Citation vent feu
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Une Sélection de 50 citations et proverbes sur le thème vent feu.
50 citations
Il pleuvait dense. Un vrai rideau de douche. Régulier. Têtu. Trempant. J'adorais. Ceux qui n'aiment pas la pluie ne méritent pas de prononcer des verbes comme arroser, mouiller, liquider. Même les Russes savent ça. Jusqu'à preuve du contraire la pluie n'entre pas sous la peau. Tout se sèche , à force. Avec un bon feu et une serviette.
Il tiroit un vent impetueux, lequel enlevoit de la plaine une poudre ardente comme feu.
Quelle meilleure chose, en effet, que d'être le soir au coin du feu avec un livre, pendant que le vent bat les carreaux.
Ne mets pas ta confiance dans le peuple, il est toujours inconstant: le peuple, le feu et l'eau, ne peuvent être domptés.
Le feu souvent est dans la tête;
Rarement il est dans le coeur.Le Vice n'a que trop d'attraits:
Bien mieux que la Vertu sauvage,
Du vase il emmielle les bords;
Et dans le premier feu de l'âge,
Souvent nos malheurs et nos torts
Sont la faute de nos Mentors.Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Il se sent comme un vieux feu, dont les braises se réveilleraient parfois sous un coup de vent, mais jamais suffisamment pour embraser le petit bois. Un foyer agonisant.
Le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre; - Qui l'ose réveiller peut s'en laisser surprendre.
Car si l'eau et le feu, les racines des arbres et les ailes du vent sont capables de venir à bout des plus grandes murailles, de lézarder les tours génoises et de fissurer les ponts de pierre au-dessus des torrents, qu'ont-ils à faire de ces traits tracés au stylo sur du papier ? La nature se fout bien du patrimoine qu'on prétend protéger en son nom.
La nue se déchire, et l'éclair trace un rapide losange de feu. Un vent impétueux, sorti du couchant, roule les nuages sur les nuages; les forêts plient; le ciel s'ouvre coup sur coup; et, à travers ces crevasses, on aperçoit de nouveaux cieux ...
L'amour est un feu dévorant qui s'augmente par les obstacles, et qui s'éteint dès qu'il n'en rencontre plus. Il ne dure pas longtemps, et sa fin la plus heureuse est de se changer en amitié ; car souvent il se tourne en haine.
L'insécurité est le pire sentiment qu'éprouvent les amants; le mariage le plus pot-au-feu, le plus vide de désir semble parfois préférable. L'insécurité déforme le sens de tout et empoisonne la confiance.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Quant au Grec, le vent de feu du désert l'avait desséché depuis longtemps, et il ne transpirait non plus qu'une momie.
L'Amour a fait de moi la cible où court la flèche, m'a fait neige au soleil, cire au contact du feu, et brume dans le vent.
Le moyen d'être fort, c'est d'emprunter la puissance des éléments. La force de la vapeur, de la pesanteur, du galvanisme, de la lumière, des aimants, du vent, du feu, nous sert jour après jour, et ne nous coûte rien.
L'amour n'est pas le même sous les chaudes régions qu'embrase un vent de feu, qu'aux rives hyperborées d'où le calme descend du ciel avec les frimas.
Les limites de son rôle dérivent de la nature de ses vertus. Et ces vertus, c’est encore aux lectures d’enfance que je vais aller demander en quoi elles consistent. Ce livre que vous m’avez vu tout à l’heure lire au coin du feu dans la salle à manger, dans ma chambre au fond du fauteuil revêtu d’un appuie-tête au crochet, et pendant les belles heures de l’après-midi, sous les noisetiers et les aubépines du parc, où tous les souffles des champs infinis venaient de si loin jouer silencieusement auprès de moi, tendant sans mot dire à mes narines distraites l’odeur des trèfles et des sainfoins sur lesquels mes yeux fatigués se levaient parfois, ce livre, comme vos yeux en se penchant vers lui ne pourraient déchiffrer son titre à vingt ans de distance, ma mémoire, dont la vue est plus appropriée à ce genre de perceptions, va vous dire quel il était « le Capitaine Fracasse », de Théophile Gautier. J’en aimais par-dessus tout deux ou trois phrases qui m’apparaissaient comme les plus originales et les plus belles de l’ouvrage.
L'absence diminue les médiocres passions, et augmente les grandes, comme le vent éteint les bougies et allume le feu.
Nous maîtrisons déjà l'énergie du vent, des marées, du soleil. Mais le jour où l'homme saura dominer l'énergie de l'amour, cela sera aussi important que l'a été la découverte du feu.
Les gens qui mettent le feu aux poudres sont souvent assez stupides pour s'étonner de l'explosion.
Gus adorait quand ils étaient assis au coin du feu et que la mémé lui racontait des histoires anciennes venues de son passé à elle, qu’il n’avait pas connu et qui la rendait plus souvent triste que joyeuse. Gus ne s’y trompait pas à l’époque. Et ses silences. Des silences qui le calmaient comme rien n’avait jamais pu le faire aussi bien depuis. Il lui disait alors qu’elle était une fée pleine de rides et elle répondait en souriant qu’elle n’en était pas une, que les fées étaient toujours belles et jamais vieilles, que c’était à ça qu’on les reconnaissait.
Chaque chose dans la nature donne à l'homme le fruit qu'elle porte, le bienfait qu'elle produit. Tous les objets servent l'homme, selon les lois qui leur sont propres ; le soleil donne sa lumière, le feu sa chaleur, l'animal son instinct, la fleur son parfum. C'est leur façon d'aimer l'homme. Ils suivent leur loi, et ne s'y refusent pas et ne s'y dérobent jamais ; l'homme doit obéir à la sienne. Il faut qu'il donne à l'humanité et qu'il rende à la nature ce qui est sa lumière à lui, sa chaleur, son instinct et son parfum, l'amour.
Quelle meilleure chose, en effet, que d'être le soir au coin du feu avec un livre, pendant que le vent bat les carreaux, que la lampe brûle.
La récup (2008) de Jean-Bernard Pouy
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Fabius Maximus, 32 de Jacques Amyot
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Madame Bovary (1857) de Gustave Flaubert
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Sans référence de Phocylide de Milet
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Le Villageois de Jean Frain, seigneur du Tremblay
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Fables nouvelles (1810), Fable XXIV, Les jeunes Rats et le Chat de Pierre-Louis Ginguené
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Vernon Subutex (2015) de Virginie Despentes
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Rodogune, princesse des Parthes (1644) de Pierre Corneille
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Le Temps est assassin de Michel Bussi
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Atala de François-René de Chateaubriand
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De l'homme considéré moralement ; de ses moeurs, et de celles des animaux (1802), II de Jean-Claude Delamétherie
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La Fin d'une liaison (1951) de Graham Greene
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le Roman de la momie (1856), Prologue de Théophile Gautier
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Sans référence de Pétrarque
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Société et Solitude (1870) de Ralph Waldo Emerson
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Le Roman de la momie (1856) de Théophile Gautier
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Sur la lecture de Marcel Proust
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Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664) de François de La Rochefoucauld
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Grossir le Ciel (2014) de Franck Bouysse
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En voyage, tome II (1910) de Victor Hugo
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Madame Bovary (1857) de Gustave Flaubert
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