Citation elle sait bien
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Une Sélection de 100 citations et proverbes sur le thème elle sait bien.
100 citations
Mais au fond, elle sait bien que ça n'a rien de fou c'est seulement la vie : on vient chercher une chose, et on en trouve une autre, à laquelle on ne s'attendait pas.
L'osait-il ? Osait-il profaner, de sa main la plus indigne qui fût, cette... Non, il n'osait point. L'oiseau était trop dangereux. Sa main retomba en arrière... Comme elle était belle ! Combien belle !
Chacune des poésies était signée Yseult de Termor, ce qui était étrange puisque la page de garde portait déjà ce nom : il semblait que Mme de Bricoule eût été si enivrée de son pseudonyme qu'elle eût voulu le répéter et le répéter à l'infini. Mais où les yeux d'Alban, déjà bien écarquillés, s'écarquillèrent sans mesure, ce fut lorsqu'il lut : Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches, etc., etc. Le célèbre sonnet de Verlaine étant suivi de la signature Yseult de Termor ! Fallait-il tirer de là que Mme de Bricoule donnait dans l'auto-imposture infantile, pratiquée naguère par son fils, de recopier dans un cahier confidentiel, en le signant de son nom, le texte d'un autre ? [...] Mme de Bricoule faisait à trente-huit ans ce qu'Alban faisait à douze.
Chaque réveil était insupportable, juste après la première minute d'inconscience. Puis, c'était devenu rituel, elle se faisait la réflexion. Tiens, je vais bien ce matin et aussitôt ça lui revenait, pourquoi elle irait mal.
J'ai toujours eu une admiration profonde pour ces âmes courageuses qui, en pleine possession d'elles-mêmes et par pur dégoût des misères terrestres, ont trouvé en elles la force de se débarrasser de l'existence. La Nature a bien su ce qu'elle faisait en nous dotant d'une irrémédiable lâcheté en face de la mort ; mais combien il est beau de la vaincre et de lui crier : « : O marâtre ! je te rends ton fardeau. Si tu as cru me lier par le don fortuit et funeste de la vie, tu t'es trompée. Regarde ! voilà le cas que j'en fais. »
Depuis la mode des voyages dans les lunes, tout le monde sait ce qu'est un compte à rebours. C'est le 5, 4, 3, 2, 1, 0, qui précède le départ des fusées. Je ne sais quoi (sûrement un mauvais ange) me souffle que ce compte qui tend vers zéro pourrait bien être la définition même du progrès. Je me garderai comme de la peste de dire du mal de cette divinité qui, dans les âmes simples, a remplacé Monseigneur Dupanloup et nous couvre de frigidaires, de transistors, de machines à laver et autres automobiles. Je ne me donnerai pas non plus le ridicule de prétendre à une âme compliquée. Je veux simplement faire état d'une constatation personnelle, très terre à terre, et à qui je dénie par avance toute valeur d'enseignement.
Et Pangloss disait quelquefois à Candide : « Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles : car enfin si vous n'aviez pas été chassé d'un beau château à grands coups de pied dans le derrière pour l'amour de mademoiselle Cunégonde, si vous n'aviez pas été mis à l'Inquisition, si vous n'aviez pas couru l'Amérique à pied, si vous n'aviez pas donné un bon coup d'épée au baron, si vous n'aviez pas perdu tous vos moutons du bon pays d'Eldorado, vous ne mangeriez pas ici des cédrats confits et des pistaches. - Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin. »
Tout Français digne de ce nom sait très bien, que pour restaurer la France il importe de restaurer avec elle les valeurs spirituelles qui donnent leur signification historique au nom de France et au nom de Français.
Un soir, elle s'approcha du monsieur et lui envoya raide comme balle que ce qu'il faisait là n'était pas bien.
Pourquoi donc, disait mademoiselle de..., âgée de douze ans, pourquoi cette phrase: «Apprendre à mourir?» je vois qu'on y réussit très bien dès la première fois.
Gus adorait quand ils étaient assis au coin du feu et que la mémé lui racontait des histoires anciennes venues de son passé à elle, qu’il n’avait pas connu et qui la rendait plus souvent triste que joyeuse. Gus ne s’y trompait pas à l’époque. Et ses silences. Des silences qui le calmaient comme rien n’avait jamais pu le faire aussi bien depuis. Il lui disait alors qu’elle était une fée pleine de rides et elle répondait en souriant qu’elle n’en était pas une, que les fées étaient toujours belles et jamais vieilles, que c’était à ça qu’on les reconnaissait.
