Citation Alors encore
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Une Sélection de 100 citations et proverbes sur le thème Alors encore.
100 citations
Alors quoi! fait Pépin, toujours mauvaise tête, j'm'en ressens pas pour encore becter des clarinettes; j'vais ouvrir une boîte de singe en moins de deux.
On a du mal à imaginer que ceux qui ne sont pas encore au monde ont une existence terrestre. Alors pourquoi ceux qui quittent la vie en auraient-ils une?
Mes frères en esprit, écrivains de France […]. Que votre voix s’élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu’elles sont, non pas telles qu’on voudrait qu’elles fussent. Et plus tard, lorsqu’on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j’ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu’en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai… Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d’un autre ; ce seront mes idées que j’exposerai et non pas celles d’un autre.
Les sentiments empruntés aident les jeunes gens à franchir le terrain psychique si dangereusement mouvant de ces années où l'on voudrait tant être quelqu'un alors qu'on n'en a pas encore les moyens.
Il est clair que je ne suis pas un fanatique ! Un sceptique, alors ? Mais sceptique vis-à-vis de quoi ? Vis-à-vis de la religion ? Là, la réponse est oui. Vis-à-vis des idéologies, quelles qu'elles soient ? La réponse est encore oui.
Une fois séparés, ils continuaient de s'apprivoiser en imagination, se souvenant des baisers, des gestes, avec encore le feu abandonné par la trace d'une paume sur un visage, et même par l'ombre de cette paume. Ils s'ouvraient alors à des territoires effrayants de beauté , de douceur et d'inconnu.
Je vous plains alors, Monsieur Fogg, car l'isolement est une triste chose. Quoi ! pas un coeur pour y verser vos peines. On dit cependant qu'à deux la misère elle-même est supportable encore !
J'ai encore des besoins alors que je n'ai plus d'ambitions. Mais ceux qui sous-estiment les premiers sont tentés d'exagérer les secondes.
La volonté de ne plus aimer est encore de l'amour et la volonté d'aimer encore ne l'est déjà plus, le désir de ne plus se souvenir appelle encore la mémoire, alors que le désir de se souvenir encore convoque déjà l'oubli.
Il y a bien encore quelques irréductibles qui pensent que le Rhin est une frontière, alors que ça n'est qu'un fleuve, mais tout cela a fait son temps.
J'ai dit que j'avais giflé une femme? Oui. Et j'aurais dû ajouter que j'ai plus reçu de baffes que je n'en ai donné. Dans ma vie, je n'ai jamais harcelé une femme. En revanche, elles m'ont beaucoup harcelé et aujourd'hui encore, alors que je n'ai plus grand-chose à donner. Après, des gens m'aiment, d'autres non, c'est toute ma vie.
J'ai beaucoup aimé enseigner, d'ailleurs je tiens encore un séminaire (alors qu'enfant je m'ennuyais éperdument à l'école, attendant la sonnerie de la récréation). Parmi les élèves ou les étudiants, il y a toujours, sans que nécessairement on les remarque sur le moment, des esprits curieux, sensibles, exigeants. Risquer sa parole devant eux, son savoir et ses ignorances, les intéresser ou les inquiéter, c'est recevoir beaucoup. Je suis moins fier que reconnaissant à l'égard de toutes ces personnes, dont certains sont devenus des amis.
Le temps est une belle ordure, il vous dépiaute alors que vous êtes encore vivant, comme les tueurs de bébés phoques.
Avec elle, je suis encore plus libre à deux que seul. Une cage dont la fenêtre reste toujours ouverte. Pourquoi s'enfuir voler ailleurs, là, maintenant, tout de suite, alors qu'on peut le faire n'importe quand ?
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Alors ? Il dort le gros con ? Et ben y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule ! Il entendra chanter les anges, le gugusse de Montauban ! J'vais l'renvoyer tout droit à la maison mère, au terminus des prétentieux
Aussitôt qu'un sujet s'est rendu trop puissant,
Encore qu'il soit sans crime, il n'est pas innocent :
On n'attend point alors qu'il s'ose tout permettre ;
C'est un crime d'état que d'en pouvoir commettre.L'Afrique perdra lorsqu'elle perdra les éléphants. Comment pouvons-nous parler de progrès, alors que nous détruisons encore autour de nous les plus belles et les plus nobles manifestations de la vie?
