Citation En formes
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Une Sélection de 130 citations et proverbes sur le thème En formes.
130 citations
Le point de Paris, où se trouvait Jean Valjean ... est un de ceux qu'ont transformés de fond en comble les travaux récents, enlaidissement selon les uns, transfiguration selon les autres.
Il est impossible de prévoir les incidences des mesures en apparence les plus sages. C'est pourquoi la manie des grandes réformes est souvent si dangereuse pour un peuple.
La peur psychologique n'a rien à voir avec la peur ressentie face à un danger concret, réel et immédiat. La peur psychologique se présente sous une multitude de formes : un malaise, une inquiétude, de l'anxiété, de la nervosité, une tension, de l'appréhension, une phobie, etc. Ce type de peur concerne toujours quelque chose qui pourrait survenir et non pas ce qui est en train d'arriver. Vous êtes dans l'ici-maintenant, tandis que votre mental est dans le futur.
Le pouvoir est de déchirer l'esprit humain en morceaux que l'on rassemble ensuite sous de nouvelles formes que l'on a choisies.
Ses formes sveltes se transformaient à vue d'oeil en contours plus suaves et plus arrondis par l'adolescence.
Il y a dans cette société une majorité de femmes. il y en a qui sont, pour beaucoup, illettrées. pour beaucoup on leur explique : “ vous n'avez plus d'avenir à gad ou aux alentours. allez travailler à 50 ou 60 km. ” ces gens-là n'ont pas le permis de conduire. on va leur dire quoi ? il faut payer 1 500 euros et il faut attendre un an ? voilà, ça ce sont des réformes du quotidien.
À partir du moment où nous n'avons plus de presse libre, tout peut arriver. Ce qui permet à une dictature totalitaire ou à toute autre dictature de régner, c'est que les gens ne sont pas informés ; comment pouvez-vous avoir une opinion si vous n'êtes pas informé ? Si tout le monde vous ment en permanence, la conséquence n'est pas que vous croyez les mensonges, mais plutôt que personne ne croit plus rien. En effet, les mensonges, de par leur nature même, doivent être modifiés, et un gouvernement menteur doit constamment réécrire sa propre histoire. Le destinataire ne se contente pas d'un seul mensonge - un mensonge qui pourrait durer jusqu'à la fin de ses jours - mais il reçoit un grand nombre de mensonges, selon la direction du vent politique. Et un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut plus se décider. Il est privé non seulement de sa capacité d'agir, mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez alors faire ce que vous voulez.
La terre n'aimait pas, ne haïssait pas, ne pensait ni au mal, ni au bien. Ne pensait pas. Les hommes dessus, misérables colons dans leur habit de sueur, avec ce besoin de tout nommer, de ramener la terre à une compréhension factice. Les hommes, qui avaient tant besoin de trouver des explications à ce qui ne demandait rien, quand il aurait fallu écouter, regarder la terre se pencher, aimanter toutes les formes de vie, la moindre particule minérale, et même les oiseaux finissaient toujours par se poser et les poussières par retomber.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.La politique et le sort des hommes sont formés par des hommes sans idéal et sans grandeur. Ceux qui ont une grandeur en eux ne font pas de politique.
Depuis la fin de la guerre, le monde s'efforce d'agir comme les nazis, en éliminant seulement les uniformes SS.
L'Ennemi naturel (1977) de Si le lecteur me permet de lui présenter sitôt une image nouvelle, je me servirai, pour montrer la force de l'éducation, du même exemple qu'emploie Aristote pour expliquer sa doctrine des formes substantielles, quand il nous dit qu'une statue est cachée dans un bloc de marbre, et que l'art du statuaire se borne à élaguer la matière superflue, et à la débarrasser d'une enveloppe grossière. La figure est dans le bloc, et le sculpteur ne fait que l'en tirer. L'éducation est à l'âme humaine ce que la sculpture est à un bloc de marbre.
Quand j'étais enfant, à l'école du dimanche, j'étais secrètement déçu et vaguement gêné par le fait que les Juifs de l'Antiquité étaient toujours opprimés, perdaient toujours les batailles contre les autres nations, plus puissantes et plus grandes; et lorsque la situation internationale était relativement ordinaire, ils étaient transformés en victimes et châtiés par leur dieu sombre et impossible à apaiser.