Gardez-vous, dira l'un, de cet esprit critique
On ne sait bien souvent quelle mouche le pique.Le soir tombait. Un givre épais recouvrait tout : les branches tordues des arbres, les fils et les poteaux des clôtures, l'herbe drue, la terre des champs presque nus. C'était comme un monde d'horribles formes blanches, angoissantes, féeriques, un univers cristallin d'où la vie semblait bannie. Je regardais les montagnes : le vaste mur bleu barrait l'horizon, gardien d'un autre monde, caché celui-là. Le soleil, du côté de l'Abkhazie sans doute, tombait derrière les crêtes, mais sa lumière venait encore effleurer les sommets, posant sur la neige de somptueuses et délicates lueurs roses, jaunes, orange, fuchsia, qui couraient délicatement d'un pic à l'autre. C'était d'une beauté cruelle, à vous ravir le souffle, presque humaine mais en même temps au-delà de tout souci humain. Petit à petit, là-bas derrière, la mer engloutissait le soleil, et les couleurs s'éteignaient une à une, laissant la neige bleue, puis d'un gris-blanc qui luisait tranquillement dans la nuit. Les arbres incrustés de givre apparaissaient dans les cônes de nos phares comme des créatures en plein mouvement. J'aurais pu me croire passé de l'autre côté, dans ce pays que connaissent bien les enfants, d'où l'on ne revient pas.
Conserves et Condiments Paradise. Entre la maison et le fleuve. Dans le temps, on y faisait des condiments, des sirops, des poudres de curry et des conserves d'ananas. Et de la confiture de banane, illégale, puisque l'IPA (Inspection des produits alimentaires) en avait interdit la fabrication : selon ses normes, ce n'était ni de la confiture ni de la gelée. Trop liquide pour de la gelée, trop épaisse pour de la confiture. Consistance ambiguë, donc inclassable, avait-elle décrétée. C'était le règlement. A y regarder de plus près, Rahel avait l'impression que les difficultés qu'avait toujours éprouvées la famille face à la notion de classification allaient bien au-delà du simple distinguo confiture/ gelée. Peut-être bien que les pires contrevenants, c'étaient Ammu, Estha et elle-même. Mais ils n'étaient pas seuls en cause. Les autres étaient également concernés. Tous avaient enfreint les règles. Tous avaient pénétré dans des territoires interdits. Tous avaient essayé de tourner les lois qui décidaient qui devait être aimé et comment. Et jusqu'à quel point. Les lois qui font d'une grand-mère une grand-mère, d'un oncle un oncle, d'une mère une mère, d'un cousin un cousin, d'une confiture une confiture.
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
La pénombre était totale, elle palpitait de neige violette et d'électricité quand je me suis mise à fixer des yeux le plafond. De temps à autre, une barre de lumière, venant d'une voiture qui passait, s'élevait et retombait sur le mur ou bien elle frôlait notre commode de son gant blanc, comme s'il s'agissait d'un fantôme qui époussetait les meubles.
Je ne pense jamais à la mort autrement que furtivement, ce dont elle a l'air de se contenter, ce qui la flatte sans doute, et peut être même ce qui la fait rire, puisque jamais, elle le sait bien, je ne serai assez véloce pour elle.
Une main peut, pour qui sait l'observer, refléter les émotions aussi bien qu'un visage, aussi bien et mieux qu'un visage car elle échappe davantage au contrôle de la volonté.
A l’abattage, les ouvriers étaient le plus souvent couverts de sang et celui-ci, sous l’effet du froid, se figeait sur eux. Pour peu que l’un d’eux s’adossât à un pilier, il y restait collé ; s’il touchait la lame de son couteau, il y laissait des lambeaux de peau. Les hommes s’enveloppaient les pieds dans des journaux et de vieux sacs, qui s’imbibaient de sang et se solidifiaient en glace ; puis une nouvelle couche s’ajoutait à la précédente, si bien qu’à la fin de la journée ils marchaient sur des blocs de la taille d’une patte d’éléphant.
La société ne doit rien exiger de ceux qui n’attendent rien d’elle, disait pourtant George Sand. Mais, ma pauvre George, la société exige malgré tout, tu sais bien. Elle est intraitable, insatiable, tyrannique.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.
Dix rêves de pierre (2013) de Blandine Le Callet
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Le meilleur des mondes (1932) de Aldous Huxley
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Bye bye Blondie (2004) de Virginie Despentes
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Pensées d'une solitaire (1903) de Louise Ackermann
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Les Terrasses de l'Ile d'Elbe (1976) de Jean Giono
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Candide (1759) de Voltaire
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La liberté, pour quoi faire ? (1953) de Georges Bernanos
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L'Assomoir (1878) de Emile Zola
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Caractères et Anecdotes, Mot d'une jeune fille sur la mort de Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort
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Grossir le Ciel (2014) de Franck Bouysse
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Satires (1660-1711) de Nicolas Boileau-Despréaux
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Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
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Le Dieu des Petits Riens (1997) de Arundhati Roy
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La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
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À Suspicious River(1996) de Laura Kasischke
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Le monde sur le flanc de la truite (1997) de Robert Lalonde
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Le Silence de la mer (1942) de Jean Bruller, dit Vercors
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La Jungle (1905) de Upton Sinclair
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Bonheur Fantôme (2009) de Anne Percin
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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