La définition de Odorant, Ante du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Odorant, ante
Nature : adj.
Prononciation : o-do-ran, ran-t'
Etymologie : Odorer. On a dit aussi odoreux, au XVIe siècle.

Voir les citations du mot Odorant, anteSignification du mot Odorant, ante


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de odorant, ante de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec odorant, ante pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Odorant, Ante ?


La définition de Odorant, Ante

Qui exhale une odeur bonne ou mauvaise. Les particules odorantes des corps. Les principes odorants.


Toutes les définitions de « odorant, ante »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

ODORANT, ANTE. adj.
Qui exhale une odeur. Il signifie particulièrement Qui répand une bonne odeur. Les fleurs odorantes. Le cèdre est un bois odorant.

Littré

ODORANT (o-do-ran, ran-t') adj.
  • 1Qui exhale une odeur bonne ou mauvaise. Les particules odorantes des corps. Les principes odorants. Une meute pressante? D'un agile chevreuil suit les pas odorants, Chénier, Hermès.
  • 2 Particulièrement. Qui a en soi, qui répand une odeur. Dieux?! et quel lui parut ce brasier dévorant?? - Ce que te paraîtrait un parterre odorant, Rotrou, Hercule mour. V, 1. Ces fleurs odorantes, Ces eaux bondissantes, Ces ombrages frais Sont des dons de ses mains bienfaisantes, Racine, Poés. div. Idylle sur la paix. Elle dit et s'endort?; vers la plaine odorante, Non moins prompt que le daim cherchant la biche errante, Voilà que, l'?il ardent, accourt le bien-aimé, Millevoye, Chants élég. la Sulamite. La Provence odorante, et de Zéphyre aimée, Respire sur les mers une haleine embaumée, Chénier, à la France.

HISTORIQUE

XVIe s. Ils leur font perdre leur mauvaise odeur par la mixtion des choses odorantes et parfums, Paré, XXIII, 7. Les abeilles et les connins aiment fort la fleur du thym, aussi leur acquiertelle bonté de miel et de chair, accompaignés d'odorante senteur, De Serres, 566.


SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

ODORANT. Ajoutez?: - REM. Comme odorant vient du verbe odorer, qui est actif, il faut le ranger dans la catégorie de ces participes présents pris passivement, comme?: rue passante, étoffe voyante.

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Encyclopédie, 1re édition

ODORANT, Principe, (Chimie, Pharmac. & Mat. médic.) partie odorante, principe ou partie aromatique, parfum, odeur, gas, esprit recteur, ens, esprit, mercure.

Les Chimistes ont désigné sous tous ces noms un principe particulier dont un grand nombre de plantes & un très-petit nombre de substances animales sont pourvues, qui est l'objet propre du sens de l'odorat, ou le principe matériel du sens de cette sensation. Voyez Odorat, Physiologie.

Le principe aromatique des végétaux réside ou dans une huile essentielle, dont quelques substances végétales sont pourvues (voyez Huile essentielle) ; ou il adhere au parenchyme de quelques autres qui ne contiennent point d'huile essentielle ; ou même il est logé chez ces derniers dans de petits reservoirs insensibles. Il peut fort bien être encore que les plantes qui ont de l'huile essentielle, contiennent leur principe aromatique de ces deux manieres.

Les baumes & les racines n'étant autre chose que des huiles essentielles, plus ou moins épaissies, qui se sont séparées d'elles-mêmes de certains végétaux, il est évident qu'elles ne méritent aucune considération particuliere, par rapport à leur principe aromatique.

Le petit nombre de substances animales aromatiques ; le musc, la civette, le castor, sont aussi exactement analogues à cet égard aux baumes & aux résines, & par conséquent aux huiles essentielles.

L'union naturelle du principe aromatique & de l'huile essentielle est bien évidente, puisqu'une pareille huile retirée sans la moindre altération d'un végétal ; par exemple, l'huile retirée de l'écorce de citron en en exprimant des zests, est abondamment chargée de ce principe, & qu'elle peut ensuite le perdre absolument étant gardée à l'air libre, ou dans un vaisseau négligemment fermé.

Quant à la partie odorante des plantes qui ne contiennent point d'huile essentielle, tout ce qu'on sait de sa façon d'être dans les plantes, c'est qu'elle adhere assez à leur substance, pour que la dessiccation ne le dissipe pas entierement ; quoiqu'il soit vrai que les plantes aromatiques qui ne contiennent point d'huile essentielle, telles que les muguets, les jacintes, le jasmin, &c. perdent infiniment plus de leur odeur par la dessiccation, que celles qui contiennent de l'huile essentielle.

