Citation encore un temps
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Une Sélection de 130 citations et proverbes sur le thème encore un temps.
130 citations
Beaucoup de grands-parents d'aujourd'hui ne ressemblent pas à ceux d'autrefois. Ils se sentent jeunes encore. Même s'ils continuent à travailler, ce qui est mon cas, ils ont un peu plus de temps libre que lorsqu'ils élevaient leurs enfants, ils n'ont plus à construire leur carrière.
Nous avançons dans la vie comme des funambules, persuadés que le temps nous aidera à mieux maîtriser notre équilibre sur la corde tremblante de l'existence. Il nous semble que rien ne peut dérégler l'horloge que nous remontons avec délicatesse chaque matin, chaque mois, chaque année. Un jour pourtant, en un instant, tout bascule; nous ne le savons pas encore, mais plus rien ne sera comme avant: le funambule tombe et l'horloge s'affole.
Je suis un enfant unique, donc un de ces gamins qui se réfugient plus volontiers dans leur imaginaire. J’avais mon propre rythme. Aujourd’hui encore, je garde cette sensation d’être parfois à contretemps avec les choses et les gens. Cela doit être comme une soupape.
Aussi longtemps que nous écoutons seulement des mots comme l'expression de quelqu'un qui parle, nous n'écoutons pas encore, nous n'écoutons absolument pas. Jamais non plus nous n'arrivons ainsi à avoir jamais entendu quelque chose.
A peine un engin volant s'est-il écrasé qu'un autre prend le relais, nouveau maillon de la chaîne qui peu à peu quitte la terre. Longtemps, on a eu le nez dans le paysage, on en était une part minuscule, enfouie, aveugle, on ne l'appelait même pas paysage, cette nature qu'on sentait avant de la voir – l'hostilité de la chaleur et du froid, les cultures à discipliner à la force des bras, le noir de la forêt dont on faisait les contes. Pour la changer en paysage, il a fallu prendre de la distance, celle que donnent la peinture comme la cartographie, appeler sublimes les lieux qu'on n'avait pas encore apprivoisés, les pôles, les mers, les montagnes acérées, classifier le monde et pour cela s'élever, toujours, dans des ballons, dans des avions, un jour dans des stations spatiales.
Nos enfants, qui passent la journée suspendus au téléphone à parler des heures avec quelqu’un qu’ils ont quitté un moment plus tôt, n’arrivent pas à croire que pour nous, dans notre enfance, mais aussi dans notre première jeunesse, le téléphone était encore un engin inhabituel, du moins dans les familles modestes, et qu’appeler d’une ville à l’autre l’« interurbain », comme on disait il y a peu de temps encore, était une entreprise passablement compliquée, qui exigeait souvent de faire la queue des heures durant dans des bureaux bondés, parce qu’alors le téléphone n’était pas encore automatique.
Ce grand philosophe (Descartes), dans un temps où les observations astronomiques, la mécanique et la géométrie étaient encore très imparfaites, imagina, pour expliquer les mouvements des planètes, l'ingénieuse et célèbre hypothèse des tourbillons.
J'ai eu l'occasion de lire et d'entendre beaucoup d'histoires incroyables sur les temps où les hommes vivaient encore en liberté, c'est-à-dire dans un état inorganisé et sauvage. Ce qui m'a toujours paru le plus invraisemblable est ceci : comment le gouvernement d'alors, tout primitif qu'il ait été, a-t-il pu permettre aux gens de vivre sans une règle analogue à nos Tables, sans promenades obligatoires, sans avoir fixé d'heures exactes pour le repos ! On se levait et on se couchait quand l'envie nous en prenait, et quelques historiens prétendent même que les rues étaient éclairées toute la nuit et que toute la nuit on y circulait. C'est une chose que je ne puis comprendre.
Qu'il est reposant de penser que l'oubli est moins prompt, moins total qu'on ne suppose, et qu'il y a encore un endroit au monde où une dynastie du temps des Croisades se survit dans les prières de quelques vieux prêtres!
Un baiser, c'est quelque chose de plus que le premier contact charnel de deux corps: c'est l'exhalation de deux âmes enamourées. Mais le baiser criminel longtemps retenu, longtemps désiré, est plus sensuel encore.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Tout ce qui cinglait en elle de vif et d'ardent, cette légèreté à pleine vitesse, joueuse et féroce, ce pas de reine qu'elle avait encore cet après-midi dans les couloirs de la réa, tout cela prend l'eau à toute allure, et pendouille dans son cerveau, lourd, détrempé : à force d'avoir vingt-trois ans elle en avait vingt-huit, à force d'en avoir vingt-huit, elle en a trente et un, le temps cavale tandis qu'elle jette sur son existence un regard froid, un regard qui dézingue l'un après l'autre les différents secteurs de sa vie.
Encore un premier jour de l'an
Que le temps nous apporte !
Cette date donne l'élan
Aux vœux de toute sorte.
Puissiez-vous, gais et bien portants,
Quand reviendra la fête,
En faire encore après cent ans...
