Citation savoir d ou l on
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Une Sélection de 40 citations et proverbes sur le thème savoir d ou l on.
40 citations
Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes.
Voilà à peu près ce qu'elle disait : l'héritage, comme le milieu où nous avons grandi et le statut social, sont des cartes que l'on distribue à l'aveuglette au début du jeu. Il n'y a aucune liberté là-dedans : on se contente de prendre ce que le monde nous donne arbitrairement. Mais, poursuivait ta mère, la question est de savoir comment chacun dispose des cartes qu'il a reçues. Il y en a qui jouent formidablement avec des cartes médiocres, et d'autres qui font exactement le contraire : ils gaspillent et perdent tout, même avec des cartes exceptionnelles ! Voilà où réside notre liberté : nous sommes libres de jouer avec les cartes que l'on nous a distribuées. Et nous sommes également libres d'y jouer comme nous l'entendons, en fonction - là est l'ironie - de la chance de chacun, de sa patience, de son intelligence, son intuition et son audace : vertus qui sont également des cartes distribuées au hasard au début du jeu. Que reste-t-il donc de la liberté de choix dans ce cas ? Pas grand-chose, selon ta mère, sauf peut-être la liberté de rire de notre situation ou de la déplorer, de jouer ou de ne plus jouer, d'essayer plus ou moins de comprendre les tenants et les aboutissants ou d'y renoncer, bref - nous avons le choix entre passer notre vie sur le qui-vive ou dans l'inertie. C'est en gros ce que disait ta mère, mais avec des mots à moi. Pas les siens. Avec les siens, je n'en suis pas capable
A vivre ma vie comme je la vis, de me demander ce qu'il en adviendra est bien pour moi, en vérité, la chose du monde la plus insupportable ! Et quant à savoir ce qu'est au juste la nature de mon existence, ça, c'est une impossibilité de condition : aucun moyen d'en rien saisir... Mais quand même, si, sur ce chemin-là, il se trouve quelque côté plus clair où l'esprit aperçoive de quoi le distraire, si peu que ce puisse être... eh bien, j'ai beau ne pas savoir pourquoi, je finis par me persuader que c'est encore là la meilleure direction...
Jusqu'à douze ans — oui, douze ans sonnés ! — il venait dans le lit de sa mère, une demi-heure, avant d'aller se coucher. Elle le tenait contre elle, en chemise de nuit, chaud comme un oison ; ils causaient, quelquefois ils lisaient le même livre ; c'est ainsi qu'ils lurent ensemble le début de Quo Vadis : l'amour des Romains prit naissance sous le drap, ce qui était parfaitement adapté. Tant qu'il y eut la gouvernante anglaise, à neuf heures précises elle frappait : Alby, it's time. Mme de Bricoule maudissait la gouvernante, dans son langage peu châtié, dès qu'elle avait tourné le dos. Un jour, à douze ans, sans savoir même ce qu'il faisait, il toucha sa mère où il ne faut pas. Elle lui dit le lendemain : « Maintenant tu ne viendras plus dans mon lit. Tu es trop grand. » Il l'accueillit sans y prendre garde, comme il avait fait son geste sans y prendre garde. Mais, elle, ce petit homme chaud lui manquait durement.
C'est joli, le progrès ! Demain, quand on offrira un livre à un gamin, il le tournera dans tous les sens pour savoir où il faut mettre les piles.
Le disciple que Jésus aimait » : Jean s'était désigné à cinq reprises (ce qui était assez désobligeant pour les autres disciples). Et il avait, seul, reposé sur la poitrine de Jésus. Et, comme par hasard, il était le plus jeune des Douze : une vraie jeune fille, à en croire les peintres. Et la mystérieuse palpitation de son Evangile... Dans la vie souffrante de Jésus, l'abbé de Pradts n'était touché que par cela : l'Evangile était pour lui une fable séduisante, analogue à la Théogonie, à l'Iliade, à l'Odyssée, aux Mille et Une Nuits. Et il y avait deux mille ans que les chrétiens lisaient cet épisode de Jean, sans que leur attention en fût éveillée. Quant à Alban, le personnage de la Passion pour qui il avait un faible était Ponce Pilate, Romain égaré parmi des Orientaux auxquels il n'entendait rien, et qui cependant s'efforçait avec obstination de sauver l'un d'eux qu'il pressentait être un pur. Un moment venait enfin où il cessait d'être courageux, moitié sur le conseil de sa femme (détail savoureux), moitié parce que « j'en ai par-dessus la tête de ces histoires de roi ou pas roi des Juifs. Qui est le roi des Juifs : est-ce moi qui peux le savoir ? J'en ai fait suffisamment ; qu'ils se débrouillent entre eux ; ah ! pour me punir de quoi (mais je crois deviner : je n'ai pas rampé assez dans l'affaire Servilius) m'a-t-on envoyé dans ce bled ? » Ponce Pilate n'était pas un héros, mais il était de ceux que les anges avaient nommés « les hommes de bonne volonté » . Pour Alban, ce Quirite juste et dédaigneux était vraiment un ami.
