Citation Ce n est pas la chair
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30 citations
Toujours cette idée ancrée en moi, que l'amour de la femme ne peut pas être une condescendance, puisque, dans l'acte de chair, c'est elle la vaincue.
Je n’aimais pas ces passages en coup de vent qui limitaient mes échanges, faisaient parfois bégayer les gens en ma présence ou les rendaient silencieux parce qu’ils ne savaient plus trop comment rester eux-mêmes. C’est pour cela que j’allais souvent vers eux pour les prendre dans mes bras afin de ralentir le temps, d’abolir la distance, de rappeler que nous étions tous des êtres de chair.
Dieu opère secrétement ; nous ne pouvons avoir la perception de ce qu'il fait en nous et hors de nous ; mais ce qui est certain, c'est que nous ne réussissons pas même à vaincre la chair sans son aide.
L'âme est l'amante; la chair est la maîtresse. On calomnie le démon. Ce n'est pas lui qui a tenté Eve. C'est Eve qui l'a tenté. La femme a commencé. Lucifer passait tranquille. Il a aperçu la femme. Il est devenu Satan.
Depuis vingt-cinq ans, la France mutilée n’a cessé de grandir de cette grandeur qu’on ne voit pas avec les yeux de la chair, mais qui est la plus réelle de toutes, la grandeur intellectuelle. Au moment où nous sommes, l’esprit français se substitue peu à peu à la vieille âme de chaque nation. Les plus hautes intelligences qui, à l’heure qu’il est, représentent pour l’univers entier la politique, la littérature, la science et l’art, c’est la France qui les a et qui les donne à la civilisation.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Tout est susceptible d'humilier un enfant ; la moindre remarque, la plus petite brutalité, un mouvement d'humeur, un geste violent peuvent s'inscrire à jamais dans sa chair, y gravant le texte de ses folies à venir, dont il sera le monomaniaque interprète et le jouet chevronné. Qui nous dit que la démence ne provient pas d'une humiliation de trop ?
J'eus la vision d'un monde divisé en nations, en systèmes, en blocs économiques, qui se durcissaient et se consolidaient : un monde où il deviendrait de plus en plus ridicule de parler même de liberté, de conscience individuelle. Je sais qu'on a déjà écrit à propos de ce genre de vision, c'est quelque chose de déjà lu, mais pendant quelques instants ce n'étaient pas des mots, c'était une sensation réelle dans la substance même de ma chair et de mes nerfs.
Il n’y a rien qui nous rende plus vulnérables que les enfants, Adam. Tout ce que l’on prend pour des problèmes n’en est pas tant que la chair de notre chair est en sécurité.
C'est de la chair de mouton, ce n'est pas pour votre museau.
Les rues sont remplies de fumées d’expérience personnelle qui cherchent à remplacer l’air, je ne suis la mère, la sœur, l’amie, la bonne de personne, je suis ce que je suis, que devrais-je savoir du regard des autres femmes sur moi, qu’est-ce que c’est, que cache-t-il réellement, n’est-il pas aussi simple et beau qu’on ne le croit, quoi qu’il en soit, rien ne me ferait croire que les femmes sont à la fois elles-mêmes, dans leur humanité, leur complexité, leurs pulsions, et les loups qui dévorent leur chair, ou qu’elles sont les causes profondes et premières de leur systémique ensevelissement, en même temps, l’idée que le patriarcat serait responsable de tous leurs malheurs me semble pour le moins puérile, la nature humaine est bien plus compliquée que cela...
La durée amoureuse n'est pas une durée. Le temps passé dans l'amour n'est pas du temps, mais de la lumière, un roseau de lumière, un duvet de silence, une neige de chair douce.
Mais n'est-ce pas une chose bien bizarre que le songe n'offre presque jamais à mon imagination que l'espace étroit et nécessaire à la volupté ; rien autour de cela ; un étui de chair et puis c'est tout.
Ce n'est pas grand-chose, l'espoir. Une prière pour soi. Un peu de rêve pilé dans la main, des milliers d'éclats de verre, la paume en sang. C'est une ritournelle inventée un matin de soleil pâle. Pour nous, enfants des Îles là-haut, c'est aussi un drapeau noir aux reflets d'or et de turquoise. Une livre de chair prélevée depuis si longtemps qu'on s'est habitués à vivre la poitrine trouée.
