La définition de If du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

If
Nature : s. m.
Prononciation : if
Etymologie : Bas-lat. ippus ; norm. i : un bel i ; espagn. et portug. iva ; de l'anc. h. allem. iwa ; allem. mod. Eibe ; ou du celtique qui ici se confond avec l'allemand : kimry, yw ; bas-bret. ivin ; cornouaille du IXe siècle, hivin ; angl. yew.

Voir les citations du mot IfSignification du mot If


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de if de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec if pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de If ?


La définition de If

Arbre toujours vert, qui a la feuille étroite et un peu longue et qui porte un petit fruit rouge et rond, famille des conifères, genre taxus ; if commun, taxus baccata, L. Les feuilles de l'if sont un poison pour plusieurs animaux, les chevaux en particulier. Une palissade d'ifs.


Toutes les définitions de « if »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

IF. n. m.
Arbre vert de la famille des Conifères et qui, taillé de diverses manières, s'emploie pour la décoration dans les jardins dessinés à la française et dans les cimetières. Planter des ifs. Tailler des ifs en boules, en pyramide, etc. Il se dit aussi par extension, en termes d'Arts, d'un Support de forme triangulaire qu'on garnit de lumières, dont l'assemblage imite un if taillé en pyramide. Il est encore en usage dans les églises pour fixer des cierges allumés.

Littré

IF (if) s. m.
  • 1Arbre toujours vert, qui a la feuille étroite et un peu longue et qui porte un petit fruit rouge et rond, famille des conifères, genre taxus?; if commun, taxus baccata, L. Les feuilles de l'if sont un poison pour plusieurs animaux, les chevaux en particulier. Une palissade d'ifs. Antoine, gouverneur de mon jardin d'Auteuil, Qui diriges chez moi l'if et le chèvrefeuil, Boileau, Épît. X. Il n'en coûte pas plus pour planter un jardin bien entendu que pour tailler ridiculement des ifs, et en faire des représentations grossières d'animaux, Voltaire, Dial. 4.
  • 2Espèce de charpenterie, de forme triangulaire, employée dans les illuminations, et destinée à porter plusieurs lampions dont l'assemblage imite un if taillé en pyramide. Les lampions de cet if sont presque tous éteints.
  • 3Coquille du genre cérite.

HISTORIQUE

XIe s. En Saragoce descendent sous un if, Ch. de Rol. XX.

XIIe s. Arbres i out et un grant if, Où li venz mene grant estrif, Benoit de Sainte-Maure, V. 25036.


SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

IF. Ajoutez?:
4If à bouteilles, instrument qui a une forme d'if et qui sert à mettre égoutter les bouteilles. Fabricant de planches ou ifs à bouteilles, Tarif des patentes, 1858.
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Encyclopédie, 1re édition

IF, s. m. taxus, (Hist. nat. Bot.) genre de plante à fleur composée de sommets, qui, pour la plûpart, ont la forme d'un champignon, cette fleur est stérile, l'embryon devient dans la suite une baie concave faite en forme de cloche & pleine de suc ; elle renferme une semence. Il y a de ces fruits qui ressemblent à un gland, car ils ont une calotte qui embrasse la semence. Tournefort, Instit. rei herb. Voyez Plante.

If, taxus, arbre toûjours verd, qui vient naturellement dans quelques contrées méridionales de l'Europe ; mais par l'usage que l'on en fait, & la contrainte où on l'assujettit, il ne paroît nulle part que sous la forme d'un arbrisseau. Si cependant on le laisse croître de lui-même, il prend une tige droite, qui s'éleve, grossit, & devient un moyen arbre. Son écorce est mince, rougeâtre, & sans gersures à tout âge ; ses feuilles sont petites, étroites, assez ressemblantes à celles du sapin, mais d'un verd obscur & triste. L'arbre donne au printems, aux extrémités de ses jeunes rameaux, des fleurs mâles ou chatons écailleux qui servent à féconder ses fruits ; ce sont des baies molles, visqueuses, & d'un rouge vif, dont chacune contient une semence.

Cet arbre est très-robuste ; & quoiqu'il habite les pays tempérés, on l'y trouve plus volontiers sur le sommet des montagnes les plus froides, dans les gorges serrées & exposées au nord, dans des côteaux à l'ombre, dans les lieux secs & pierreux, dans les terres légeres & stériles. Il peut venir sous les autres arbres, & il est si traitable, qu'on le voit réussir dans tous les terreins où on l'emploie pour la décoration des jardins, & où il n'y a que l'humidité qui puisse le faire échouer.