La vie des formes n'a rien à voir avec les formes de la vie.
L'homme ne s'aperçoit pas qu'on l'étouffe, mais en plus il revendique sa famille, son travail, son système politique et la plupart de ses prisons comme autant de formes «d'expression de sa personnalité».
De gros nuages se fendaient en bosses et protubérances. Les formes étaient courbes, galbées, bombées comme des jarres, suspendues comme des coraux, pleines de veinures secrètes, tout obéissait à des emblèmes féminins. Elle confirma à cet instant que le nom du ciel ne pouvait pas être masculin.
Le soir tombait. Un givre épais recouvrait tout : les branches tordues des arbres, les fils et les poteaux des clôtures, l'herbe drue, la terre des champs presque nus. C'était comme un monde d'horribles formes blanches, angoissantes, féeriques, un univers cristallin d'où la vie semblait bannie. Je regardais les montagnes : le vaste mur bleu barrait l'horizon, gardien d'un autre monde, caché celui-là. Le soleil, du côté de l'Abkhazie sans doute, tombait derrière les crêtes, mais sa lumière venait encore effleurer les sommets, posant sur la neige de somptueuses et délicates lueurs roses, jaunes, orange, fuchsia, qui couraient délicatement d'un pic à l'autre. C'était d'une beauté cruelle, à vous ravir le souffle, presque humaine mais en même temps au-delà de tout souci humain. Petit à petit, là-bas derrière, la mer engloutissait le soleil, et les couleurs s'éteignaient une à une, laissant la neige bleue, puis d'un gris-blanc qui luisait tranquillement dans la nuit. Les arbres incrustés de givre apparaissaient dans les cônes de nos phares comme des créatures en plein mouvement. J'aurais pu me croire passé de l'autre côté, dans ce pays que connaissent bien les enfants, d'où l'on ne revient pas.
Sur les photographies, les vivants mêmes sont transformés en cadavres parce qu'à chaque fois que se déclenche l'obturateur, la mort est déjà passée.
Il y a un moment où la lumière commence à s'en prendre aux choses, à leur faire balbutier leurs formes, et puis leurs noms successifs, à partir de celui-ci même de «choses» qui est le commencement.
Dieu ne s'est incarné qu'une seule fois, dans le Christ, pour s'offrir en victime aux hommes. Le diable s'est incarné d'innombrables fois, en une quantité de personnes et de formes, et toujours aux dépens et à la honte des hommes.
Ce n'est pas aux enfants d'être transformés par leurs parents, mais aux parents d'être transformés par leur enfants. De vivre l'éclosion de leurs sentiments, d'assister leurs pensées, d'entrer en empathie avec ce qui les traverse et les fonde.
L'échange en était fait aux formes ordinaires.
Les Jeux Olympiques ne sont point de simples championnats mondiaux, mais bien la fête quadriennale de la jeunesse universelle, du "printemps humain", la fête des efforts passionnés, des ambitions multiples et de toutes les formes d'activité juvénile de chaque génération apparaissant au seuil de la vie.
En art comme en amour, l'instinct suffit, et la science n'y porte qu'une lumière importune. Bien que la beauté relève de la géométrie, c'est par le sentiment seul qu'il est possible d'en saisir les formes délicates.
Je suis profondément convaincue que les bonnes réformes se bâtissent dans le dialogue avec tous les acteurs et en proximité.

Victor Hugo
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Gustave Le Bon
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Eckhart Tolle
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George Orwell
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Alphonse de Lamartine
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Emmanuel Macron
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Franck Bouysse
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Alfred de Vigny
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Albert Camus
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Julian Horwitz
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Daniel Mendelsohn
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Jean Cocteau
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Bernard Werber
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Miguel Bonnefoy
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Jonathan Littell
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Jérôme Ferrari
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Paul Valéry
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Giovanni Papini
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Vincent Cespedes
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Jean de La Fontaine
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Pierre de Coubertin
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Anatole France
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Élisabeth Borne
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