Citation je la regarde
Découvrez une citation je la regarde - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase je la regarde issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 120 citations et proverbes sur le thème je la regarde.
120 citations
Le fait est que ma pauvreté avait aiguisé en moi certaines facultés au point de me valoir de véritables désagréments, oui je l’assure, de véritables désagréments, hélas ! Mais cela avait aussi des avantages, cela me venait en aide dans certaines situations. Le pauvre intelligent était un observateur bien plus fin que le riche intelligent. Le pauvre regarde autour de soi à chaque pas qu’il fait, épie soupçonneusement chaque parole qu’il entend dire aux gens qu’il rencontre ; chaque pas qu’il fait lui-même impose à ses pensées et à ses sentiments un devoir, une tâche.
Papa est toujours sur sa planète. J'essaye de le faire rire en imitant le singe heureux de retrouver la jungle. Il dit "non" avec sa tête. Bon. Sur sa planète, on ne rit pas. Alors je m'approche de lui et je lui prends sa main dans laquelle je dépose un baiser d'amour. Rien à voir avec la langue de Franklin. On fait ça le dimanche quand on regarde des DVD à la télé. Entre deux films, papa et moi on dépose des baisers d'amour au creux des mains. Je me suis assis sur mes talons, la tête sur les jambes, et j'attends qu'il me caresse la tête. Je suis prêt à rester des heures. Je veux juste qu'il abandonne un instant sa planète pour la mienne. Et sa main, un peu hésitante, se pose sur mes cheveux, ses yeux gris laissent sortir la tempête, de grosses gouttes qui me tombent dessus et coulent sur mes joues, comme si on pleurait tous les deux, un goût de mer chaude, sans le sable et les transats bleu et blanc.
J'aurai recours à la médecine le plus tard que faire se pourra; je la regarde comme la soeur presque jumelle de la métaphysique, par son incertitude.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il est heureux que la mode de boire le café et la bière ne régnât pas encore, car je n'y aurais pas regardé et y eusse laissé le restant de ma poche.
Quand je le regarde, avec son habit noir et son plastron de voiles, il évoque pour moi un vieux et digne gentleman. Entre lui, dont la silhouette désuète fête ses 100 ans, et moi, le retraité de la Marine, s'est nouée une affection qui a marqué nos existences. Sans moi, il ne serait plus qu'une épave. Sans lui, ma vie eût été sans doute différente.
Il s'appelle Pen Duick – « mésange à tête noire » en breton. Il ne porte pas de numéro comme ses successeurs. A la rigueur, je pourrais le baptiser « Pen Duick Premier ». Comme on dit « premier amour ». Parce que l'histoire de ce docte centenaire est une histoire sentimentale.Comme la terre me paraît vile quand je regarde le ciel!
Je ne regarde pas le chemin parcouru mais, au contraire, celui qui reste à faire. Cela permet de garder les pieds sur terre.
Je me demande, dit-il, si les étoiles sont éclairées afin que chacun puisse un jour retrouver la sienne. Regarde ma planète. Elle est juste au-dessus de nous... Mais comme elle est loin !
Ma mère nous fait photographier pour pouvoir nous voir, voir si nous grandissons normalement. Elle nous regarde longuement comme d'autres mères, d'autres enfants. Elle compare les photos entre elles, elle parle de la croissance de chacun. Personne ne lui répond. Ma mère ne fait photographier que ses enfants. Jamais rien d'autre. Je n'ai pas de photographie de Vinhlong, aucune, du jardin, du fleuve, des avenues droites bordées des tamariniers de la conquête française, aucune, de la maison, de nos chambres
Au rugby ou au football, tout le monde regarde l'équipe, personne ne regarde le ballon. Or l'important, c'est le ballon, c'est lui qui fait l'équipe. C'est la passe qui fait la relation entre les gens, et une équipe n'existe que par le ballon, que par la passe. Voilà ce que j'appelle un "quasi-objet", un objet qui est fait pour circuler entre les membres d'un groupe: le ballon, l'argent, les paroles. De la même manière que je m'intéresse à des personnages minuscules, sans importance apparente, qui révèlent des choses fondamentales, de la même manière mes concepts ne sont pas des concepts au sens classique mais des concepts "opératoires", dynamiques.