L'if se multiplie aisément de semences, de boutures ou de branches couchées. Le premier moyen est le plus lent, mais le meilleur qu'on puisse employer pour avoir des arbres forts & bien enracinés. Les deux autres méthodes seroient préférables par leur célérité, si elles n'avoient l'inconvénient de donner des plants défectueux, soit parce qu'ils sont courbes, ou qu'ils n'ont point de tige déterminée. La graine de l'if est mûre au mois de Septembre, elle reste ordinairement sur les arbres jusqu'en Décembre ; mais comme les oiseaux en sont fort avides, on court risque de n'en plus trouver en différant plus long-tems de la faire cueillir : il vaut donc mieux faire cette récolte dans le mois d'Octobre. On peut la semer sur-le-champ, ou attendre le printems, ou bien l'autonne suivante, ou même différer jusqu'à l'autre printems. En prenant le premier parti, il en pourra lever quelques-unes au printems suivant ; mais le plus grand nombre ne levera qu'au second printems, & il en sera de même des graines que l'on aura semées dans les trois autres tems ; ensorte qu'il faut que cette graine soit surannée pour être assuré de la voir lever au bout de six semaines. Comme il n'y a presque rien à gagner en la semant immédiatement après qu'elle a été recueillie, il vaut encore mieux la garder pendant la premiere année, dans de la terre ou du sable, en un lieu sec ; on épargnera l'occupation du terrein, & la peine de le tenir en culture. Si cependant on avoit intérêt d'accélérer, il y a différens moyens d'en venir à bout que l'on pourra employer ; il faudra où laisser suer les graines, ou les mettre en fermentation : voyez ce qui a été dit à ce sujet à l'article Houx.

Il faut semer la graine d'if dans un terrein frais & léger, contre un mur exposé au nord. Bien des gens la sement en plein champ ; mais il vaut mieux la mettre en rayons, que l'on recouvrira d'un de mi pouce de terreau fort léger ; cela donnera plus de facilité pour la culture. La premiere année les plants s'éleveront à un pouce ; la seconde, à environ trois ou quatre pouces ; & la troisieme année, ils auront communément un pié ; c'est alors qu'ils seront en état d'être mis en pepiniere. Mais comme les racines de cet arbre sont courtes, menues, en petite quantité, & à fleur de terre, il faut avoir la précaution de transplanter les jeunes plants tous les deux ans, afin de les empêcher d'étendre leurs racines, & les disposer à pouvoir être enlevés avec la motte lorsqu'on voudra les placer à demeure : pendant le séjour qu'ils font à la pepiniere on les taille tous les ans, pour les faire brancher & épaissir, & on les prépare ainsi à prendre les figures auxquelles on les destine.

Si on veut multiplier l'if de branches couchées, on doit faire cette opération au printems ; on se sert pour cela des branches qui se trouvent au pié des vieux arbres, & pour en assurer le succès il faut marcotter les branches en les couchant ; elles auront de bonnes racines au bout de deux ans, & alors on pourra les mettre en pepiniere. Si on prend le parti de propager cet arbre de boutures, il faut les faire au mois d'Avril, par un tems humide, dans un terrein frais & bien meuble, contre un mur, à l'exposition du nord. Les plus jeunes branches sont les meilleures pour cet ?uvre ; le plus grand nombre de ces boutures poussera la premiere année, & annoncera du succès ; mais la plûpart malgré cela n'ayant point encore fait racine, ou n'en ayant que de bien foibles, on les verra se dessécher & périr par le hâle du printems suivant, si on n'a grand soin de les couvrir & de les arroser : il ne faut s'attendre à les trouver bien enracinés qu'après la troisieme année, qui sera le tems de les transplanter en pepiniere.