Oui, je vous le souhaite !Si un homme se justifie de Dieu, le temps qu'il prend à sa prière pour travailler est encore prière.
Quand on a vu un noyé, une fois, à peine retiré de l'eau, encore couché sur la route, on n'a pas grand-chose à ajouter. Surtout quand on a compris pourquoi il y a des gens qui se noient, certains jours. Le reste ne compte pas. Qu'il pleuve ou qu'il fasse beau temps, que ce soit un enfant ou un homme, ou une femme nue avec un collier de diamants, etc., cela indiffère. C'est l'espèce de décor d'un drame permanent. Mais quand on n'a pas compris, par exemple. Quand on se laisse distraire par les détails qui semblent justifier l'événement, lui donner une réalité, mais qui n'en sont que la mise en scène ; alors, il y a beaucoup à dire. Ils s'arrêtent, descendent de leurs automobiles, et les voilà qui entrent en jeu. Au lieu de voir, ils composent. Ils se lamentent. Ils prennent parti pour l'un, ou pour l'autre. Ils élucubrent et écrivent des poèmes.
Mais à vingt-cinq ans il bande encore, l'homme moderne, physiquement aussi, de temps en temps, c'est le lot de chacun, moi-même je n'y coupais pas, si on peu appeler cela bander.
Un amoureux transi et sans espoir peut encore comparer épigrammatiquement sa belle inhumaine au miroir concave, qui, comme celle ci, brille, enflamme et dévore, mais reste en même temps froid lui-même.
Cicéron avait fait un ouvrage sur ce sujet (la gloire); quoique son livre soit perdu, il existait encore du temps de Pétrarque, qui en possédait un exemplaire...
Il y a bien encore quelques irréductibles qui pensent que le Rhin est une frontière, alors que ça n'est qu'un fleuve, mais tout cela a fait son temps.
De temps en temps ma mère décrète : demain on va chez le photographe. Elle se plaint du prix mais elle fait quand même les frais des photos de famille. Les photos, on les regarde, on ne se regarde pas mais on regarde les photographies, chacun séparément, sans un mot de commentaire, mais on les regarde, on se voit. On voit les autres membres de la famille un par un ou rassemblés. On se revoit quand on était très petit sur les anciennes photos et on se regarde sur les photos récentes. La séparation a encore grandi entre nous. Une fois regardées, les photos sont rangées, avec le linge dans les armoires.
Il fut un temps où le temps n'était pas encore. Le refus de la naissance n'est rien d'autre que la nostalgie de ce temps d'avant le temps.
Se promener, c’est végéter ; flâner, c’est vivre. La jeune et jolie femme, longtemps contemplée par des yeux ardents, serait encore bien plus recevable à prétendre un salaire que le rôtisseur qui demandait vingt sous au Limousin dont le nez, enflé à toutes voiles, aspirait de nourrissants parfums.
Qui ose croire que deux êtres vivant depuis longtemps ensemble ne finissent pas l'un ou l'autre voire, plus fréquemment encore, l'un et l'autre, par se lasser ?
Je demeurai longtemps immobile près d'Ellénore sans vie. La conviction de sa mort n'avait pas encore pénétré dans mon âme; mes yeux contemplaient avec un étonnement stupide ce corps inanimé.
Où lire encore ? La plupart des salles de sport sont à l'heure actuelle équipées de télés, mais la télé est bien la dernière chose dont à besoin un aspirant écrivain. Lire prend du temps et la tétine en verre en consomme beaucoup trop.
Entretien au Monde, par Josyane Savigneau le 11 mars 2011 de Gisèle Halimi
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Seulement si tu en as envie...(2017) de Bruno Combes
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Interview pour So Soir (2018) de Gaspard Ulliel
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Essais et conférences de Martin Heidegger
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Un monde sans rivage (2019) de Hélène Gaudy
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Séfarade (2005) de Antonio Muñoz Molina
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Sans référence de Jean le Rond d'Alembert
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Nous autres (1920) de Ievgueni Ivanovitch Zamiatine
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Nouvelles orientales (1938) de Marguerite Yourcenar
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Teleny (1893) de Oscar Wilde
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Réparer les vivants (2013) de Maylis de Kerangal
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Mes souhaits de bonne année (1838) de Agénor Altaroche
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L'Aventure ambiguë (1961) de Cheikh Hamidou Kane
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Le procès-verbal (1963) de J. M. G. Le Clézio
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Premier amour (1946) de Samuel Beckett
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Essai sur les apparitions et opuscules divers (1912) de Arthur Schopenhauer
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Eloges, Saci de Jean le Rond d'Alembert
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Journal d'un bouffon (2002) de Jean Amadou
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L'Amant (1984) de Marguerite Duras
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De l'inconvénient d'être né (1973) de Emil Cioran
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La Comédie humaine (1842-1852) de Honoré de Balzac
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Et si l'amour durait (2011) de Alain Finkielkraut
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Adolphe (1815) de Benjamin Constant
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Ecriture : Mémoires d'un métier (2001) de Stephen King
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