Ce principe est le plus mobile de tous ceux que renferment les plantes. Il doit être regardé comme étranger à leur texture & même à leurs sucs propres ou fondamentaux (voyez Végétal), & comme étant répandu à leur surface & dans leurs pores, comme adhérent à ces parties en les mouillant, ou tout au plus comme étant déposé dans de petits reservoirs particuliers, soit seul & pur, soit mêlé à de l'huile essentielle. Il n'est pas permis de croire que ce principe nage dans l'eau de la végétation, puisqu'il est plus volatil que ce dernier principe, qu'on peut néanmoins dissiper tout entier par la dessiccation, sans que la meilleure partie du principe aromatique soit dissipée en même tems. Ce fait est très-sensible, par exemple, dans les feuilles de menthe, qui étant bien seches, contiennent encore une quantité considérable de principes aromatiques.

Le principe aromatique est si subtil & si léger, si peu corporel, s'il est permis de s'exprimer ainsi, qu'il n'est pas possible de le déterminer par le poids ni par mesure ; car, selon l'expérience de Boerhaave, une eau distillée très chargée de parfum, qui ayant été exposée à l'air, a perdu absolument toute odeur, n'a pas diminué sensiblement de poids ni de volume.

Il est cependant évident que le principe aromatique est un être composé, puisqu'il y en a autant d'especes distinctes, qu'il y a de substances odorantes : or ces divers principes odorans ne peuvent être spécifiés que par des diversités dans leurs mixtions.

Quant à l'essence propre à la constitution intérieure ou chimique du principe aromatique, elle est encore absolument inconnue ; mais malgré l'extrème subtilité de ce principe, qui le dérobe aux sens & aux instrumens chimiques, on peut cependant avancer, d'après le petit nombre de notions que nous avons sur cet objet, que la connoissance intime de sa composition n'est pas une découverte au-dessus de l'art.

Il semble qu'on ne doit pas confondre avec le principe aromatique une certaine vapeur qui s'exhale de presque toutes les substances végétales & animales appellées inodores, & qui est pourtant capable de faire reconnoître ces substances par l'odorat ; car quoiqu'on peut soutenir avec quelque vraissemblance qu'elles ne different à cet égard des substances aromatiques que par le plus ou le moins, cependant comme l'odeur de ces substances est presque commune à de grandes divisions ; par exemple, à toutes les herbes, à toutes les chairs, à tous les laits, &c. il est plus vraissemblable que ce principe mobile n'est qu'une foible émanation de toute leur substance, & non point un principe particulier. On peut assurer la même chose avec encore plus de vraissemblance du soufre commun, du cuivre & du plomb, qui ont chacun une odeur propre très-forte. L'odeur de la transpiration des divers animaux, & même des divers individus de la même espece, paroît être aussi un être fort distinct du principe qui fait le sujet de cet article.

La partie odorante a été regardée par les pharmacologistes, comme le principe le plus précieux des plantes qui en étoient pourvues. Boerhaave a surtout poussé si loin ses prétentions à cet égard, qu'il regarde tous les autres principes des plantes aromatiques comme absolument dépouillés de vertus. Voici comme il s'en exprime : quin etiam scire refert hominum industriam deprehendisse tenui huic stirpium vapori deberi stupendos effectus quos in corpore hominis excitant concreta vegetantia tàm evacuando quam mutando : quoniam eo solo de medicamentis venenisque penitus separato sine ullâ ferè ponderis jacturâ caret omni illâ efficaciâ. Cette prétention est certainement outrée, surtout si on veut la généraliser ; car certainement il y a plusieurs substances aromatiques qui exercent d'ailleurs des effets médicamenteux très-manifestes par des principes fixes. Il est cependant vrai en général que le principe aromatique doit être ménagé dans la préparation des médicamens odorans, comme un agent médicamenteux très-efficace : aussi est ce une loi constante de manuel pharmaceutique, de ne soumettre aucune substance aromatique à un degré de feu capable de dissiper le principe odorant ; or le degré de l'eau bouillante, & même celui du bain-marie étant plus que suffisant, pour dissiper ce principe, on ne doit point traiter les substances aromatiques par la décoction, ni même par la chaleur du bain-marie très-chaude dans les vaisseaux ouverts, & lorsque la décoction est d'ailleurs nécessaire pour retirer en même tems d'autres principes de la même substance ; il faut faire cette décoction dans un appareil convenable de distillation, & réunir le principe aromatique qui s'est élevé & qu'on a retenu, & la décoction refroidie. On en use ainsi dans la préparation de certains sirops (voyez Sirop.) Si l'on est obligé de faire essuyer la chaleur d'un bain-marie très-chaud à une liqueur chargée de principes aromatiques ; comme par exemple, pour la disposer à dissoudre une très-grande quantité de sucre, on doit lui faire essuyer cette chaleur dans un vaisseau exactement fermé. On trouvera encore des exemples de cette man?uvre à l'article Sirop.