Par les précautions que l'on a conseillé de prendre pour l'éducation de ces arbres durant le tems qu'ils sont en pepiniere, on doit juger qu'il ne faut pas moins d'attention pour les transplanter à demeure, & c'est sur-tout aux choix de la saison qu'il faut s'attacher. Le fort de l'hiver & le grand été n'y sont nullement propres ; tous autres tems sont convenables, à l'exception toutes-fois des commencemens du printems, & particulierement de ce tems sec, vif & brûlant, que l'on nomme le hâle de Mars. Ce hâle est le fléau des arbres toûjours verds ; c'est l'intempérie la plus à craindre pour les plants de ces arbres, qui sont jeunes ou languissans, ou nouvellement plantés. Les mois que l'on doit préférer pour la transplantation de l'if sont ceux d'Avril & de Septembre, encore faut-il profiter pour cela d'un tems doux, nébuleux & humide ; garantir les plants du soleil en les couvrant de paille, & les arroser souvent, mais modérément. Si cependant les ifs que l'on prend le parti de transplanter sont trop forts, il sera bien difficile de les faire reprendre avec toutes les précautions possibles, & les plants jeunes ou moyens que l'on sera dans le cas d'envoyer au loin, doivent être enlevés avec la motte de terre, & mis en manequin pour en assurer le succès. L'if est un arbre agreste, sauvage, robuste ; dès qu'il est repris, il n'exige plus aucune culture.

Le bois de l'if est rougeâtre, veineux & fléxible, très-dur, très-fort, & presque incorruptible ; sa solidité le rend propre à différens ouvrages de Menuiserie, il prend un beau poli, & les racines s'emploient par les Tourneurs & les Ebénistes.

On ne plante presque jamais cet arbre, pour le laisser croître naturellement ; on ne l'emploie au contraire que pour l'assujettir à différentes formes, qui demandent des soins, & encore plus de goût. L'if n'a nulle beauté, il est toûjours verd, & puis c'est tout ; mais sa verdure est si obscure, si triste, que tout l'agrément de cet arbre vient de la figure que l'art lui impose. Autrefois les ifs envahissoient les jardins par la quantité de plants de cet arbre qu'on y admettoit, & plus encore par les formes volumineuses & surchargées qu'on leur laissoit prendre. Aujourd'hui, quoique le goût soit dominant pour les arbrisseaux, on n'emploie l'if qu'avec ménagement, & on le retient à deux ou trois piés de haut ; on le met dans les plates bandes des grands jardins pour en interrompre l'uniformité, & marquer à l'?il des intervalles symétriques ; on le place aussi entre les arbres des allées, autour des bosquets d'arbres toûjours verds, dans les salles de verdure, & autres pieces de décoration ; mais le meilleur usage que l'on puisse faire de cet arbre, c'est d'en former des banquettes, des haies de clôture ou de séparation, & sur-tout de hautes palissades ; il est très-propre à remplir ces objets, par la régularité dont il est susceptible. Ces haies & ces palissades sont d'une force impénétrable, par l'épaisseur qu'on peut leur faire prendre.

L'if est peut-être de tous les arbres celui qui souffre la taille avec le moins d'inconvénient, & qui conserve le mieux la forme qu'on veut lui donner. On lui voit prendre sous les ciseaux du jardinier des figures rondes, coniques, spirales, en pyramide, en vase, &c. le mois de Juillet est le tems le plus propre pour la taille de cet arbre.

Si l'on en croit la plûpart des anciens auteurs d'agriculture, & quelques-uns des modernes, cet arbre a des propriétés très-nuisibles ; le bois, l'écorce, le feuillage, la fleur & le fruit, son ombre même, tout en est venimeux, à ce qu'ils assurent ; il peut causer la mort à l'homme, à plusieurs animaux quadrupedes, & aux oiseaux : ils citent même quantité de faits à ce sujet. Mais il paroît que cette malignité si excessive doit être sur-tout attribuée à un autre espece d'if, qui ne se trouve que dans les contrées méridionales de l'Europe, & qui a les feuilles plus larges & plus luisantes que celles de l'espece que nous cultivons. M. Evelyn, dans son Traité des forêts, rapporte avoir vû à Pise en Italie, de ces ifs à larges feuilles, qui rendoient une odeur si forte & si active, que les Jardiniers ne pouvoient les tailler pendant plus d'une demi-heure, sans ressentir un grand mal de tête. Il est très-certain que le fruit de notre if ne cause aucun mal ; on a vû souvent des enfans & des animaux en manger sans aucun inconvénient ; bien des gens se sont trouvés dans le cas de se reposer, & même de dormir sous son ombre, sans en avoir ressenti aucun mal ; mais à l'égard des rameaux, qui peuvent comprendre en même tems le bois, la feuille & la fleur, il y a lieu de soupçonner qu'il est très-dangereux d'en manger : il y a sur cela un exemple assez récent. Un particulier de Montbard, en Bourgogne, ayant conduit sur un âne des plantes au jardin du Roi à Paris, au mois de Septembre 1751, il attacha son âne dans une arriere cour du château, où il y avoit une palissade d'if ; pendant que le conducteur s'occupa à transporter dans les serres les plantes qu'il avoit amenées, l'animal, qui étoit pressé de la faim, brouta des rameaux d'if qui étoient à sa portée, & lorsque le conducteur revint pour prendre son âne & le conduire à l'écurie, il le vit tomber par terre, & mourir subitement, malgré les secours d'un maréchal qui fut appellé sur-lechamp, & qui reconnut par l'enflure qui étoit survenue à l'animal, & par d'autres indices, qu'il falloit qu'il eut mangé quelque chose de venimeux. Jean Bauhin dans son histoire des Plantes cite pareil fait d'un âne mort subitement, au village d'Oberentzingen, pour avoir mangé de l'if.