Le commissaire, à qui, naturellement, je dus déclarer l'accident, me regarde de travers, et me dit: «Voilà qui est louche!»
Et la beauté réside dans l'oeil de celui qui regarde même si je n'aime pas les clichés.
Parfois l'enfant ne sait pas dire son chagrin,
Mais il entend, le soir, les étranges présages
Qui annoncent aux pierres blessées, à même le sol,
Leur libération, où il apprend que les pierres
Cœurs brisés, ont parfois l'éclat dur d'un langage.
Le bruit de la mer rugit au vestiaire
- Et un reproche ; mais cela même est rassurant :
Un reproche de moins entre lui et la mort…
Et là, sur le tapis devant la cheminée,
Il regarde l'enfer et voit son avenir
- Qui sait, peut-être une chambre de chauffe ?-
Pourtant, l'enfant, je pense, a connu des fous-rires
(On dit que de la vie ce sont les seuls remèdes),
Et puis, n'eût-il pas survécu,
Saurait-il que Rimbaud a connu ces chagrins,
Rimbaud dont l'âge d'homme aussi, comme le sien,
Fut déserté d'amour et privé de langage ?Parfois, je regarde la télé toute la journée, c'est chiant! Mais quand je l'allume, c'est pire...
Topaze : [...] Ah ! l'argent… Tu n'en connais pas la valeur… Mais ouvre les yeux, regarde la vie, regarde tes contemporains… L'argent peut tout, il permet tout, il donne tout… Si je veux une maison moderne, une fausse dent invisible, la permission de faire gras le vendredi, mon éloge dans les journaux ou une femme dans mon lit, l'obtiendrai-je par des prières, le dévouement, ou la vertu ? Il ne faut qu'entrouvrir ce coffre et dire un petit mot : « Combien ? » (Il a pris dans le coffre une liasse de billets.) Regarde ces billets de banque, ils peuvent tenir dans ma poche, mais ils prendront la forme et la couleur de mon désir. Confort, beauté, santé, amour, honneurs, puissance, je tiens tout cela dans ma main… Tu t'effares, mon pauvre Tamise, mais je vais te dire un secret : malgré les rêveurs, malgré les poètes et peut-être malgré mon coeur, j'ai appris la grande leçon : Tamise, les hommes ne sont pas bons. C'est la force qui gouverne le monde, et ces petits rectangles de papier bruissant, voilà la forme moderne de la force.
« On ne va quand même pas croire à ces conneries », ai-je entendu. Il faut bien y croire puisque c’est là, puisque nous voilà cloîtrés, calfeutrés. Puisque jamais l’avenir n’a paru aussi incertain. Nous sommes confinés. J’écris cette phrase mais elle ne veut rien dire. Il est 6 heures du matin, le jour pointe à peine, le printemps est déjà là. Sur le mur qui me fait face, le camélia a fleuri. Je me demande si je n’ai pas rêvé. Ça ne peut pas être. Cela ressemble aux histoires qu’on invente à Hollywood, à ces films que l’on regarde en se serrant contre son amoureux, en cachant son visage dans son cou quand on a trop peur. C’est le réel qui est de la fiction.
Un bon auteur, c'est un auteur qui ne se voit pas. Ce sont les personnages qui comptent. Que les gens se souviennent des personnages, d'une histoire, et pas du nom de l'auteur, c’est très bien. J'écris comme je regarde un feuilleton à la télé, en me demandant ce qui se passera demain.
