Citations sur reverie

J'occupe ma raison d'utiles rêveries

Dans peu vous allez voir vos froides rêveries Du public exciter les justes moqueries

Les indépendants.... parmi lesquels on voit les trembleurs, gens fanatiques, qui croient que toutes leurs rêveries leur sont inspirées

Par le travail, on charmait l'ennui, on ménageait le temps, on guérissait la langueur de la paresse et les pernicieuses rêveries de l'oisiveté

Est-ce une illusion, est-ce une rêverie ?

De ces lieux s'exilent pour toujours La douce rêverie et les discrets amours

Et cent autres rêveries que je m'étonne qui n'aient perdu de réputation toute l'antiquité

Il se peut que la vue de toutes ces étoiles semées confusément et disposées au hasard en milles figures différentes favorise la rêverie et un certain désordre de pensées où l'on ne tombe point sans plaisir

Elle s'abandonne à cette rêverie vague et délicieuse qu'inspire une musique expressive

Ma muse, pour vous attendrie, D'une charmante rêverie Subit déjà l'aimable loi

Quand on renouvelle de si vieilles rêveries, on n'a pas trop bonne grâce à se moquer des vieilles vérités

Et faisoient leurs resveries, Leur caroles, leur chanteries, Leur regars, leur ris, leur manieres, Leur demandes et leur prieres ; Ainsi chascuns se deduisoit

Il trouva remede à ceste resverie par une aultre resverie [à une pensée qui l'obsédait]

De toutes les resveries du monde, la plus universelle est le soing de la gloire

Les resveries qui sont les songes des veillants, et pires que songes

Il faut aimer pour ressentir Le charme de la rêverie

Éveiller son esprit troublé de rêverie

Dans la rêverie on n'est point actif ; les images se tracent dans le cerveau, s'y combinent comme dans le sommeil sans le concours de la volonté

Quelquefois mes rêveries finissent par la méditation, mais plus souvent mes méditations finissent par la rêverie

Les cheveux hérissés, j'entre en des rêveries De contes de sorciers, de sabbats, de furies

Dans mes rêveries de ma grande maladie, je trouvais, et je croyais, et je disais que j'avais une cuisse bleue

Corbinelli est demeuré à Paris avec une fièvre tierce et une rêverie qui fait peur

Les rêveries sont quelquefois si noires qu'elles font mourir : vous savez qu'il faut un peu glisser sur les pensées

J'ai quelquefois des rêveries dans ces bois d'une telle noirceur, que j'en reviens plus changée que d'un accès de fièvre

Cette rêverie, sans calcul et sans but, qui mène si loin la pensée