On ne connoît encore que deux variétés de cet arbre ; l'une, dont les feuilles sont plus larges & plus luisantes ; l'autre, dont les feuilles sont rayées de jaune : celle-ci a si peu d'agrément qu'on ne s'est point encore avisé de la tirer d'Angleterre, où la curiosité pour les plantes panachées trouve plus de partisans qu'en France. Les auteurs Anglois conviennent que cette sorte d'if panaché n'a presque nulle beauté ; que pendant l'été, qui est le tems où cet arbre pousse vigoureusement, à peine apperçoit-on la bigarrure, & qu'elle présente plûtôt une défectuosité qu'un agrément ; qu'il est vrai qu'elle est plus apparente en hiver, mais qu'il faut beaucoup de soin pour empêcher l'arbre de reprendre son état naturel.

If, (Médecine.) Dioscoride, Galien, Pline, presque tous les anciens naturalistes, & quelques modernes, mettent cet arbre au rang des poisons ; non seulement ses fruits, l'infusion ou la décoction de ses feuilles & de son bois, ont, selon ces auteurs, une qualité assoupissante & véritablement venimeuse, mais encore il est dangereux de dormir à son ombre, & de s'occuper pendant un certain tems continu à le tailler. Les naturalistes modernes s'accordent au contraire assez à absoudre cet arbre de ces qualités pernicieuses. Or, comme les anciens ont été beaucoup moins circonspects que les modernes sur les assertions de ce genre ; qu'ils ont moins reconnu que ceux-ci les droits de l'expérience, il paroît raisonnable de pancher vers le sentiment des derniers. (b)

If, l'île d', Hpæa, (Géog.) île de France en Provence, la plus orientale des trois qui sont devant le port de Marseille. Le fort qui la défend passe pour un des meilleurs de la mer Méditerranée ; ce n'étoit auparavant qu'une place d'ifs, dont elle a gardé le nom. (D. J.)

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Wiktionnaire


Nom commun - français

if \if\ masculin

  1. (Botanique) Arbre sempervirent de la famille des taxacées, à feuilles persistantes longues, étroites, vénéneuses, d'un vert très sombre, à fausses baies rouges, utilisé comme arbre d'ornement dans les parcs, les jardins, les cimetières.
    • [?] je prends le Ciel à témoin qu'il n'y a là que quelques marchandises que je te donnerais avec joie : [?], une centaine de bâtons d'if d'Espagne pour faire des arcs. (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l'anglais par Alexandre Dumas, 1820)
    • L'enceinte de l'Alcazar renferme des jardins dessinés dans le vieux goût français, avec des ifs taillés dans les formes les plus bizarres et les plus tourmentées. (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, 1840, édition Charpentier, 1859)
    • Toutes les tombes étaient à l'ombre, et l'on n'avait planté que des arbres dont l'ombre n'est pas malsaine. Sous les ifs, qui semblent des sapins retroussés par le vent, étaient étendues les femmes. (Jean Giraudoux, Provinciales, Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 33)
    1. (Spécialement) Taxus baccata, l'if commun.
  2. (Art) Support de forme triangulaire dont l'assemblage imite un if taillé en pyramide.
    1. Support pour fixer des lampes.
      • Je me sens une immense tristesse devant les affiches mouillées et les ifs à lampions qui clignotent encore à la porte. (Alphonse Daudet, Un soir de première, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, réédition Le Livre de Poche, 1974, page 177)
    2. Support dans les églises pour fixer des cierges allumés.
      • Dans l'ombre humide et fraîche qui tombait des voûtes, Gestas tourna sur sa droite vers le bas-côté où, près du porche, devant la statue de la Vierge, un if de fer dressait ses dents aiguës, sur lesquelles aucun cierge votif ne brûlait encore. (Anatole France, L'Étui de nacre, 1892, réédition Calmann-Lévy, 1923, page 115)
    3. Support pour égoutter les bouteilles.
  3. (Héraldique) Meuble (Rare) représentant l'arbre du même nom dans les armoiries. Il se blasonne comme n'importe quel arbre. À rapprocher de arbre, chêne, pin, pommier, sapin?
    • D'or, à la croix échiquetée de gueules et d'argent de trois tires, cantonnée de quatre ifs de sinople, qui est de la famille Des Nos de Bretagne ? voir illustration « armoiries avec 4 ifs »
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Trésor de la Langue Française informatisé


IF, subst. masc.