Il ne faut pas imaginer cependant que toutes les substances aromatiques soient absolument dépouillées de leur partie odorante par une décoction même très-longue, comme beaucoup de chimistes & de médecins le pensent, sur la foi de Boerhaave & de la théorie. Il est sûr au contraire que la plûpart des substances qui ont beaucoup d'odeur, telles que presque tous les aromates exotiques, la racine de benoite, celle d'iris de Florence, & même quelques fleurs, comme les fleurs d'orange, les ?illets, conservent beaucoup d'odeur après de longues décoctions : mais malgré cette observation, il est toujours très-bon de s'en tenir à la loi générale. L'excès de circonspection n'est point blâmable dans ce cas. Le principe aromatique résidant dans un véhicule que l'on doit regarder comme sans vertu, c'est-à-dire, dans de l'eau, étant aussi concentrée qu'il est possible dans ce véhicule, en un mot, réduit sous la forme d'eau distillée très-chargée (voyez Eau distillée), & qui peut être regardé dans cet état comme pur, relativement à ses effets sur le corps humain ; ce principe, dis-je, a une saveur générique vive, active, irritante, qui le rend propre à exercer la vertu cordiale, stomachique, fortifiante, nervine, sudorifique : c'est principalement pour ces vertus connues qu'on ordonne les différentes eaux distillées aromatiques ; mais outre cela, quelques-uns de ces principes aromatiques ont des qualités particulieres & distinctes, manifestées par les sens ou par l'observation médicinale. L'amertume singuliere de l'eau de fleurs d'orange, & la saveur piquante de l'eau de chardon-béni des parisiens, sont très-sensibles ; par exemple, l'eau distillée de laurier-cerise est un poison ; l'eau rose est purgative ; l'eau distillée de rue est hystérique ; celle de mente éminemment stomachique, &c. Boherhaave qui, en établissant la différence spécifique des eaux aromatiques, a dit du principe aromatique de la lavande, & de celui de la melisse, que chacun avoit, outre leurs propriétés communes, vim adhuc penitùs singularem, a, ce me semble, mal choisi ses exemples. Nous rapporterons dans les articles particuliers les qualités médicinales propres de chaque substance aromatique usuelle. (b)

Odorante, substance, (Chimie.) substance ou matiere aromatique. Les Chimistes appellent ainsi toutes les substances qui contiennent un principe particulier qu'ils appellent aromatique, odorant, esprit recteur, &c. Voyez Odorant principe.

C'est principalement dans le regne végétal qu'on trouve ces substances odorantes. Il n'y a aucune partie des végétaux qui soit exclue de l'ordre des substances aromatiques. On trouve des fleurs, des calices, des feuilles, des écorces, des bois, des racines, &c. qui sont chargés de parfums : ce principe est quelquefois répandu dans toutes les parties d'une plante, par exemple, dans l'oranger ; quelquefois il est propre à une partie seulement, comme aux fleurs dans le rosier, à la racine dans l'iris, &c. Le petit nombre de substances animales aromatiques que nous connoissons, sont des humeurs particulieres déposées dans des reservoirs particuliers ; tels sont le musc, la civette, le castor, &c. car il ne faut pas compter tous les animaux vivans parmi les substances aromatiques, quoique la plûpart ont une odeur particuliere, quelquefois même très-forte, comme le bouc. Voyez l'article Odorant principe.

On ne comprend pas non plus dans la classe des substances odorantes certaines matieres minérales qui ont une odeur propre, telles que le soufre, le cuivre, &c. Voyez encore article Odorant principe. (b)

Odorantes, pierres, (Hist. nat.) nom générique des pierres à qui la nature a fait prendre de l'odeur sans le secours de l'art ; telles sont les jolites, les pierres puantes, le lapis suillus, le lapis felinus. Voyez ces différens articles. Ces odeurs sont purement accidentelles à la pierre, elles ne tiennent point de sa combinaison, mais des matieres qui les accompagnent, telles que les bitumes, certaines plantes, les débris des animaux qui ont été ensevelis dans le sein de la terre, &c. Voyez Pierres. (?)

