les deux ou trois générations, lorsque la mémoire s'étiole et que les derniers témoins des massacres précédents disparaissent, la raison s'éclipse et des hommes reviennent propager le mal.
On se sent moins pauvre quand on est seul à le savoir.
Nous vivons sur une île de placide ignorance, au sein des noirs océans de l'infini, et nous n'avons pas été destinés à de longs voyages. Les sciences, dont chacune tend dans une direction particulière, ne nous ont pas fait trop de mal jusqu'à présent ; mais un jour viendra où la synthèse de ces connaissances dissociées nous ouvrira des perspectives terrifiantes sur la réalité et la place effroyable que nous y occupons : alors cette révélation nous rendra fous, à moins que nous ne fuyions cette clarté funeste pour nous réfugier dans la paix et la sécurité d'un nouvel âge de ténèbres.
Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines, Voici s’enchevêtrer les vignes. Le ciel est joli comme un ange. L’azur et l’onde communient. Je sors. Si un rayon me blesse Je succomberai sur la mousse. Qu’on patiente et qu’on s’ennuie C’est trop simple. Fi de mes peines. je veux que l’été dramatique Me lie à son char de fortunes Que par toi beaucoup, ô Nature, – Ah moins seul et moins nul ! – je meure. Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Meurent à peu près par le monde. Je veux bien que les saisons m’usent. A toi, Nature, je me rends ; Et ma faim et toute ma soif. Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. Rien de rien ne m’illusionne ; C’est rire aux parents, qu’au soleil, Mais moi je ne veux rire à rien ; Et libre soit cette infortune.
Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes.
On dit du manque qu’il s’estompe avec le temps, les jours qui défilent et les années qui passent. On se rassure comme on peut, on se persuade que demain ce sera moins fort, moins présent, plus flou. Alors on vit, on comble le manque comme on peut, on fait semblant, on triche. Jusqu’au jour où l’on s’habitue à l’absence, qui devient la plus fidèle des présences.
On se cherche bien encore des trucs et des excuses pour rester là avec eux les copains, mais la mort est là aussi elle, puante, à côté de vous, tout le temps à présent et moins mystérieuse qu'une belote.
A quarante ans on consent à l'annihilation d'une part de soi-même. Le ciel fasse au moins que tout cet amour inemployé vienne redresser et faire resplendir une oeuvre dont je n'ai plus la force en ce moment.
Elle est, cette chambre, le réel qui résiste, dont je n'ai pas d'autre moyen pour en rendre l'existence que de l'épuiser en mots. Je me demande si je n'ai pas voulu, en fixant interminablement cette photo, moins redevenir cette fille de 1959, que capter cette sensation spéciale d'un présent différent du présent réellement vécu – celui où je suis en ce moment assise à mon bureau devant la fenêtre – un présent antérieur, une conquête fragile, peut-être inutile, mais qui me paraît une extension des pouvoirs de la pensée et de la maîtrise de notre vie. (
L'étude socio-technique des mécanismes de contrôle, saisis à leur aurore, devrait être catégorielle et décrire ce qui est déjà en train de s'installer à la place des milieux d'enfermement disciplinaires, dont tout le monde annonce la crise. Il se peut que de vieux moyens, empruntés aux anciennes sociétés de souveraineté, reviennent sur scène, mais avec les adaptations nécessaires. Ce qui compte, c'est que nous sommes au début de quelque chose. Dans le régime des prisons : la recherche de peines de « substitution » au moins pour la petite délinquance, et l'utilisation de colliers électroniques qui imposent au condamné de rester chez lui à telles heures. Dans le régime des écoles : les formes de contrôle continu, et l'action de la formation permanente sur l'école, l'abandon cotres pondant de toute recherche à l'Université, l'introduction de l' « entreprise » à tous les niveaux de scolarité. Dans le régime des hôpitaux : la nouvelle médecine « sans médecin ni malade » qui dégage des malades potentiels et des sujets à risque, qui ne témoigne nullement d'un progrès vers l'individuation, comme on le dit, mais substitue au corps individuel ou numérique le chiffre d'une matière « dividuelle » à contrôler. Dans le régime d'entreprise : les nouveaux traitements de l'argent, des produits et des hommes qui ne passent plus par la vieille forme-usine. Ce sont des exemples assez minces, mais qui permettraient de mieux comprendre ce qu on entend par crise des institutions, c'est-à-dire l'installation progressive et dispersée d'un nouveau régime de domination.
Mes frères en esprit, écrivains de France […]. Que votre voix s’élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu’elles sont, non pas telles qu’on voudrait qu’elles fussent. Et plus tard, lorsqu’on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j’ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu’en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai… Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d’un autre ; ce seront mes idées que j’exposerai et non pas celles d’un autre. Et, d’avance, des Européens que je viserai, je les sais si lâches que je suis sûr que pas un n’osera me donner le plus léger démenti. Car, la large vie coloniale, si l’on pouvait savoir de quelle quotidienne bassesse elle est faite, on en parlerait moins, on n’en parlerait plus. Elle avilit peu à peu. Rares sont, même parmi les fonctionnaires, les coloniaux qui cultivent leur esprit. Ils n’ont pas la force de résister à l’ambiance. On s’habitue à l’alcool. Avant la guerre, nombreux étaient les Européens capables d’assécher à eux seuls plus de quinze litres de pernod, en l’espace de trente jours. Depuis, hélas ! j’en ai connu un qui a battu tous les records. Quatre-vingts bouteilles de whisky de traite, voilà ce qu’il a pu boire en un mois.
Baisse un peu l'abat-jour, veux-tu? Nous serons mieux. - C'est dans l'ombre que les coeurs causent, - Et l'on voit beaucoup mieux les yeux - Quand on voit un peu moins les choses.
Les gouvernements qui se conduisent le mieux sont ceux dont on parle le moins.
On parle souvent dans les arts du mérite de la difficulté vaincue; néanmoins, on l'a dit avec raison, ou cette difficulté ne se sent pas, et alors elle est nulle; ou elle se sent; et alors elle n'est pas vaincue.
Moins on ment, mieux on se sent.
Ceux qui se refusent à penser vieillesse vieillissent bien moins vite et plus harmonieusement que ceux pour qui leur date de naissance est une obsession.
Les grands-pères placent la tête de leur petit-fils là où il y a au moins quelque chose d'intéressant à voir, bien que ce ne soit pas toujours quelque chose d'élémentaire, et, par cette attention continuelle à l'essentiel qui leur est propre, ils nous affranchissent de la médiocrité désespérante dans laquelle, sans les grands-pères, indubitablement nous mourrions bientôt d'asphyxie.

Emile-Auguste Chartier, dit Alain
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