A. ? Arbre à feuilles persistantes longues, étroites, vénéneuses, d'un vert très sombre, à fausses baies rouges, qui est utilisé comme arbre d'ornement dans les parcs, les jardins, les cimetières. If noir, lugubre; allée, bosquet, massif d'ifs; odeur âcre de l'if; arc en bois d'if. Elle voyait déjà ses ifs taillés en murailles, en boules et en pyramides (A. France, Putois,1904, p. 66).
? BOT. Ifs (Taxus). Arbres ou arbrisseaux des régions froides et tempérées de l'hémisphère nord, dont l'espèce la plus répandue dans nos régions est l'If commun (Taxus baccata) (genre de la famille des Taxacées, ordre des Taxales, classe des Conifères). If commun ou d'Europe, du Canada, du Japon; if argenté, doré. Les Taxus (Ifs), particulièrement connus par l'espèce T. baccata (If d'Europe), sont de petits arbres à écorce écailleuse qui croissent très lentement et toujours par pieds isolés (P. Corsin, Flore Universelle ds Encyclop. de la nature, Paris, Bordas, 1971, p. 142) :
1. J'aperçois un défaut dans l'architecture du jardin : il faut une rangée d'ifs d'Irlande derrière le massif où fleuriront bientôt des roses roses. Chardonne, Ciel,1959, p. 134.
B. ? P. anal. (avec la forme de l'if taillé en pyramide).
1. Support de bois ou de métal, monté sur un pied, de forme triangulaire, sur lequel on dispose des lampions pour les illuminations ou, dans les églises, des cierges. Ce que l'on admirait surtout, c'étaient deux longs ifs couverts de lampions qui flanquaient une estrade (Flaub., MmeBovary, t. 1, 1857, p. 152).La pièce était éclairée par un buisson de chandelles piquées sur un if de fer forgé (Druon, Reine étranglée,1955, p. 68) :
2. ... près du porche, devant la statue de la Vierge, un if de fer dressait ses dents aiguës, sur lesquelles aucun cierge votif ne brûlait encore. A. France, Étui nacre,1892, p. 151.
2. If à bouteilles. Ustensile en forme de cône hérissé de pointes, qui sert à égoutter les bouteilles. (Dict. xixeet xxes.).
Prononc. et Orth. : [if]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. Ca 1100 (Roland, éd. J. Bédier, 406); 2. 1834 « pièce de charpenterie de forme triangulaire pour les illuminations » (Boiste). Du gaul. *ivos (irl. eo, cymrique yv [le bret. ivin est peut-être empr. au fr., v. Dottin, p. 262]), le mot étant commun aux lang. celt. et germ. (a.h.all. îwa, all. Eibe; ags. îw, angl. yew), v. Dottin, pp. 131, 262; Thurneysen, p. 65. Fréq. abs. littér. : 233. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 284, b) 293; xxes. : a) 212, b) 463.

IF, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. Ca 1100 (Roland, éd. J. Bédier, 406); 2. 1834 « pièce de charpenterie de forme triangulaire pour les illuminations » (Boiste). Du gaul. *ivos (irl. eo, cymrique yv [le bret. ivin est peut-être empr. au fr., v. Dottin, p. 262]), le mot étant commun aux lang. celt. et germ. (a.h.all. îwa, all. Eibe; ags. îw, angl. yew), v. Dottin, pp. 131, 262; Thurneysen, p. 65.

If au Scrabble


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Les citations avec le mot If


  1. Mon regard, des magnifiques cubes blancs, rouges, verts des primeurs glisse malencontreusement sur le pavé luisant de déchets horribles.

    Auteur : André Breton - Source : L'Amour fou (1937)


  2. Dolmen: A rapport aux anciens Français. Pierre qui servait au sacrifice des druides. Il n'y en a qu'en Bretagne. On n'en sait pas plus.

