Citation ce qui ne nous
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Une Sélection de 1440 citations et proverbes sur le thème ce qui ne nous.
1440 citations
C'est cela l'enfer. Aujourd'hui, dans le monde actuel, l'enfer, ce doit être cela : une grande salle vide, et nous qui n'en pouvons plus d'être debout.
Nous n'appartenons à personne sinon au point d'or de cette lampe inconnue de nous, inaccessible à nous qui tient éveillés le courage et le silence.
La vie est une chance d'oser. Distinguer, interpréter ce qui est. Dans l'enchevêtrement des activités universelles qui nous aveuglent avant de nous éclairer, l'effort prime-sautier de notre entendement nous égare dans une forêt d'apparences.
Trop d'êtres s'imaginent que le bonheur est autre chose que ce qu'ils ont, et c'est pourquoi ceux qui ont le bonheur doivent nous montrer qu'ils ne possèdent rien que ne possèdent tous les hommes dans leur coeur.
(Gavarni) nous raconta ce mot charmant de Mme de Girardin, à une dame qui disait: «Mais j'entends dire que votre mari fait des affaires; M. Un Tel fait des affaires: qu'est-ce que des affaires? - Les affaires? C'est... c'est l'argent des autres!»
L'amour est un philtre qui rapproche ce qui est lointain et rend possible l'impossible. Un philtre qui, en une seule prise, nous fait adorer ce que nous avons abhorré, nous rappelle une par une nos bravades et nous fait ravaler nos grandes théories, qui nous ébranle dès qu'il nous saisit au poignet et ne lâche plus prise dès lors qu'il nous tient.
Voilà les hommes qui sollicitent nos suffrages et, de guerre lasse, les obtiennent. Ils nous représentent. Vous voyez maintenant qu'ils nous représentent mal, et même qu'ils ne nous représentent pas du tout. Quand on les voit s'effondrer en pantalonnades ou se gonfler en plastronnades, il faut bien se dire que, pendant ce temps, nous faisons tout autre chose ; nous construisons des usines, nous inventons des vaccins, nous écrivons des livres, labourons les champs, ou nous nous promenons main dans la main, sur les collines de thym et d'asphodèles. C'est à peine, si, en lisant le journal du soir, nous disons : « Qu'est-ce qu'ils ont encore fait, ces imbéciles ? » Jusqu'au jour, évidemment, où nous en aurons assez. Mais ce sera pour changer un cheval borgne contre un aveugle.
Et c’est là en effet un des grands et merveilleux caractères des beaux livres (et qui nous fera comprendre le rôle à la fois essentiel et limité que la lecture peut jouer dans notre vie spirituelle) que pour l’auteur ils pourraient s’appeler « Conclusions » et pour le lecteur « Incitations ». Nous sentons très bien que notre sagesse commence où celle de l’auteur finit, et nous voudrions qu’il nous donnât des réponses, quand tout ce qu’il peut faire est de nous donner des désirs. Et ces désirs, il ne peut les éveiller en nous qu’en nous faisant contempler la beauté suprême à laquelle le dernier effort de son art lui a permis d’atteindre.
La joie, le bonheur et la chaleur brûlante de l'amour forment la trinité qui fait de nous des hommes, celle qui justifie l'existence et lui donne plus de grandeur que la mort.
Notre anglomanie demeure telle, en ce qui concerne le tennis, que nous avons inventé, à cette fin, des mots «anglais» qui n'existent pas.
Il n'y a qu'un seul choix qui compte : celui de faire ce qui nous tient à coeur. Tous les autres ne sont que défections.
On croit qu'on emmène son chien pisser midi et soir. Grave erreur: ce sont les chiens qui nous invitent à la méditation.
Nous associons toujours psychiatrie et croyance. Il n'est d'ailleurs pas dit que cela soit moins efficace qu'une vision strictement clinique. Dans la mesure où un patient croit aux diables qui le possèdent, on peut dire qu'ils existent, non ? La raison n'est qu'un certain réglage de la lucidité. Tout est vrai, puisque tout est perception
Nous étions voisins de Hambourg, que la RAF bombardait presque chaque nuit ; en outre, les avions anglais traversaient le ciel pour s'enfoncer plus loin dans le pays. Chaque fois qu'une escadrille était signalée à quatre-vingts kilomètres, la Voralarm retentissait. Toutes les lumières s'éteignaient. Il fallait alors s'habiller dans l'obscurité totale, sans quitter sa paillasse, et attendre, avec l'angoisse de ce qui allait suivre et que nous ne connaissions que trop bien. […] Généralement, après ce bref lever de rideau qui nous semblait interminable, la sirène de la Gross Alarm déchirait le silence. On se levait en grande hâte, on se ruait dans les caves. Il arrivait souvent que la gross Alarm sifflât sans avertissement. C'était le pire : car nous devions alors nous vêtir précipitamment. Les Stubendienste, dans l'obscurité profonde, frappaient en hurlant, au hasard, sur les paillasses où s'attardaient les malhabiles. Il semblait que la nuit accrût leur férocité.
