Citation l un des deux
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Une Sélection de 270 citations et proverbes sur le thème l un des deux.
270 citations
Les personnes que je croise me regardent comme une vieille connaissance à laquelle elles associent deux images contradictoires : la présentatrice d’une émission qui fut célèbre il y a plus de vingt ans et qui demeure dans la mémoire collective ; la femme qui fit, à son corps défendant, des milliers de « une » de journaux à l’occasion d’un scandale planétaire impliquant son mari. N’étant pas seulement l’une et ne me reconnaissant pas dans l’autre, je me demande ce qui, de tout cela, peut rester pertinent. Je vais tenter d’être juste. Pas exhaustive mais sincère. Je parlerai de mes parents, de cette enfance très protégée qui aurait pu mettre hors de ma portée les armes nécessaires pour lutter dans la vie ; je convoquerai certains personnages hauts en couleur que j’ai eu la chance de croiser et tenterai de brosser le portrait le plus fidèle possible du monde des médias tel que je l’ai connu ; j’évoquerai les grands bonheurs de la vie et les épreuves qui l’ont écorchée...
Lire et réfléchir sur ce qu'il avait lu lui avait toujours plu ; c'est pourquoi les deux pièces étaient pleines à craquer de livres. Il était capable d'en attaquer un le soir et de le finir à l'aube, sans interruption. Et heureusement, il n'y avait pas de danger qu'on vienne l'appeler dans la nuit pour un crime de sang. Va savoir pourquoi, les meurtres, les fusillades, les bagarres violentes survenaient toujours dans la journée.
Voilà enfin que j'ai trouvé bien de la chance et de la société - deux jolies femmes se disputent pour un gars comme moi - si bien que m'est avis ce soir que j'ai été bien bête de ne pas tuer mon père il y a des années.
Un homme qu'une bienveillance toute spéculative inspire chaudement peut désirer que la société dans laquelle il est né soit autrement constituée qu'il ne l'a trouvée. Mais un bon patriote et un vrai politique considérera toujours quel est le meilleur parti que l'on puisse tirer des matériaux existants dans sa Patrie. Penchant à conserver, talent d'améliorer, voilà les deux qualités réunies qui me feraient juger de la bonté d'un homme d'État. Toute autre chose est vulgaire dans l'invention et périlleuse dans l'exécution.
Je suis assis et je lis un poète. Il y a beaucoup de gens dans la salle, mais on ne les sent pas. Ils sont dans les livres. Parfois, ils remuent entre les pages, comme des gens qui dorment et se retournent entre deux rêves.
Nul ne sait nager avant d'avoir traversé, seul, un fleuve large et impétueux ou un détroit, un bras de mer agités. Il n'y a que du sol dans une piscine, territoire pour piétons en foule. Partez, plongez. Après avoir laissé le rivage, vous demeurez quelque temps beaucoup plus près de lui que de l'autre, en face, au moins assez pour que le corps s'adonne au calcul et se dise silencieusement qu'il peut toujours revenir. Jusqu'à un certain seuil, vous gardez cette sécurité : autant dire que vous n'avez rien quitté. De l'autre côté de l'aventure, le pied espère en l'approche, dès qu'il a franchi un second seuil : vous vous trouvez assez voisin de la berge pour vous dire arrivé. Rive droite ou côté gauche, qu'importe dans les deux cas : terre ou sol. Vous ne nagez pas, vous attendez de marcher, comme quelqu'un qui saute décolle et se reçoit, mais ne demeure pas dans le vol.
Tous les yeux s'étaient levés vers le haut de l'église. Ce qu'ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d'étincelles, une grande flamme désordonnée et furieuse dont le vent emportait par moments un lambeau dans la fumée.
La mission du précepteur que vous donnerez à votre enfant – et dont le choix conditionne la réussite de son éducation – comporte plusieurs autres grandes tâches dont je ne parlerai pas, parce que je ne saurais rien en dire de valable. Et sur le point à propos duquel je me mêle de lui donner un avis, il m'en croira pour autant qu'il y verra quelque apparence de raison. A un enfant de bonne famille, qui s'adonne à l'étude des lettres, non pas pour gagner de l'argent (car un but aussi abject est indigne de la grâce et de la faveur des Muses, et de toute façon cela ne concerne que les autres et ne dépend que d'eux), et qui ne recherche pas non plus d'éventuels avantages extérieurs, mais plutôt les siens propres, pour s'en enrichir et s'en emparer au-dedans, comme j'ai plutôt envie de faire de lui un homme habile qu'un savant, je voudrais que l'on prenne soin de lui choisir un guide qui eût plutôt la tête bien faite que la tête bien pleine. Et si on exige de lui les deux qualités, que ce soit plus encore la valeur morale et l'intelligence que le savoir, et qu'il se comporte dans l'exercice de sa charge d'une nouvelle manière.