L'amour, ce n'est pas la fusion, la dissolution d'une âme dans une autre ou je ne sais quoi. C'est simplement un moyen de tromper nos solitudes. On demande à quelqu'un d'être le témoin de notre vie et on accepte en échange d'être témoin de la sienne. C'est comme les enfants qui font de la balançoire... La balançoire, c'est toujours plus drôle quand quelqu'un voit à quel point on monte haut. Peut-être même que ce n'est drôle que si quelqu'un nous regarde nous amuser. La vie, c'est pareil.
Si je regarde une échelle appuyée contre un mur, même si cette échelle est blanche, le mur bleu, entrouverte la fenêtre à côté et nuageuses les vitres derrière les barreaux noirs, je ne pense pas à l'art.
Je la regarde cacher ses yeux immenses sous ses paupières-ombrelles et je me sens haltérophile de montagnes, Himalaya au bras gauche et Rocheuses au bras droit.
C'est une sensation curieuse, quand je sors dans la rue maintenant. Parfois les gens se poussent du coude en disant : « N'est-ce pas Romy Schneider ?» Et ils me dévisagent. C'est agréable et agaçant à la fois. Je me sens tiraillée. Une fois je suis fière, une autre fois j'aimerais m'asseoir dans un bistrot et manger une saucisse sans que personne ne me regarde et ne m'examine pour voir comment je m'y prends et si je me tiens bien à table. Ou si au contraire je me tiens mal et pourquoi.
Je regarde la grammaire comme la première partie de l'art de penser.
Je regarde mes vieux, ils ont soixante-dix, quatre-vingts, quatre-vingt-dix ans, ils me racontent des souvenirs lointains, ils me parlent d'époques anciennes, ancestrales, préhistoriques, leurs parents sont morts depuis quinze, vingt, trente ans, mais la douleur de l'enfant qu'ils ont été est toujours là. Intacte. Elle se lit sur leur visage et s'entend dans leur voix, à l'œil nu je la vois battre dans leur corps, dans leurs veines. En circuit fermé.
Plus je fixe la fille de la photo, plus il me semble que c'est elle qui me regarde. Est-ce qu'elle est moi, cette fille ? Suis-je elle ? Pour que je sois elle, il faudrait que je sois capable de résoudre un problème de physique et une équation du second degré je lise le roman complet inséré dans les pages des Bonnes soirées toutes les semaines je rêve d'aller enfin en « sur-pat » je sois pour le maintien de l'Algérie française je sente les yeux gris de ma mère me suivre partout je n'aie lu ni Beauvoir ni Proust ni Virginia Woolf ni etc. je m'appelle Annie Duchesne.
La Faim (1890) de Knut Hamsun
Références de Knut Hamsun - Biographie de Knut Hamsun
Plus sur cette citation >> Citation de Knut Hamsun (n° 169874) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Au pays des kangourous (2012) de Gilles Paris
Références de Gilles Paris - Biographie de Gilles Paris
Plus sur cette citation >> Citation de Gilles Paris (n° 164114) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lettre au roi de Prusse, 17 septembre 1764 de Jean le Rond d'Alembert
Références de Jean le Rond d'Alembert - Biographie de Jean le Rond d'Alembert
Plus sur cette citation >> Citation de Jean le Rond d'Alembert (n° 35572) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les maîtres sonneurs (1865) de George Sand
Références de George Sand - Biographie de George Sand
Plus sur cette citation >> Citation de George Sand (n° 26718) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mémoires du large de Eric Tabarly
Références de Eric Tabarly - Biographie de Eric Tabarly
Plus sur cette citation >> Citation de Eric Tabarly (n° 153885) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Exercices spirituels de Saint Ignace de Loyola
Références de Saint Ignace de Loyola - Biographie de Saint Ignace de Loyola
Plus sur cette citation >> Citation de Saint Ignace de Loyola (n° 41225) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
In Hors-série Michelin, Editeur : CF - La Montagne, 01 octobre 2007 de François Michelin
Références de François Michelin - Biographie de François Michelin
Plus sur cette citation >> Citation de François Michelin (n° 58165) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Petit Prince (1943) de Antoine de Saint-Exupéry