Curieusement, en le serrant dans ses bras, la mère ne perçoit aucune émotion particulière chez son fils qui lui offre un visage neutre, impavide. Peut-être ce qu'il a vécu, coincé sous les décombres durant ces trois jours et ces trois nuits, est-il plus horrible encore que de perdre un frère auquel on était attaché, et en est-il ressorti immunisé à la douleur. Peut-être s'est-il senti abandonné des siens, alors qu'elle a laissé la dépouille de l'aîné sous la surveillance du voisin pour courir comme une folle jusqu'à l'école qu'elle a trouvée, à l'arrivée, réduite en poussière, qu'elle a crié son nom le reste de l'après-midi et une partie de la nuit, jusqu'à ce qu'elle ait dû, la mort dans l'âme, rebrousser chemin pour rejoindre les autres. Peut-être ces épreuves l'ont-elles fait grandir d'un coup, passer de l'état d'enfance à l'âge adulte sans s'être arrêté à l'adolescence, le voilà aujourd'hui avec une tête d'homme mature dans un corps de gamin.
Je me demande pourquoi les gens s'obstinent dans les parcs et les jardins à attendre que les feuilles soient mortes pour les ramasser, en se baissant, alors que ça serait beaucoup plus pratique de les couper quand elles sont encore vertes.
A vingt-neuf ans l'homme était dans sa trentième année. Et il avait justement vingt-neuf ans. Et ce n'était que maintenant, encore que le sentiment l'eût progressivement gagné depuis le matin, qu'il ressentait clairement l'impact intolérable de cette notion qu'il eût pu sans doute déjà acquérir à l'âge de vingt-deux ans, mis qui n'était pas venue, et qu'il eût dû pou le moins acquérir à l'âge de vingt-cinq ans, mais qui n'était toujours pas venue, cette notion jusqu'alors associé par lui uniquement avec des personnes chancelant au bord de la tombe, et A.E. Housman, selon quoi la jeunesse ne dure pas éternellement - et qu'en l'espace d'un éclair même l'on a cessé d'être jeune. Dans quatre ans à peine, qui allaient passer à une allure folle au point que la cigarette d'aujourd'hui paraîtrait avoir été fumée la veille, il se retrouverait à trente-trois ans ; sept années plus tard à quarante ans ; quarante-sept années plus tard à quatre-vingts ans. Soixante-sept ans était une longueur de temps plutôt confortable, mais il aurait alors cent ans. Je ne suis plus un prodige. Je n'ai plus d'excuse de me conduire aussi irresponsablement. je ne suis plus si vaillant que cela. Je ne suis plus jeune.
Que savons-nous de ceux qui nous embrassent alors que nous sommes encore des enfants? Rien. Nous les embrassons en retour et c'est tout...
Le fait est que comprendre les autres n'est pas la règle dans la vie, c'est de se tromper sur leur compte, encore et encore, encore et toujours, avec acharnement et, après y avoir bien réfléchi, se tromper à nouveau. C'est même comme ça qu'on sait qu'on est vivant : on se trompe. Peut-être que le mieux serait de renoncer à avoir tort ou raison sur autrui, et continuer rien que pour la balade. Mais si vous y arrivez, vous… alors vous avez de la chance.
Ce coeur impitoyable à ma perte s'obstine, et dit qu'il m'aime encore alors qu'il m'assassine.
Et alors qu'ils ne sont encore que des disciples, voilà qu'ils veulent devenir des maîtres et des professeurs, avant même de savoir écouter correctement.
Le Feu, Journal d'une escouade (1916) de Henri Barbusse
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Sans référence de Yvan Francis Le Louarn, dit Chaval
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Batouala (1921) de René Maran
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Les désarrois de l'élève Törless (1906) de Robert Musil
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« Entretien », Philip Roth (propos recueillis par Nathalie Crom), Télérama, nº 3017, semaine du 10 au 16 novembre 2007, p. 22 de Philip Roth
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Glaise (2018) de Franck Bouysse
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Le Tour du monde en quatre-vingts jours (1873) de Jules Verne
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Mille et une pensées (2005) de Philippe Bouvard
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La première défaite (2012) de Santiago Amigorena
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Journal d'un bouffon (2002) de Jean Amadou
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Entretien au Journal du dimanche, le 18 mai 2019 de Alain Delon
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Conversations à Jassy, Pierre Pachet, éd. Maurice Nadeau, 1997 de Pierre Pachet
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L'angoisse du roi Salomon (1979) (sous le pseudonyme d'Emile Ajar) de Romain Gary
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Dieu surfe au Pays basque de Harold Cobert
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Les Tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner de Michel Audiard
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Nicomède (1651), II, 1, Araspe de Pierre Corneille
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Les Racines du ciel (1956) de Romain Gary
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Ballade d'un amour inachevé (2013) de Louis-Philippe Dalembert
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J'me marre (2003) de Jean Gouyé, dit Jean Yanne
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Au-dessous du volcan (1947) de Malcolm Lowry
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Falaises (2005) de Olivier Adam
Références de Olivier Adam - Biographie de Olivier Adam
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Pastorale américaine (1997) de Philip Roth
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Horace (1640), II, 5, Camille de Pierre Corneille
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The Anatomy of Melancholy de Robert Burton
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