Citation ce n est pas l homme qui
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200 citations
Poppée : - Depuis la mort de notre fille, il doute. Mon ambition m'avait poussée à épouser un dieu, je me retrouve avec un homme. Un homme qui se prend pour un dieu. Ce n'est pas la même chose. Et il se fait que cet homme... j'ai appris à l'aimer.
Le mal, ce n'est pas ce qui entre dans la bouche d'un homme. Le mal c'est ce qui en sort.
Pour nous faire accepter la vie, Dieu a été forcé de nous en retirer la moitié. Sans le sommeil, qui est la mort temporaire du chagrin et de la souffrance, l'homme ne patienterait pas jusqu'à la mort.
Plus que tout, j’aimerais devenir un vieil homme avec une belle tête. Comme Hitchcock. Ou Picasso. Ils ont travaillé dur toute leur vie, mais ils ne montrent aucune lassitude. Ils n’ont pas perdu un seul jour avec toutes ces absurdités qui peuvent envahir une existence. Ils savent que la vie est plus qu’un stupide concours de popularité.
Je suis plutôt optimiste. Il y a un homme politique qui a dit : « Je suis optimiste parce que le pessimisme, ça ne sert à rien. » C'est vrai. Anticiper le malheur, c'est le vivre, éventuellement, deux fois. C'est une attitude qui n'est pas très productive.
Son débat intérieur était aussi absurde que celui du jeune homme qui se demande s'il doit aller faire une proposition à la fille dont il est éperdument amoureux. Une fois qu'il a pris sa décision, il n'en est pas plus avancé pour autant. Il faut encore passer à l'acte.
Le beau n'a qu'un type: le laid en a mille ... . Ce que nous appelons le laid ... est un détail d'un grand ensemble qui nous échappe et qui s'harmonise non pas avec l'homme, mais avec la création tout entière.
Ne charge pas ce qui est trop lourd pour toi,
et ne te lie pas avec un homme plus fort et plus riche que toi.
Comment le pot de terre peut-il se lier avec le chaudron ?
Celui-ci heurte, et celui-là se brise.Un ami sage et fidèle est un secours et un appui continuel pour tout homme qui n'a pas la présomption de croire , qu'il sait tout, et que toute la sagesse humaine est dans sa tête. En un mot, le bon conseil est ce qui dirige toutes les affaires en les laissant marcher directement vers le but.
Je n'insisterai pas sur ce qu'il y a d'impossibilité historique à ce que Wagner soit le premier compositeur de l'Allemagne. Alors, Bach ? C'est un homme qui a eu beaucoup d'enfants? Beethoven ? en est un autre qui avait si mauvais caractère qu'il prit le parti de devenir sourd afin de mieux ennuyer ses contemporains avec ses derniers quatuors. Quant à Mozart, il vaut mieux n'en pas parler, c'est un petit voluptueux qui a écrit Don Juan pour embêter l'Allemagne.
Ce que quelques-uns appellent babil est proprement une intempérance de langue qui ne permet pas à un homme de se taire.
Attendez, je suis capable de dire moi-même ce que je pense. Je pense que si l'on pouvait arrêter la bête qui sommeille dans l'homme par la menace, celle du violon ou celle du châtiment éternel, peu importe, l'emblème le plus haut de l'humanité serait le dompteur de cirque avec son fouet, et non les prédicateur et son sacrifice. Mais justement, ce qui au cours des siècles a élevé l'homme au-dessus de la la bête et l'a porté si haut, ce n'est pas le bâton, c'est la musique : la force irréfutable de la vérité désarmée, l'attraction de son exemple.
Mon entrée parmi les Immortels a été un moment très important car il n’y avait jamais eu d’académicien couturier. Je serais peut-être le seul. Mais je pense que ce n’est pas le couturier qui a été élu sous la coupole, mais l’homme.
Il y a un indicible bonheur à savoir tout ce qui en l'homme est exact. Cette vérité qui n'aboutit pas, car elle ne peut que rester relative, est sans doute le plus exigeant, le plus harassant des bonheurs.
Il n'y a point de folie dont on ne puisse guérir un homme qui n'est pas fou, hors la vanité; pour celle-ci, rien n'en corrige que l'expérience, si toutefois quelque chose en peut corriger; à sa naissance, au moins, on peut l'empêcher de croître.
Je ne cherche pas à avancer dans la vie. Seulement à comprendre qui je suis, ce que je veux et où je vais, ce qui devrait être la tâche non seulement de tout artiste mais de tout homme, il me semble. Le reste n'est qu'arrangements.