Et quant à savoir ce qu'est au juste la nature de mon existence, ça, c'est une impossibilité de condition : aucun moyen d'en rien saisir... Mais quand même, si, sur ce chemin-là, il se trouve quelque côté plus clair où l'esprit aperçoive de quoi le distraire, si peu que ce puisse être... eh bien, j'ai beau ne pas savoir pourquoi, je finis par me persuader que c'est encore là la meilleure direction...
Dans la jeunesse évitons la fougue des passions, dans l'âge mûr les spéculations malsaines d'argent ou d'ambition, et dans la vieillesse enfin essayons de nous faire pardonner nos infirmités par beaucoup de bienveillance, de douce gaîté et d'abnégation. Quand on ne peut plus vivre pour soi, il faut savoir vivre pour les autres.
C'est difficile à comprendre quand on est petit, mais écoute bien. Quelqu'un que l'on aime, que l'on aime vraiment, il faut parfois oser le laisser partir loin. Ou savoir l'attendre longtemps. C'est une vraie preuve d'amour, la seule, peut être.
Je vais te dire un grand secret, il est plus facile de mourir que de vivre, c'est pourquoi je vivrai pour toi, mon amour, car tous les vrais amoureux citent Aragon sans le savoir, ou en le sachant.
Il y a une joie élémentaire de l'univers, que l'on assombrit chaque fois que l'on prétend être quelqu'un, ou savoir quelque chose.
J’aime mon métier, tout simplement. S’il fallait que je le fasse seulement quand je m’écris des rôles, je ne bosserais pas beaucoup. Alors je travaille. J’ai le luxe financier depuis au moins Cuisine et Dépendances (1993) de pouvoir être exigeant dans mes choix. Je lis un scénar. Il me plaît, il me fait rire, il m’intéresse ; j’y vais. Je ne cherche pas à savoir si ça change ou pas, si je me «mets en danger» ou quoi que ce soit…
L'ignorance d'un homme n'est pas seulement utile, mais belle aussi, tandis que son prétendu savoir se révèle souvent pire qu'utile en sus d'être laid. A quel homme vaut-il mieux avoir affaire, à celui qui ne sait rien sur un sujet et, ce qui est extrêmement rare, sait qu'il ne sait rien, ou bien celui qui sait vraiment quelque chose dans ce domaine, mais croit tout savoir ?
Je voudrais bien savoir, se dit-il, ce qui se passe réellement dans un livre, tant qu'il est fermé. Il n'y a là, bien sûr, que des lettres imprimées sur du papier, et pourtant — il doit bien se passer quelque chose puisque, quand je l'ouvre, une histoire entière est là d'un seul coup. Il y a des personnages que je ne connais pas encore, et il y a toutes les aventures, tous les exploits et tous les combats possibles — parfois surviennent des tempêtes, ou bien on se retrouve dans des villes et des pays étrangers. Tout cela est d'une façon ou d'une autre à l'intérieur du livre. Il faut le lire pour le faire vivre, c'est évident. Mais c'est déjà dans le livre, à l'avance. Je voudrais bien savoir comment.
Oui, si je ne tente rien, ça ne m’intéresse pas. Ça perd son sens, si l’on se répète ou utilise des techniques qu’on maîtrise déjà. Toujours écrire à la pointe de qu’on ne sait pas encore écrire. J’adore cette phrase de Duras qui dit : « On écrit pour savoir quel livre on écrirait si l’on écrivait ». Et elle ajoute : « On ne le sait jamais avant ». On peut toujours annoncer, comme ici, « je vais faire ceci, cela », ça ne reste que des lignes et des espoirs. Le vrai livre se fait toujours dans le dos de l’écrivain, avec beaucoup de patience, de travail, de rage et de chair.
Pour savoir où on en est avec quelqu'un, il suffit d'écouter de la musique ensemble. Le moindre désaccord nerveux vient faire tâche dans les intervalles, mais si le son passe sans rencontrer personne, c'est le signe que tout va bien.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il faut avoir commis bien des crimes, plus ou moins intérieurs, et porter un passé lourd et varié, plein d'accidents moraux et autres, pour savoir, pour oser, réussir enfin quelque jour un acte bon, faire un peu de bien - sans erreur.
Pour réduire cette question à l'énoncé le plus simple, il s'agit de savoir si la force d'un corps qui a une certaine vitesse devient double ou quadruple, quand sa vitesse devient double.