Références de Antoine de Saint-Exupéry - Biographie de Antoine de Saint-Exupéry
Plus sur cette citation >> Citation de Antoine de Saint-Exupéry (n° 174326) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Amant (1984) de Marguerite Duras
Références de Marguerite Duras - Biographie de Marguerite Duras
Plus sur cette citation >> Citation de Marguerite Duras (n° 162691) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pantopie : de Hermès à petite poucette (2014) de Michel Serres
Références de Michel Serres - Biographie de Michel Serres
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Serres (n° 160999) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Petits poèmes en prose ou Le Spleen de Paris (1862) de Charles Baudelaire
Références de Charles Baudelaire - Biographie de Charles Baudelaire
Plus sur cette citation >> Citation de Charles Baudelaire (n° 71592) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Déclin du mensonge (1891) de Oscar Wilde
Références de Oscar Wilde - Biographie de Oscar Wilde
Plus sur cette citation >> Citation de Oscar Wilde (n° 167839) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pierres blessées
de Malcolm Lowry
Références de Malcolm Lowry - Biographie de Malcolm Lowry
Plus sur cette citation >> Citation de Malcolm Lowry (n° 161770) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Extrait de sketchs de Patrick Timsit de Patrick Timsit
Références de Patrick Timsit - Biographie de Patrick Timsit
Plus sur cette citation >> Citation de Patrick Timsit (n° 45974) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Topaze (1926) de Marcel Pagnol
Références de Marcel Pagnol - Biographie de Marcel Pagnol
Plus sur cette citation >> Citation de Marcel Pagnol (n° 159198) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le « Journal du confinement » de Leïla Slimani (2020) de Leïla Slimani
Références de Leïla Slimani - Biographie de Leïla Slimani
Plus sur cette citation >> Citation de Leïla Slimani (n° 168128) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview Encres Vagabondes, propos recueillis par Serge Cabrol de Pascal Garnier
Références de Pascal Garnier - Biographie de Pascal Garnier
Plus sur cette citation >> Citation de Pascal Garnier (n° 167869) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Juste avant l'oubli (2015) de Alice Zeniter
Références de Alice Zeniter - Biographie de Alice Zeniter
Plus sur cette citation >> Citation de Alice Zeniter (n° 166784) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Abolition de l'art (1968) de Alain Jouffroy
Références de Alain Jouffroy - Biographie de Alain Jouffroy
Plus sur cette citation >> Citation de Alain Jouffroy (n° 96975) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Mécanique du coeur (2007) de Mathias Malzieu
Références de Mathias Malzieu - Biographie de Mathias Malzieu
Plus sur cette citation >> Citation de Mathias Malzieu (n° 128639) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Moi, Romy (1990) de Romy Schneider
Références de Romy Schneider - Biographie de Romy Schneider
Plus sur cette citation >> Citation de Romy Schneider (n° 170466) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Cours d'étude pour l'instruction du prince de Parme de Etienne Bonnot de Condillac
Références de Etienne Bonnot de Condillac - Biographie de Etienne Bonnot de Condillac
Plus sur cette citation >> Citation de Etienne Bonnot de Condillac (n° 4460) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les gratitudes de Delphine de Vigan
Références de Delphine de Vigan - Biographie de Delphine de Vigan
Plus sur cette citation >> Citation de Delphine de Vigan (n° 159336) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mémoire de fille de Annie Ernaux
Références de Annie Ernaux - Biographie de Annie Ernaux
Plus sur cette citation >> Citation de Annie Ernaux (n° 157419) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur je la regarde
Toutes les citations sur je la regarde Citations je la regarde Citation je la regarde et Proverbe je la regarde Citation sur je Citations courtes je
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