Il y a malheureusement beaucoup de moments, et même de longues périodes de temps où nous ne sommes pas sensibles à la beauté du monde parce qu'un écran se met entre elle et nous, soit les hommes et leurs misérables fabrications, soit les laideurs de notre propre âme. Mais nous pouvons toujours savoir qu'elle existe. Et savoir que tout ce que nous touchons, voyons et entendons est la chair même et la voix même de l'Amour absolu.
Vaincre la chair est peu, si le coeur et l'esprit n'ont pas été vaincus. S'applique à soi dans la chasteté, à l'autre dans la volupté. Il y a une limite aux moyens de la jouissance qu'on ne saurait franchir sans dégradation.
En vain, Zénon lui rappelait que les astres inclinent nos destinées, mais n'en décident pas, et qu'aussi fort, aussi mystérieux, réglant notre vie, obéissant à des lois plus compliquées que les nôtres, est cet astre rouge qui palpite dans la nuit du corps, suspendu dans sa cage d'os et de chair. Mais Erik était de ceux qui préfèrent recevoir leur destin du dehors, soit par orgueil, parce qu'il trouvait beau que le ciel lui-même s'occupât de son sort, soit par indolence, pour n'avoir pas à répondre ni du bien ni du mal qu'il portait en lui.
C'est pareil avec les jumeaux, Jessica et Mason. Je peux à peine dire leurs noms sans que la chair de mon coeur devienne comme du fer. Ce n'est pas de l'amertume c'est ce qui arrive quand on a mangé son amertume.
Mais qui arrive à se rappeler la douleur, une fois qu'elle est passée ? Tout ce qu'il en reste est une ombre, pas même dans l'esprit mais dans la chair. La douleur marque, mais trop profondément pour que cela se voie. Loin des yeux, loin du coeur.
Les enfants, c'est une maison de chair. On s'élève au plus haut de soi-même. On regarde ce qui se passe. On assiste à la croissance de cette maison d'âme de l'enfant, on n'en revient pas. C'est une énigme dans le plein jour.
Il pensa aux montagnes de chair partie en fumée et il crut que sa respiration s'arrêtait. Il se planta devant le miroir et dit ; « Que fais-tu là, ta place n'est pas ici, tu sais bien où est ta place. Elle est avec les tiens ; tu es un juif mort. »
Un écrivain est un être immatériel, une pensée qui se déroule, et vous vous escrimez à localiser un être de chair en un point sur la terre. Ce que vous avez entrepris n'a pas de sens. L'écrivain relève de la physique quantique, comme les électrons.
L'esprit est plus fort que la chair, ce qui veut dire que la chair est légère à porter pour l'esprit. Ça signifie qu'il y a une manière de vivre - une manière de le faire, mec. C'est là qu'intervient Rastafari. Parce que tous les autres disent que quand on meurt on va au Paradis. Non, ça me plait pas. Parce que si je vais au paradis quand je serai mort, j'étais où, avant ? Si le paradis était l'endroit fait pour moi, si c'était là que j'étais avant de naître, j'aurais dû y rester.
Qui n'a pas savouré dans les plaisirs ce moment de joie illimitée où l'âme semble s'être débarrassée des liens de la chair, et se trouver comme rendue au monde d'où elle vient ? Le plaisir n'est pas notre seul guide en ces régions.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.
Les Jeunes Filles (1936) de Henry de Montherlant
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Devenir (2018) de Michelle Obama
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Petit Monde d'aujourd'hui de Antonio Fogazzaro
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L'Homme qui rit (1869) de Victor Hugo
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Nouvelobs.com, 24 janvier 2007. de Victor Hugo
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Orléans (2019) de Yann Moix
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Le Carnet d'or (1976) de Doris Lessing
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Un autre jour (2019) de Valentin Musso
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Proverbe de Proverbes belges
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Une somme humaine (2022) de Makenzy Orcel
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La part manquante (1989) de Christian Bobin
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Lettre, à Sophie Volland, 5 août 1762 de Denis Diderot
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Rivage de la colère (2020) de Caroline Laurent
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Intuitions pré-chrétiennes (1951) de Simone Weil
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Amours, amour (1967) de Maurice Chapelan
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Alexis ou le Traité du vain combat (1929) de Marguerite Yourcenar
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De beaux lendemains (1993) de Russell Banks
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La Servante écarlate (1987) de Margaret Atwood
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La part manquante (1989) de Christian Bobin
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L’Étoile du matin (2009) de André Schwarz-Bart
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L'Homme sans empreintes (2008) de Eric Faye
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La sagesse et l'espoir (2011) de Bob Marley
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Un drame au bord de la mer (1834) de Honoré de Balzac
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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