La saveur des pensées détachées dépend d'une expression concise: ce sont des grains de sucre ou de sel qu'il faut savoir fondre dans une goutte d'eau.
Nelson Mandela a été un symbole très important. Je suis de cette génération qui a grandi sans savoir à quoi il ressemblait. En 1986, j'avais écrit pour Mandela une chanson, « Asimbonanga », qui signifie en zoulou « nous ne l'avons pas vu ». A l'époque, nous savions qu'il était emprisonné sur Robben Island, mais comme nous n'étions pas autorisés à avoir un portrait de lui, c'était pour nous un symbole sans visage, une étoile qui brillait dans notre ciel.
Ecoles: établissements où l'on apprend à des enfants ce qu'il leur est indispensable de savoir pour devenir des professeurs.
Ça a commencé comme ça, voilà ce qu'il faut montrer : le début de l'amour, comment c'est, la peur que c'est. Il faut le montrer parce qu'ensuite on l'oublie, il y a une ellipse, un blanc pareil au trou de mémoire creusé dans le début de la vie : on passe tout de suite aux photos de famille et aux goûters d'anniversaire, maman et ses bras, et l'ours en peluche. On oublie la naissance, on oublie qu'on a eu froid, qu'on a eu mal, qu'on a eu peur, on ne veut pas le savoir.
Maintenant, pour revenir au sérieux, je présente ce livre au public avec la ferme conviction que tôt ou tard il rencontrera ceux pour qui seuls il est fait ; au surplus, je me repose tranquillement sur cette pensée, qu'il aura lui aussi la destinée réservée à toute vérité, à quelque ordre de savoir qu'elle se rapporte, et fût-ce au plus important : pour elle un triomphe d'un instant sépare seul le long espace de temps où elle fut taxée de paradoxe, de celui où elle sera rabaissée au rang des banalités. Quant à l'inventeur, le plus souvent il ne voit de ces trois époques que la première ; mais qu'importe ? si l'existence humaine est courte, la vérité a les bras longs et la vie dure : disons donc la vérité.
Le Parti finirait par annoncer que deux et deux font cinq et il faudrait le croire. Il était inéluctable que, tôt ou tard, il fasse cette déclaration. La logique de sa position l'exigeait. Ce n'était pas seulement la validité de l'expérience, mais l'existence d'une réalité extérieure qui était tacitement niée par sa philosophie. L'hérésie des hérésies était le sens commun. Et le terrible n'était pas que le Parti tuait ceux qui pensaient autrement, mais qu'il se pourrait qu'il eût raison. Après tout, comment pouvons-nous savoir que deux et deux font quatre ? Ou que la gravitation exerce une force ? Ou que le passé est immuable ? Si le passé et le monde extérieur n'existent que dans l'esprit et si l'esprit est susceptible de recevoir des directives. Alors quoi ? (…) La liberté, c'est la liberté de dire que deux et deux font quatre. Lorsque cela est accordé, le reste suit.
Jacques Chirac, 19 juin 1991, Orléans, dans Le Monde, paru 21 juin 1991 : discours tenu par Jacques Chirac alors président du Rassemblement pour la République (RPR, droite) et maire de Paris au cours d'un dîner-débat du RPR, de Jacques Chirac
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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La Femme des sables (1962) de Kobo Abe
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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L'Almanach (2015) de Coluche
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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La Femme des sables (1962) de Kobo Abe
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Dictionnaire raisonné de philosophie morale (1883) de Hippolyte Roux-Ferrand
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Maman a tort de Michel Bussi
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Biographie de la faim (2004) de Amélie Nothomb
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Le huitième jour de la semaine de Christian Bobin
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Interview Trois Couleurs, Propos recueillis par Renan Cros, Octobre 2017 de Jean-Pierre Bacri
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De la marche (1862) de Henry David Thoreau
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L'Histoire sans fin (1979) de Michael Ende
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Interview d’Alain Damasio
par François Muratet, Mars 2007 de Alain Raymond, dit Alain Damasio
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Passion fixe (2000) de Philippe Sollers
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Rhumbs, Arrière-pensée de Paul Valéry
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Eloges, Bernoulli de Jean le Rond d'Alembert
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Bluettes et boutades (1846) de Jean Antoine Petit, dit John Petit-Senn
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Interview de Johnny Clegg au « Nouvel Observateur », avril 2013. de Johnny Clegg
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Toutes réflexions faites de Sacha Guitry
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Ni toi ni moi (2006) de Camille Laurens
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Préface de la première édition de Le Monde comme volonté et comme représentation de Arthur Schopenhauer
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1984 (1949) de George Orwell
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