Citations sur corneille

Tu le disais tantôt, chacun a sa folie, Les uns l'ont importune, et la tienne est jolie

Si près de voir mon feu récompensé, ô Dieu ! l'étrange peine !

Et l'on ignore encor parmi ses ennemis L'art de reprendre un fort qu'une fois il a pris

Trois sceptres à son trône attachés par mon bras

Qui que ce soit des deux, il doit se consoler De la mort d'un tyran qui voulait l'immoler

Qui se venge à demi court lui-même à sa peine

À ce frère si cher transportez tous mes droits

Mais pourrais-je vous dire à quelle impatience Ces indignes trépas quoique mal figurés Ont porté les esprits de tous nos conjurés

Pour juste aux yeux de tous qu'en puisse être la cause, Une femme jalouse à cent mépris s'expose

Quand notre dictateur devant les rangs s'avance

La choquer hardiment [la fortune], et, sans craindre la mort, Se présenter de front à son plus rude effort

On a touché mon âme, et mon coeur s'est épris

Et vous suivrez sans moi le char de Scipion

L'épargne de mon père entièrement ouverte, Lui met à l'abandon tous les trésors du roi

Et jamais insolent ni cruel à demi

Lui rendre Nicomède avecque ma couronne

Si tu cherches un aide à traiter d'imposteur, Un roi qui t'a fermé la porte de mon coeur

Mais je vous vois, Maxime, et l'on vous faisait mort

Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur

Tu n'as frappé mes yeux d'un moment de clarté....

Notre fuite, madame, est assez difficile ; J'ai vu des gens de guerre épandus par la ville

Le bien public

Je ne m'étendrai pas davantage sur ce poëme ; tout irrégulier qu'il est, il faut qu'il ait quelque mérite, puisqu'il a surmonté l'injure des temps et qu'il paraît encore sur nos théâtres, bien qu'il y ait plus de vingt-cinq années qu'il est au monde, et qu'une si longue révolution en ait enseveli beaucoup sous la poussière qui semblaient avoir plus de droit que lui de prétendre à une si heureuse durée

Spitridate a l'entretien charmant

Et ne savez-vous pas qu'il n'est princes ni rois Qu'elle [Rome] daigne égaler à ses moindres bourgeois ?