Je sais que nous mourrons. — Oui. Il n'est vraiment qu'une seule question à laquelle nous puissions répondre, et nous connaissons déjà la réponse... Ce qui seul rend la vie possible, c'est cette incertitude permanente, intolérable : ne pas savoir ce qui vous attend.
Douter de tout ou tout croire, ce sont deux solutions également commodes, qui l'une et l'autre nous dispensent de réfléchir.
Ce qui est intéressant c’est de voir la réception du mot « féministe » à travers les âges, et on ne s’en sort toujours pas, il y a encore du mépris ou du dédain dans le terme de « féministe ». C’est pour ça qu’il faut qu’on s’en ré-empare, qu’on en refasse une force vive et un mot qui porte la révolution. Il faut que le « nous » soit constitué, c’est en ayant un « nous » fort que ça peut marcher, c’est pour ça qu’il faut de la solidarité et de la sororité.
Qu'est-ce qu'on éprouve quand on s'éloigne des gens, et qu'on voit leur silhouette diminuer dans la plaine, jusqu'à n'être plus qu'un point qui finit par se dissoudre ? Le monde est trop grand, il nous engloutit sous sa voûte et adios.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Je ne serais pas arrivée là si ma mère, un jour de 1959, n’avait pas décidé d’abandonner son mariage et ce qui allait avec : trois enfants âgés de 8, 6 et 3 ans. C’était une décision extrêmement courageuse, féministe et réfléchie. Aujourd’hui, j’ajouterais même « admirable », même si, sur le moment, les effets ont été dévastateurs, aussi bien pour elle que pour nous, ses enfants.
Ce n’est pas ce à quoi on nous oblige qui nous détruit, mais ce à quoi nous consentons qui nous ébrèche ; ces hontes minuscules de consentir à renforcer ce qu’on dénonce : j’achète des objets dont je n’ignore pas qu’ils sont fabriqués par des esclaves, je me rends en vacances dans une dictature aux belles plages ensoleillées. Je vais à l’anniversaire d’un harceleur qui me produit.
Ce qui est, à mon sens, pure miséricorde en ce monde, c'est l'incapacité de l'esprit humain à mettre en corrélation tout ce qu'il renferme. Nous vivons sur une île de placide ignorance, au sein des noirs océans de l'infini, et nous n'avons pas été destinés à de longs voyages. Les sciences, dont chacune tend dans une direction particulière, ne nous ont pas fait trop de mal jusqu'à présent ; mais un jour viendra où la synthèse de ces connaissances dissociées nous ouvrira des perspectives terrifiantes sur la réalité et la place effroyable que nous y occupons ; alors cette révélation nous rendra fous, à moins que nous ne fuyions cette clarté funeste pour nous réfugier dans la paix et la sécurité d'un nouvel âge de ténèbres.
Tout est déterminé, sans doute, mais comme nous ne savons pas comment il l'est, ni ce qui est prévu ou résolu, nous devons faire notre devoir, suivant la Raison que Dieu nous a donnée et suivant les règles qu'il nous a prescrites.
C'est si simple, n'est-ce pas, l'amour? Tu ne lui prêtais pas ce visage ambigu, tourmenté? On s'aime, on se donne l'un à l'autre, nous voilà heureux pour la vie, n'est-ce pas? Ah! que tu es jeune, et pis que jeune, toi qui ne souffres que de m'attendre!
Ce qui importe n'est pas que nous vivions mais qu'il redevienne possible de mener dans le monde une vie de grand style et selon de grands critères. On y contribue en aiguisant ses propres exigences.
Si c'est un homme (1947) de Primo Levi
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Fureur et Mystère (1948) de René Char
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Au soir de la pensée (1927) de Georges Clemenceau
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La Sagesse et la destinée (1898) de Maurice Maeterlinck
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Journal tome 1, août 1853 de Les frères Goncourt
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Lait noir (2009) de Elif Shafak
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Les Trois Arbres de Palzem, 1984 de Jean Giono
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Sur la lecture de Marcel Proust
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Entre ciel et terre (2010) de Jón Kalman Stefánsson
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Parlez-vous franglais? (1964) de René Etiemble
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Les Anges meurent de nos blessures (2013) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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La fée carabine (1987) de Daniel Pennac
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La Ligne noire de Jean-Christophe Grangé
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L'homme et la bête (1947) de Louis Martin-Chauffier
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La main gauche de la nuit de Ursula Le Guin
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La Science et l'hypothèse (1908) de Henri Poincaré
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Interview France Culture, émission
Par les temps qui courent par Marie Richeux, avril 2019 de Chloé Delaume
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Sur la route (1957) de Jack Kerouac
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Interview Le Monde, Propos recueillis par Annick Cojean, 23/05/2021 de Nancy Huston
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Chavirer (2020) de Lola Lafon
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L'Appel de Cthulhu (1926) de Howard Phillips Lovecraft
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Théodicée de Gottfried Wilhelm Leibniz
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La vagabonde (1910) de Sidonie Gabrielle Colette
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Le Travailleur (1932) de Ernst Jünger
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