Citation moi
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Une Sélection de 4970 citations et proverbes sur le thème moi .
4970 citations
J'ai scruté tout cela avec sagesse. Je me suis dit: «Je veux être sage.» Mais la sagesse est restée loin de moi.
Pour moi, qui vois en tout la Providence, je vois ce canon chargé de toute éternité.
Mais les gens d'intrigue ont toujours besoin d'inventer un parti dangereux quelconque. C'est vieux comme le monde. Non, ce qu'il faut au pays, c'est un parti capable de porter au pouvoir des hommes indépendants comme toi et moi.
Le vrai courage, pour moi, c'est la prudence.
Rien n'existait pour moi que dans la mesure où cela se rapportait à toi; rien dans mon existence n'avait de sens si cela n'avait pas de lien avec toi.
Fonder des bibliothèques, c'était encore construire des greniers publics, amasser des réserves contre un hiver de l'esprit qu'à certains signes, malgré moi, je vois venir.
Ma conversion ne regarde personne, répétait-il. C'est affaire entre Dieu et moi.
Pour moi, le sexe a donc toujours été lié à l'amour, aux sentiments. Dans la vie, le sexe, c'est important, ça fait appel à des choses intimes. Très personnelles, donc fondamentales. A condition de trouver l'harmonie avec l'autre...
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Mieux vaut dire: Veux-tu du mien,
Que non pas: Donne-moi du tien.J’ai dû couper bien des ponts derrière moi. Mais toutes ces cicatrices, il faut les porter comme des bijoux de famille. Les rides, les cicatrices, c’est la vie, tu la prends à pleins bras et tu en prends plein la gueule, mais c’est comme ça, il ne faut pas être tiède. Et c'est un fameux trouillard qui affirme ça !
La sexualité est encore pour nous comme le coffret d'argent où se cache le mystère du moi féminin.
Baudelaire disait que les personnages des Liaisons Dangereuses étaient brûlants comme la glace. C'est cela que j'ai souhaité rendre. Comment on peut être carbonisé par des sentiments glacés. Pour moi, c'est cela la perversion narcissique.
Moi, des tanches? dit-il, moi, héron, que je fasse
Une si pauvre chère? Et pour qui me prend-on?Pour moi, le médecin qui ne peut pas s'appuyer sur un pharmacien de premier ordre est un général qui va à la bataille sans artillerie.
Quand je me surprends à réagir à une situation donnée de manière disproportionnée (ce qui arrive encore trop souvent), j'essaie d'engager un dialogue intérieur avec moi-même. Je me demande quel âge j'ai l'impression d'avoir. En général, une réponse me vient assez rapidement. Souvent, c'est trois ans. Parfois six, et, de temps à autre, j'ai le sentiment d'être un nouveau-né. Je demande alors à ce moi plus jeune ce dont il a besoin et j'essaie de trouver des manières de l'apaiser et de le réconforter qui conviennent à son âge. Ça paraît dingue, mais ça marche.
Mon vieux, c'est sensass... oui! Ah! quel con, alors, ça vaut la peine d'avoir quelqu'un chez moi à qui parler, ce con-là, il roupille déjà!
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il faut que j'évite de trembler. Quand le tremblement s'empare de moi, c'est que le nerf est atteint : à ce moment, il n'y a plus rien à faire, je ne peux plus que trembler, non pas comme une feuille, mais comme une machine sur le point d'exploser.
C'est dans un état bien particulier que j'écris ces mots, puisque cette nuit je ne serai plus. Je me trouve sans le sou, au terme de mon supplice de drogué qui ne supporte plus la vie sans sa dose, et je ne puis endurer plus longtemps ma torture. Je vais sauter par la fenêtre, me jeter dans cette rue sordide. Il ne faudrait pourtant pas croire que la morphine, dont je suis l'esclave, ait fait de moi un être faible ou dégénéré. Lorsque vous aurez lu ces quelques pages hâtivement griffonnées, vous ne vous étonnerez pas – encore que vous ne puissiez jamais le comprendre parfaitement – que je me trouve devant cette unique alternative : l'oubli ou la mort.
Seigneur, donnez-moi de ne vouloir qu'une seule chose et de la vouloir sans cesse.
Le cinéma en général me laisse passablement indifférent, jusqu'à Godard qui a essayé de casser la forme du film pour le recomposer de façon différente : l'histoire elle-même est tissée de toutes ces citations que j'appelle « de cabinet de dentiste », et lorsqu'on entend s'exclamer « Quel merveilleux intellectuel ! », je trouve ça au contraire assez pénible… C'est peut-être une opinion un peu tranchée, mais enfin elle est très profondément ancrée en moi.
Je me fous absolument de l'Index qui ne représente pour moi qu'un guichet derrière lequel on déshonore l'Eglise.
Mon père me déposait sur un banc, s'asseyait à mon côté et toussait pour fendre les âmes. Avec moi, avec son allure intéressante de type qui ne fera pas de vieux os, il appâtait. Le coup était immanquable. La bonne âme, fendue, venait, souriante...
Je suis un écrivain. Ce n'est pas moi mais la plume qui pense, se souvient ou découvre.
Ecclésiaste, VII, 23 de La Bible
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Lettres (1646-1696), au comte de Bussy, 6 août 1675 de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné
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Anna Karénine (1873-1877) de Léon Tolstoï
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Les Suppliantes (428 av. J.-C.) de Euripide
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Lettre d'une inconnue (1922) de Stefan Zweig
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Mémoires d'Hadrien (1951) de Marguerite Yourcenar
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Les Caves du Vatican (1914) de André Gide
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Interview dans le magazine Elle, 5 septembre 2014. de Sophie Marceau
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Proverbe de Proverbes français
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Interview Encres Vagabondes, propos recueillis par Serge Cabrol de Pascal Garnier
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L'insoutenable légèreté de l'être (1984) de Milan Kundera
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Interview Psychologies Magazine Octobre 2015 de Isabelle Sorente
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Fables (1668 à 1694), Livre septième, IV, le Héron, la Fille de Jean de La Fontaine
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Knock ou le Triomphe de la médecine (1924) de Louis Farigoule, dit Jules Romains
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Women everywhere de Gillian Anderson
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Une liaison parisienne (1975) de Marie-Claire Blais
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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La Nostalgie heureuse (2013) de Amélie Nothomb
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Dagon (Dagon and Other Macabre Tales) - (1965) de Howard Phillips Lovecraft
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Journal de André Gide
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Entretien de Pierre Boulez avec François Nicolas - École normale supérieure, 4 mars 2005 de Pierre Boulez
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Correspondance, juillet 1915 de Léon Bloy
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La Belle Lurette (1935) de Henri Calet
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Carnets III, mars 1951 - décembre 1959 (1989) de Albert Camus
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