Citations sur boileau

Le quartier alarmé n'a plus d'yeux qui sommeillent

Elle voit le barbier, qui, d'une main légère, Tient un verre de vin qui rit dans la fougère (voy. FOUGÈRE, n° 2)

Une chambre haute Où, malgré les volets, le soleil irrité Formait un poêle ardent au milieu de l'été

Si quelque exploit nouveau Chaque jour, comme moi, vous traînait au barreau

Plus d'un héros, épris des fruits de mon étude, Vient quelquefois chez moi goûter la solitude

Ses écrits [de Juvénal], pleins partout d'affreuses vérités, Étincellent pourtant de sublimes beautés

Aux temps les plus fréquents en Phrynés et en Laïs, Plus d'une Pénélope honora son pays

C'est un homme d'honneur, de piété profonde, Et qui veut rendre à Dieu ce qu'il a pris au monde

L'un prend le seul Jonas qu'on ait vu relié, L'autre un Tasse français, en naissant oublié

Pluton : Hé bien ! nous donnerez-vous l'explication des paroles qui sont sur vos tablettes ? - Brutus : Volontiers ; regardez bien ; ne les sont-ce pas là ? - Pluton : Ce les sont là elles-mêmes

Ce marquis indocile Qui, depuis quinze jours dans le piége arrêté, Entre les bons maris pour exemple cité....

Si l'or seul a pour vous d'invincibles appâts, Fuyez ces lieux charmants qu'arrose le Permesse ; Ce n'est point sur ses bords qu'habite la richesse

Ce n'est pas que mon coeur.... Balance pour t'offrir un encens qui t'est dû

Un pécheur ému d'une humble repentance

Ils croiraient s'abaisser dans leurs vers monstrueux, S'ils pensaient ce qu'un autre a pu penser comme eux

Et bientôt vous verrez mille auteurs pointilleux, Pièce à pièce épluchant vos sons et vos paroles, Interdire chez vous l'entrée aux hyperboles

Le théâtre perdit son antique fureur ; La comédie apprit à rire sans aigreur

À quoi bon ce dégoût et ce zèle inutile ? Est-il donc pour jeûner quatre-temps ou vigile ?

[Deux champions frappés par un infortiat] .... du bois et des clous meurtris et déchirés, Longtemps loin du perron roulent sur les degrés

À quoi bon ravir l'or au sein du nouveau monde ?

Le duc et le marquis se reconnut aux pages

Je consens de bon coeur.... Qu'à Paris le gibier manque tous les hivers

Il ne peut rien offrir aux yeux de l'univers Que de vieux parchemins qu'ont épargnés les vers

Ce serait ma réponse à ce dieu fulminant

Lui-même il s'applaudit, et d'un esprit tranquille Prend le pas au Parnasse au-dessus de Virgile