Il y a deux Midi. Le Midi bourgeois, le Midi paysan. L'un est comique, l'autre est splendide. Tartarin et l'Arlésienne sont des échantillons de ces deux Midi si différents.
Le jour où tu verras la vie comme elle mérite d'être vue, tu sauras alors qu'il n'y a que la naissance et la mort et, entre les deux, le temps. Ainsi, en un tournemain, connaîtras-tu la valeur des choses auxquelles, aujourd'hui, tu n'attaches guère d'importance : l'harmonie des sentiments et l'équilibre intérieur; cela ressemble à une honnête boutique du coin de la rue, avec son enseigne, une de ces boutiques que l'on tient de quelque arrière-grand-père. Roulant comme sur des rails invisibles, ce commerce confère une sorte de solidité à la vie. Qui dit solidité dit aussi immobilité, et c'est donc de ces entreprises sans espoir. Mais ces dernières sont pleines de sagesse si l'on admet que l'espoir est un sentiment fait pour les gens qui ne supportent pas le présent.
Le malheur est lourd seulement quand on le porte seul ; la douleur partagée avec un ami n'est pas une douleur, elle a quelque chose de voluptueux pour le coeur ; elle rapproche deux amis, par cela même qu'elle isole des autres hommes.
Lorsqu'un ami nous demande de l'argent à emprunter, voyez lequel des deux vous voulez perdre.
Phase un : la séduction de la belle-famille, systématiquement accompagnée de remises en question personnelles très fortes. Un peu comme un chiot au chenil qui veut être choisi et fait la moue la plus attendrissante possible. Mais intérieurement, il tremble. Il vient avec son passé, sa gueule cassée et il est plein d'espérances quant à sa nouvelle famille d'accueil. Mais il n'a qu'une peur : décevoir et être abandonné à nouveau. Phase deux : l'intégration, pure et simple, des règles de la famille. On fait des efforts pour rentrer dans le moule, on prend sur soi, on marche au pas. Phase trois : ma préférée, la rébellion ! Ça passe ou ça casse, mais au moins on est fixé. Notre vraie nature ressurgit enfin. On ne peut plus faire semblant.
Les frères Goncourt, c'est un peu comme Coca-Cola. Tout le monde connaît leurs noms par le prix Goncourt, qui est le prix le plus prestigieux en France et un des plus prestigieux dans le monde, en revanche on connaît très mal ceux qui se cachent derrière. Il y a effectivement deux hommes, Edmond de Goncourt qui est né en 1822 sous Louis XVIII et Jules de Goncourt né en 1830 sous Louis-Philippe.
L'animal fait un avec la nature. L'homme fait deux. Des animaux dé-naturés, voilà ce que nous sommes.
La dernière chose que nous possédons, c'est notre histoire. Il y a deux mille ans, nous avons dû quitter notre terre, notre Jérusalem, nos temples, nos rois et nos armées. Nous avons été riches, pauvres, puissants, chassés et pourchassés. Nous avons construit des temples en bois, en pierre. Ils ont été brûlés. Nous en avons construit d'autres. Vous les avez fait fermer. Mais notre histoire, personne ne nous la volera. Elle est inaliénable. On essaiera de nous tuer, jusqu'au dernier. On essaiera de trahir, de falsifier, d'effacer... Mais il y aura toujours un scribe pour recopier, un homme pour lire, un écrit quelque part.
Tout nouvel amour, toute jouissance, ce qu'on appelle le coup de foudre est fondé sur un crime. Un sacrifice humain. La mort d'un autre. Celle ou celui qu'on abandonne sur le bord du chemin. Je le sais pour avoir été des deux côtés.
Allez atteler un âne avec le harnais d'un cheval ! Je sais que l'âne aime les chardons. Si j'avais à pêcher l'âne, je mettrais des chardons à ma ligne : un enfant de deux ans comprendrait.