Il n'y a pas besoin de science-fiction pour concevoir un mécanisme de contrôle qui donne à chaque instant la position d'un élément en milieu ouvert, animal dans une réserve, homme dans une entreprise (collier électronique). Félix Guattari imaginait une ville où chacun pouvait quitter son appartement, sa rue, son quartier, grâce à sa carte électronique (dividuelle) qui faisait lever telle ou telle barrière ; mais aussi bien la carte pouvait être recrachée tel jour, ou entre telles heures ; ce qui compte n'est pas la barrière, mais l'ordinateur qui repère la position de chacun, licite ou illicite, et opère une modulation universelle.
Ecoute-moi, toi mon semblable, mon frère. Tu as peur parce que tu te crois faible, parce que tu penses que l'avenir est sans issue et la vie sans espoir. ... Pourtant, tu as d'authentiques paradis dans la tête. Ce ne sont pas des paradis chimiques, c'est toi, toi tout entier dans ta singularité d'homme avec les forces qui t'habitent et que tu as oubliées peut-être. Car c'est l'homme qu'il faut retrouver dans l'individu pour rendre l'existence viable.
Parmi les mortels il n'en est pas qui soit un homme libre; l'un est l'esclave des richesses, l'autre, le jouet de la destinée; cet autre, c'est la voix populaire, ce sont les textes de lois qui lui interdisent d'adopter la conduite qu'approuve sa raison.
J'irais presque jusqu'à dire que cette même chose, se connaître soi-même, est tempérance, d'accord en cela avec l'auteur de l'inscription de Delphes. Je m'imagine que cette inscription a été placée au fronton comme un salut du dieu aux arrivants, au lieu du salut ordinaire « réjouis-toi », comme si cette dernière formule n'était pas bonne et qu'on dût s'exhorter les uns les autres, non pas à se réjouir, mais à être sages. C'est ainsi que le dieu s'adresse à ceux qui entrent dans son temple, en des termes différents de ceux des hommes, et c'est ce que pensait, je crois, l'auteur de l'inscription à tout homme qui entre il dit en réalité : « Sois tempéré. » Mais il le dit, comme un devin, d'une façon un peu énigmatique ; car « Connais-toi toi-même » et « Sois tempéré », c'est la même chose, au dire de l'inscription et au mien. Mais on peut s'y tromper : c'est le cas, je crois, de ceux qui ont fait graver les inscriptions postérieures : « Rien de trop » et « Cautionner, c'est se ruiner. »
Ce n'est pas l'homme qui est unique en soi c'est lorsqu'il commence à aimer qu'il le devient.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Je sais aussi, dit Candide, qu'il faut cultiver notre jardin. – Vous avez raison, dit Pangloss ; car quand l'homme fut mis dans le jardin d'Éden, il y fut mis ut operaretur eum, pour qu'il travaillât : ce qui prouve que l'homme n'est pas né pour le repos.
À propos de notre ami, je suis tombé l'autre jour sur un texte de Mark Twain qui m'a frappé comme tout à fait approprié. (Après avoir cherché parmi ses rayonnages, et trouvé le volume qu'il voulait, Jake se mit à arpenter la pièce, lisant à haute voix, d'une voix qui n'était pas la sienne : rauque et irritée : « De toutes les créatures existantes, l'homme est la plus détestable. De tous les êtres vivants, il est le seul, l'unique, le solitaire, doué de méchanceté. C'est là le plus bas de tous les instincts, de tous les vices, de toutes les passions ? le plus haïssable. Il est le seul qui inflige la douleur par jeu, en toute connaissance de cause. Et il est également le seul de toute la liste à posséder un esprit mauvais. »
Murena, 8. Revanche des cendres (2010) de Jean Dufaux
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L'Alchimiste (1988) de Paulo Coelho
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Journal de Les frères Goncourt
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Interview, Saturday Evening Post, 1964 de Sean Connery
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Interview par Gilles Kerdreux, Ouest-France, 25 juin 2017 de Jean-Pierre Bacri
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La Liste de Schindler (1982) de Thomas Keneally
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Sans référence de Victor Hugo
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Ecclésiastique, XIII, 2 de La Bible
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Essais , XXVII. De l'amitié de Francis Bacon
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Monsieur Croche, et autres écrits (1987) de Claude Debussy
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Les Caractères de Théophraste (1696), Du grand parleur de Jean de La Bruyère
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Le Docteur Jivago (1957) de Boris Pasternak
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Interview de Pierre Cardin, L'Écho républicain, 15/03/2015 de Pierre Cardin
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L'Extase matérielle (1967) de J. M. G. Le Clézio
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Emile ou De l'éducation (1762), IV de Jean-Jacques Rousseau
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Les singuliers (2014) de Anne Percin
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Post-scriptum sur les sociétés de contrôle, in L 'autre journal, n°1, mai 1990 de Gilles Deleuze
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Des paradis plein la tête de Edouard Zarifian
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Hécube de Euripide
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Le Charmide de Platon
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Sept jours pour une éternité... (2003) de Marc Lévy
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Candide (1759) de Voltaire
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Cercueils sur mesure (1982) de Truman Capote
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