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Wiktionnaire


Adjectif - français

odorant

  1. Qui exhale une odeur.
    • Cette opération, qui se fait dans un appareil analogue à l'appareil distillatoire, est fondée sur la différence de volatilité de l'alcool et des huiles odorantes qui ne bouillent, en général, qu'à des températures bien supérieures à 100°. (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l'industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 147)
    • Dans certains cas la plante fait elle-même l'hydrolyse et utilise le sucre libéré. Le produit terpénique s'accumule alors et la plante devient odorante.(Pierre Boiteau, Lucile Allorge-Boiteau, Kalanchoe de Madagascar : Systématique, et phytochimie, écophysiologie, 1995, p.30)
  2. Qui répand une bonne odeur.
    • [Bois] de palixandre ou violet, arbre des Indes à bois odorant pour la marqueterie.(Pierre Claude Victoire Boiste, Dictionnaire universel de la langue française, Volume 1, 1828, p.218)
    • Ses temples hindous, ses frangipaniers aux fleurs odorantes, ses rizières en terrasse dont le système d'irrigation est classé au patrimoine mondial de l'Unesco? mais aussi ses embouteillages, ses plages bondées et ses millions de visiteurs aux épaules rougies par le soleil.(Aude Vidal, Indonésie : quand Bali dit "Non" au tourisme de masse, Asialyst, 27 juin 2017)
    • La mystique du oud tient à son origine, résine odorante secrétée en leur c?ur par des arbres se défendant contre une infection. (Pierre-Alexandre Sallier, Un eldorado nommé agar, oud, gaharu ou jinkoh, La Tribune de Genève, 28 février 2017)
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Trésor de la Langue Française informatisé


ODORANT, -ANTE, part. prés. et adj.

I. ? Part. prés. de odorer*.
II. ? Adj. [En parlant d'une pers., d'un animal, d'une plante ou d'une chose concr.] Qui exhale une odeur, bonne ou mauvaise, mais généralement bonne, agréable; qui sent bon. Anton. inodore.La femme d'Augustin était odorante et somptueuse (Adam,Enf. Aust., 1902, p.16).Permissionnaires aux pieds odorants (Sartre,Mort ds âme, 1949, p.143):
1. Sans troubler ton repos, sur ton front transparent, Libre des souples bandelettes, J'unirai l'hyacinthe aux pâles violettes, Et la rose au myrte odorant. Leconte de Lisle,Poèmes ant., 1874, p.268.
SYNT. Air odorant; brise, fumée, vapeur odorante; bois odorant; chair, cire, poudre odorante; linge odorant; jardin, tilleul odorant; forêt, terre odorante; feuilles, fleurs, herbes odorantes.
? Mal odorant. V. malodorant.Dédale de petites rues mal odorantes (Michelet,Chemins Europe, 1874, p.33).
? Odorant de.Frondaison encore odorante de l'averse de la nuit (Aymé,Travelingue, 1941, p.137).
? Par hypallage. Nuit odorante. À travers le silence odorant des bois (Toulet,J. fille verte, 1918, p.150):
2. Les noeuds ont éclaté. Les roses envolées Dans le vent, à la mer s'en sont toutes allées. (...) Ce soir, ma robe encore en est toute embaumée... Respires-en sur moi l'odorant souvenir. Desb.-Valm.,Poés. posth., 1859, p.273.
? Au fig. [En parlant d'un mode d'expression] Qui a du caractère, du relief. Et mes hôtes de me lire de belles pages [de Lamartine] harmonieuses, colorées, odorantes (Barrès,Pays Lev., t.1, 1923, p.74).Il réagit contre (...) ceux qui lui criaient de faire attention, dans leur odorant patois gras (Malègue,Augustin, t.2, 1933, p.222).
Rem. On relève chez Claudel un emploi subst. masc. au sens de «celui qui perçoit quelque chose par l'odorat» (cf. infra rem. odoreux).
REM.
Odoreux, -euse, adj.,synon.Pourpre dans le chèvrefeuille Intérieure à l'amant La rose recluse accueille Odoreuse l'odorant [le papillon] (Claudel,Poés. div., 1952, p.848).
Prononc. et Orth.: [?d? ? ? ?], fém. [-? ?:t]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. Ca 1225 «qui répand une odeur agréable» (Gautier de Coinci, Miracles de la Vierge, éd. V. F. Koenig, I Mir 11, 102); 2. 1765 «qui exhale une odeur» (Encyclop. t.11). Part. prés. adjectivé de odorer*. Fréq. abs. littér.: 563. Fréq. abs. littér.: xixes.: a) 832, b) 992; xxes.: a) 1024, b) 536.


Odorant, Ante au Scrabble


Le mot odorant, ante vaut 12 points au Scrabble.

odorant--ante

Informations sur le mot odorant--ante - 11 lettres, 5 voyelles, 6 consonnes, 7 lettres uniques.

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Mise à jour le dimanche 9 novembre 2025 à 16h29










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