Ah non mais attention quand je parle de l'enveloppe tu vois, je parle pas l'enveloppe que tu envoies par la poste. Je parle de l'enveloppe que tu vois. Celle qui enveloppe tout. Les paquets de biscuits, les sachets de cocaïne, ton esprit, etc ... Non, l'enveloppe c'est vraiment global.. Mais uniquement liée au spirit généralement. Oui alors un biscuit tu me diras ça n'a pas de spirit, c'est juste un biscuit. Mais avant, c'était du lait, des oeufs. Et dans les oeufs, il y a la vie potentielle... Le potential life dans une coquille, une enveloppe ... qui elle même était contenu dans la poule . eh oui... Non vraiment tout ça c'est une question d'awareness ... et puis même si le biscuit est physiquement différent d'une bouteille de lait, d'une poule ... il subsiste le spirit de la bouteille et de la poule dans le biscuit ... et ça toi tu le ressens quand tu le manges. Et que parfois c'est bon parfois c'est pas bon. C'est pour ça que j'ai fais des films avec des réplicants. Pour montrer que parfois tout se ressemble physiquement (l'enveloppe), mais que le spirit est totally différent ... il y a le mec gentil, le mec pourri... et tout ça c'est moi. Et oui ... Et en plus, c'est moi ! Car moi je suis acteur ! Alors quand je joue un rôle, il y a le personnage, son répliquant ..et moi. Donc, on est deux plus un, et c'est moi. Donc un. Donc quand il y a un gentil, un méchant, il y a aussi moi avec mon caractère ... quand tu fais le calcul tu obtiens ce que je suis. Alors après il faut intégrer tout ça dans LES environnements et alors ça se complexifie. Car quand je suis dans ma Mercedes je suis un violent roader ! Ou un dead drunk driver ! Mais sur le tournage je suis parfois répliquant. Alors quand je remonte dans ma Mercedes je ne suis plus un répliquant. Il ne faut pas se tromper .... Tu comprends ?
On sait que l’embryon humain passe dans le sein de la mère par toutes les phases de l’évolution du règne animal. L’homme, à sa naissance, reçoit du monde extérieur les mêmes impressions qu’un petit chien. Son enfance résume les étapes de l’histoire humaine : à deux ans, il a les sens et l’intelligence d’un Papou ; à quatre ans, d’un ancien Germain. À six ans, il voit le monde par les yeux de Socrate, à huit ans par ceux de Voltaire. C’est à huit ans qu’il prend conscience du violet, la couleur que le XVIIIè siècle a découverte. Car avant cette date les violettes étaient bleues et la pourpre rouge. Et nos physiciens montrent aujourd’hui dans le spectre solaire des couleurs qui ont déjà un nom, mais dont la connaissance est réservée aux générations à venir. Le petit enfant et le Papou tue ses ennemis et les mange : il n’est pas un criminel. Mais un homme moderne qui tue son voisin et le mange ne peut être qu’un criminel ou un dégénéré. Le Papou tatoue sa peau, sa pirogue, sa pagaie, tout ce qui lui tombe sous la main. Il n’est pas un criminel.
André Stévenol parvint à grand'peine à se frayer un chemin dans la foule qui bordait des deux côtés la vaste avenue poussiéreuse.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Deux êtres vont s'unir; cette union a pour principal objet la fusion de leurs cœurs et de leurs existences ; c'est une association indissoluble, et portant sur chaque minute de leur vie. Quel est, ce semble, le premier devoir des parents dans cette circonstance ? Demander à chacun de ces deux êtres : consentez-vous à vivre unis ? Eh bien, il a fallu des siècles de lutte pour que la fille eût droit d'intervenir dans ses propres fiançailles.
Je suis prêt à troquer mes armes, toutes mes armes, contre ton bistouri, docteur. La guerre n'est pas une sinécure. Je la subis au même titre qu'un berger qui saute sur une mine ou une gamine foudroyée par une balle perdue. Personne, je dis bien personne n'est à l'abri lorsqu'on institue la tragédie en dogme, lorsque le tort se découvre une logique. Si tu demandais au plus grand des baroudeurs ou à celui qui dispose du plus pharaonique butin de guerre ce qui lui ferait plaisir, il te répondrait du tac au tac : « Un instant de répit ! » Aucun peuple n'est conçu pour la guerre. Le nôtre pas plus que le vôtre. Mais on ne nous a pas laissé le choix. La brute que je suis aimerait avoir un job peinard, et un bout de femme qui l'attend le soir, et, pourquoi pas, un ou deux marmots qui se jetteraient à son cou au retour du boulot. Manque de bol, à la place d'un cahier d'écolier, on m'a foutu une pétoire dans les pattes et on m'a dit « sauve ta peau comme tu peux ». Alors, je fais ce que je peux.
Aristide avait la chance d'être bûcheur et point misérable. Il était libre le matin et satellite le soir, il n'était malheureusement le satellite que des jeunes parce qu'il était mal à l'aise dans le monde. Le protecteur de son père lui avait entrebâillé dix portes de salons universitaires, mais il n'y avait jamais frappé que deux fois, s'étant trouvé gauche dès la première présentation, ne sachant comment entrer, ne sachant comment sortir... C'était un simple.

Anne Sinclair
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Andrea Camilleri
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Jean Antoine Petit, dit John Petit-Senn
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Aurélie Valognes
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Pierre Ménard
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Jean Bruller, dit Vercors
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Sébastien Spitzer
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Françoise Lefèvre
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Maurice Genevoix
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Jean-Claude Van Damme
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Adolf Loos
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Pierre Louÿs
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Alfred de Vigny
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Ernest Legouvé
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Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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