    Auteur : Gustave Flaubert - Source : Dictionnaire des idées reçues (1913)


  3. On la tolère encore un peu, la forêt, pour la hacher en pâte à papier ou la laminer en simili-massif. Le jour où la civilisation n'aura plus besoin de papier ni de maquiller le plastique en faux bois, adieu le dernier arbre!

    Auteur : François Cavanna - Source : La belle fille sur le tas d'ordures (1991)


  4. C'était par les sens qu'il aspirait la beauté infinie, la fraicheur et la pureté de cette nuit de printemps, l'air embaumé portant les parfums des fleurs aux goûts suaves, le ciel luisant d'une clarté évanescente, les concerts de sifflement des grives au loin dans le bois de Gauta, le murmure timide du ruisseau au pied du coteau où il se reposait...

    Auteur : Sigrid Undset - Source : Printemps (1932)


  5. La plupart des grandes pensées prennent le tour de l'antithèse, soit pour marquer plus vivement les rapports de différence et d'opinion, soit pour rapprocher les extrêmes.

    Auteur : Jean-François Marmontel - Source : Oeuvres


  6. Tandis que l'amour, hélas ! Il y eut un silence dans lequel s'engouffra toute la passion amoureuse grandie, nourrie, exaspérée par l'indifférence de l'être aimé.

    Auteur : Michel Tournier - Source : Le Miroir des idées (1994)


  7. L'argent ne satisfait pas plus l'avidité que l'eau salée ne désaltère la soif.

    Auteur : Ksemendra - Source : Sans référence


  8. En un mot comme en cent, chers habitants hilares de ce monde cosmopolite, je répéterai inlassablement qu'il vaut mieux rire d'Auschwitz avec un juif que de jouer au scrabble avec Klaus Barbie.

    Auteur : Pierre Desproges - Source : Vivons heureux en attendant la mort (1998)


  9. Boileau se flattait d'avoir appris à Racine à faire difficilement des vers faciles.

    Auteur : Albert Thibaudet - Source : Gustave Flaubert (1922)


  10. Il faut s'interroger sur la haute capacité d'érudition de l'Occident industriel, sur la signification stratégique du savoir historisant qui permet de revenir sur le passé, c'est-à-dire de le refouler d'une manière moderne en l'épurant.

    Auteur : Pierre Legendre - Source : Leçons II. L'Empire de la vérité. Introduction aux espaces dogmatiques industriels (1983)


  11. J'ai jamais mangé au restaurant en haut de la tour Eiffel. Tu te rends compte si tu laisses tomber ton couteau!

    Auteur : Jean-Marie Gourio - Source : Brèves de comptoir, 1988


  12. On doit se faire à l'autre, l'écouter, le comprendre, s'en imprégner, avec cette différence qu'au lieu d'un personnage, c'est un roman qu'il va falloir traduire.

    Auteur : Jacques Gélat - Source : Le Traducteur (2006)


  13. Quelle est la différence entre une étoile filante et une maison qui tombe ? Et bien, l'une exauce un voeu dans un trait de lumière, et l'autre écrase l'odieux dans un pet de sorcière !

    Auteur : Gregory Maguire - Source : Wicked : La Véritable Histoire de la méchante sorcière de l'Ouest (2011)


  14. J'ai toujours fait une différence entre l'homme et le pilote. Si la réputation du pilote n'est plus idéale, ce n'est pas grave. Seule celle de l'homme est essentielle.

    Auteur : Alain Prost - Source : Sans référence


  15. La parole de la femme, c'est le dictame universel, la vertu pacificatrice, qui partout adoucit, guérit.

    Auteur : Jules Michelet - Source : La Femme (1860)


  16. La technique était bien rodée. Ramener le passé au présent. Dire le vrai, mais le dire mal. Partir d'éléments réels, vérifiables, incontestablement douloureux, puis laisser le verbe dériver vers l'amalgame, la vérité partielle, pour finir par s'arrimer au refus forcené d'endosser la plus petite responsabilité. Choisir les mots. Les répéter. Les marteler. En imprimer la résonance dans les esprits de ceux que la faim faisaient tituber. En faire la pensée unique de miséreux qui ne réfléchiraient pas, lorsqu'on leur tendrait une hache ou une machette. Se servir du peuple comme outil de sa propre destruction.

