Citations sur ne

Quelque fois je m'esmerveille comment ne pourquoy un homme si aspre eut onques le surnom de bon

Une coustume ne quort mès [n'a plus cours], le [la] quele soloit corre el roiame de France

Si Pierre n'avoit pas plus de puissance sur les autres, qu'iceux avoyent sur lui

Nous ne reprouvons point le voeu de s'abstenir de mariage, que [si ce n'est] pour ces deux causes

Nous ne mettons point aucune vertu aux creatures

Don Rodrigue, surtout, n'a trait en son visage Qui d'un homme de coeur ne soit la haute image

Et je suivrais encore un si noble exercice, N'était que l'autre hiver, faisant ici ma cour, Je vous vis et je fus retenu par l'amour

Confessez-le, ma soeur, vous sauriez vous en taire, N'était le testament du feu roi notre père

Et n'eût été Léonce, en la dernière guerre, Ce dessein avec lui serait tombé par terre

Je le trouvais en vous, n'eût été la bassesse Qui pour ce cher rival contre moi s'intéresse

Nul, s'il n'est vrayement du tout ignare, voire privé de sens commun, ne doute point que les choses n'ayent premierement esté, puis après, les mots....

As-tu point veu une nymphe craintive....

Et qui sait si les derniers Se feront point les premiers ?

Les flots courroussez qui baignent Leurs rivages qui se plaignent, Ne sont plus sourds que je suis

Cil qui chantent de fleur ne de verdure, Ne sentent pas la doleur que je sent

Mais quels chants ! loin de moi, fuis, pensée odieuse ; Sur de plus beaux objets promenons mes regards ; Vois-je pas de buveurs une troupe joyeuse ?

Ne nulz ne s'acorda onques puis à moy, ne mès que [si ce n'est] le sire de Chatenay

Le roy ne requist ne ne prist onques aide des siens barons, n'à ses chevaliers, n'à ses hommes, ne à ses bones villes

Les saintes escriptures nous dient que le moinne ne peut vivre hors de son cloistre sans peché mortel, ne que le poisson peut vivre sanz yaue

L'autre point si est tel, que il croient que nulz ne peut mourir que jusques au jour que il li est jugé

L'un dit : je n'y vais point, je ne suis pas si sot ; L'autre : je ne saurais

Tout fut mis en morceaux ; un seul n'en échappa

Il n'est demeure plus secrète

Chose n'est ici plus commune : Le bien nous le faisons, le mal, c'est la fortune

Je vous porterai tous, L'un après l'autre, en ma retraite ; Nul que Dieu seul et moi n'en connaît les chemins