Citations sur a. chÉn.

Ces changements prédits, immuables, fixés, Que d'une plume d'or Bailly nous a tracés

Salut ! vois, l'on t'apporte et la table et le pain : Sieds-toi

....Quand autrefois auprès De cette ingrate aimée, en nos festins secrets, Je portais à la hâte à ma bouche ravie La coupe demi-pleine à ses lèvres saisie, Ce nectar, de l'amour ministre insidieux, Bien loin de les éteindre, aiguillonnait mes feux

Il me faut qui m'estime, il me faut des amis à qui dans mes secrets tout accès soit permis

Là de plus beaux soleils dorent l'azur des cieux

[France] Tu ne sens point du Nord les glaçantes horreurs

Le navire éloquent, fils des bois du Pénée.... Craignant près de l'Euxin les menaces du Nord, S'arrête, et se confie au doux calme du port

Camille, où tu n'es point, moi, je n'ai pas de muse

Quel est ce vieillard blanc, aveugle et sans appui ? Serait-ce un habitant de l'empire céleste ? Ses traits sont grands et fiers....

Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine

Déraciné dans ses entrailles, L'enfer de la Bastille, à tous les vents jeté, Vole, débris infâme...

Un coup d'oeil caressant furtivement jeté

....L'indigent espère en vain du sort ; En espérant toujours il arrive à la mort

Les trois enfants.... Admiraient.... De sa bouche [d'Homère] abonder les paroles divines

Moins belle la comète aux longs crins radieux Enflamme les nuits les plus sombres

La grâce, la candeur, la naïve innocence Ont, depuis ton enfance, De tout ce qui peut plaire enrichi ta beauté

Je me fuis, je m'oublie, et mes esprits distraits Se plaisent à les suivre [les Muses], et retrouvent la paix

Les flèches dont le Scythe a rempli son carquois

Au rang de ces grands noms nous pouvons être admis ; Soyons cités comme eux au rang des vrais amis

Souffle sur ton amour, ami, si tu me crois, Ainsi que pour m'éteindre elle a soufflé sur moi [c'est une lampe qui parle]

Elle [la muse] a vu, me suivant dans mes courses rustiques, Tous les lieux illustrés par des chants bucoliques

La Provence.... Au bord des flots couvrant, délicieux trésor, L'orange et le citron de leur tunique d'or

Inventer ... Ce n'est pas sur le front d'une nymphe brillante Hérisser d'un lion la crinière sanglante

Et sur un lit oisif, consumé de langueur, D'une nuit solitaire accuser la longueur

Je voulais des grands dieux implorer la bonté, Surtout de Jupiter, dieu d'hospitalité