    Auteur : Léonora Miano - Source : Les Aubes écarlates (2009)


  17. Si l'intelligence artificielle est capable de m'imiter, c'est que je suis le problème, pas l'ordinateur.

    Auteur : Alexandre Astier - Source : Entretien Le Figaro, Alexandre Astier à Paris, le 21 avril 2023


  18. Une fois le dentifrice sorti du tube, il est difficile de l'y faire rentrer.

    Auteur : H. R Haldeman - Source : A propos du scandale du Watergate, 30 aout 1973


  19. ... la jalousie et la soif de vengeance ... sont inséparables comme l'action et la passion d'un même coeur.

    Auteur : Michel Tournier - Source : Le médianoche amoureux


  20. Voici quelques voleurs internes : les objectifs confus et changeants, l’absence de plan de travail quotidien, les travaux encore en cours, l’absence de dates limites imposées, la tendance à en faire trop, le perfectionnisme, le manque d’ordre, la délégation insuffisante, l’attention excessive aux détails, le retard à traiter les conflits, la résistance au changement, les intérêts dispersés et trop nombreux, l’inaptitude à dire non, une mauvaise communication, de mauvaises décisions, la manque de forme, etc.

    Auteur : Jean-Louis Servan-Schreiber - Source : L'Art du Temps (1983)


  21. Un état général de pénurie accroît ... l'importance des petits privilèges et magnifie la distinction entre un groupe et un autre.

    Auteur : George Orwell - Source : 1984 (1949)


  22. J'aime la nuit avec passion. Je l'aime comme on aime son pays ou sa maîtresse, d'un amour instinctif, profond, invincible.

    Auteur : Guy de Maupassant - Source : Nouvelles fantastiques II, La Nuit


  23. En Algérie il était pris dans cette alternative : ou devenir instituteur, ce qui signifiait l'aisance pour toute la famille, ou redevenir berger.

    Auteur : Mouloud Feraoun - Source : Le Fils du pauvre (1950)


  24. L'épine du rosier ne griffe point, mais c'est l'imprudent qui se griffe par une manière violente de fuir.

    Auteur : Emile-Auguste Chartier, dit Alain - Source : Propos, 15 août 1926, Douleurs et malheurs


  25. En février 1905, à Moscou, un groupe de terroristes, appartenant au parti socialiste révolutionnaire, organisait un attentat à la bombe contre le grand-duc Serge, oncle du tsar. Cet attentat et les circonstances singulières qui l'ont précédé et suivi font le sujet des Justes. Si extraordinaires que puissent paraître, en effet, certaines des situations de cette pièce, elles sont pourtant historiques. Ceci ne veut pas dire, on le verra d'ailleurs, que Les Justes soient une pièce historique. Mais tous les personnages ont réellement existé et se sont conduits comme je le dis. J'ai seulement tâché à rendre vraisemblable ce qui était déjà vrai... La haine qui pesait sur ces âmes exceptionnelles comme une intolérable souffrance est devenue un système confortable. Raison de plus pour évoquer ces grandes ombres, leur juste révolte, leur fraternité difficile, les efforts démesurés qu'elles firent pour se mettre en accord avec le meurtre - et pour dire ainsi où est notre fidélité.

    Auteur : Albert Camus - Source : Les Justes (1952)


Les citations du Littré sur If


  1. Je me sais bon gré d'avoir griffonné dans ma vie tant de prose et tant de vers

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. en vers et en prose, 41


  2. Ce ne sont pas [les apôtres] des spéculatifs et des curieux qui, ayant rêvé dans leur cabinet sur des choses imperceptibles, sur des mystères éloignés des sens, font leurs idoles de leurs opinions et les défendent jusqu'à mourir

    Auteur : BOSSUET - Source : Panégyr. saint André, I


  3. C'est un petit jeune homme à quatre pieds de terre, Homme de qualité qui revient de la guerre, Qu'on voit toujours sautant, dansant, gesticulant, Qui vous parle en sifflant, et qui siffle en parlant

    Auteur : REGNARD - Source : Distr. I, 4


  4. Il est prudent, parce qu'il est praticien et operatif

    Auteur : ORESME - Source : Eth. 217


  5. Peu s'en faut que l'esprit humain ne tire de là [la permission du mal par la Providence] cette conclusion impie qu'on attribuait faussement à saint Paul : que, puisque Dieu est glorifié par les crimes des hommes, il ne les faut plus condamner

    Auteur : NICOLE - Source : Ess. de mor. 2e traité, chap. 3


  6. Maman, toujours projetante et toujours agissante, ne nous laissait guère oisifs ni l'un ni l'autre

    Auteur : J. J. ROUSSEAU - Source : Confess. v.


  7. Est-ce votre dessein d'attirer mes blasphèmes, Et qu'ainsi que mes maux mes crimes soient extrêmes ; Qu'à mille impiétés osant me dispenser [me livrer], à votre foudre oisif je donne où se lancer ?

    Auteur : Corneille - Source : Suiv. V, 2


  8. La proue était ornée pour l'ordinaire [chez les anciens] de peintures et de différentes images de dieux, d'hommes ou d'animaux

    Auteur : ROLLIN - Source : Hist. anc. Oeuv. t. IV, p. 569, dans POUGENS


  9. Il suffirait de réfléchir sur le supplice de la reine Anne de Boulen, de la reine Catherine Howard, de la reine Jeane Gray, de la reine Marie Stuart, du roi Charles Ier, pour justifier celui qui a dit que c'était au bourreau d'écrire l'histoire d'Angleterre

    Auteur : ID. - Source : ib.


  10. Le prevost se vint mettre en siege pontifical, à dextre, environné de ses hommes, et le bon compagnon fut mis et assis sur le petit banc ou parquet

    Auteur : LOUIS XI - Source : Nouv. XXV


  11. Cette différence vient peut-être des divers accidents auxquels la vigne est sujette dans ce pays-ci, gelées, pluies, coulure, qu'on n'a point tant à craindre dans les pays chauds

    Auteur : ROLLIN - Source : Hist. anc. Oeuvres, t. X, p. 450


  12. Pepin a signifié jardinier dans un texte du XIVe siècle : Les pepins de la pepiniere

    Auteur : DU CANGE - Source : pepilio.


  13. Comment se peut-il que vous soyez si fidèle et si généreux, après n'avoir pas eu de honte de me vendre des colifichets quatre fois au-dessus de leur valeur ?

    Auteur : Voltaire - Source : Babouc.


  14. C'est là-dessus que Zozime fonde le récit si propre à envenimer les motifs de la conversion de Constantin

    Auteur : Montesquieu - Source : Esp. XXIV, 13


  15. On a remarqué que, depuis 1494 jusqu'en 1598, la ville de Gênes a été gouvernée de plus de douze manières différentes

    Auteur : DUCLOS - Source : Hist. Louis XI, Oeuvres, t. V, p. 77. dans POUGENS


  16. La difficulté est qu'il n'y a point d'adresse aux évêques

    Auteur : BOSSUET - Source : Lettr. Quiét. 446


  17. Son sacrifice a reçu son couronnement

    Auteur : Blaise Pascal - Source : Lett. 4


  18. Ils n'avaient rien à lui disputer sur l'équipage et la magnificence

    Auteur : HAMILT. - Source : Gramm. 6


  19. Riquet à la houppe se présente à elle, brave, magnifique, et comme un prince qui va se marier

    Auteur : PERRAULT - Source : Contes, 78


  20. De nostre temps, le roy Henri II, voulant eriger un magistrat en chaque baillage qui eut l'oeil sur les baillifs et prevosts, pour en faire son rapport au conseil privé du roy, le voulut intituler pere du peuple

    Auteur : PASQUIER - Source : Recherches, II, p. 105, dans LACURNE


  21. Albe fut vaincue et ruinée ; ses citoyens, incorporés à la ville victorieuse, l'agrandirent et la fortifièrent ; Romulus avait pratiqué le premier ce moyen d'augmenter la ville, où il reçut les Sabins et les autres peuples vaincus

    Auteur : BOSSUET - Source : Hist. I, 7


  22. On scarifie les omoplates, le dedans des mains et la plante des pieds ....lorsqu'on veut être bien convaincu de la certitude de la mort de quelqu'un

    Auteur : BUFF. - Source : Hist. nat. hom. Oeuv. t. IV, p. 379


  23. En employant de l'eau pour remplir l'intervalle entre l'objectif et l'oculaire, on diminuera en partie l'effet de la différente réfrangibilité

    Auteur : BUFF. - Source : Hist. min. Introd. Oeuv. t. VII, p. 241


  24. Dom Fernand dans sa province est oisif, ignorant, médisant, querelleur, fourbe, intempérant, impertinent ; mais il tire l'épée contre ses voisins, et pour un rien il expose sa vie

    Auteur : LA BRUY. - Source : XI


  25. Tandis que leur amour en cet adieu conteste, Achillas à son bord joint son esquif funeste

    Auteur : Corneille - Source : Pomp. II, 2




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Mise à jour le mercredi 24 décembre 2025 à 11h49










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