Citation sous mes yeux
Découvrez une citation sous mes yeux - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase sous mes yeux issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 50 citations et proverbes sur le thème sous mes yeux.
50 citations
Nous sommes tellement occupés de nous et de nos semblables, que nous ne faisons pas la moindre attention à tout le reste, quoique sous nos yeux, et autour de nous.
Tu grandiras autrement, dans l'amour que je te porterai toujours. Tu grandiras ailleurs, dans les murmures du monde, dans la Méditerranée, dans le jardin de Sasha, dans le vol d'un oiseau, au lever du jour, à la tombée de la nuit, à travers une jeune fille que je croiserai par hasard, dans le feuillage d'un arbre, dans la prière d'une femme, dans les larmes d'un homme, dans la lumière d'une bougie, tu renaîtras plus tard, un jour, sous la forme d'une fleur ou d'un petit garçon, chez une autre maman, tu seras partout là où mes yeux se poseront. Là où mon coeur demeurera, le tien continuera de battre.
Ils dansèrent de plus belles quand la mairie ouvrit de gros registres pour recenser les nèg-de-terre et leur offrir l'état civil. Après un siècle de queue, mon Esternome et sa Ninon stationnèrent deux secondes devant un secrétaire de mairie à trois yeux. D'un trait d'encre, ce dernier les éjecta de leur vie de savane pour une existence officielle sous les patronymes de Ninon Cléopâtre et d'Esternome Laborieux.
Pour te défendre n'attends pas d'être accablé sous les traits de ton adversaire, ni d'avoir les yeux éblouis par ses armes.
N'allons point plus avant. Demeurons, chère Oenone.
Je ne me soutiens plus: ma force m'abandonne.
Mes yeux sont éblouis du jour que je revoi,
Et mes genoux tremblants se dérobent sous moi.
Hélas!Ma main serrait malgré elle l’épaule de Vanessa ; elle s’éveillait toute lourde ; sur son visage renversé je voyais flotter au-dessous de moi ses yeux d’un gris plus pâle, comme tapis au fond d’une curiosité sombre et endormie – ces yeux m’engluaient, me halaient comme un plonger vers leurs reflets visqueux d’eaux profondes ; mes bras se dépliaient, se nouaient à moi en tâtonnant dans le noir ; je sombrais avec elle dans l’eau plombée d’un étang triste, une pierre au cou.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Je ne me soutiens plus; ma force m'abandonne. - Mes yeux sont éblouis du jour que je revoi, - Et mes genoux tremblants se dérobent sous moi.
l m'arrive de penser que la confrontation avec le passé nazi n'était pas la cause, mais seulement l'expression du conflit de générations qu'on sentait être le moteur du mouvement étudiant. Les aspirations des parents, dont chaque génération doit se délivrer, se trouvaient tout simplement liquidées par le fait que ces parents, sous le Troisième Reich ou au plus tard au lendemain de son effondrement, n'avaient pas été à la hauteur. Comment voulait-on qu'ils aient quelque chose à dire à leurs enfants, ces gens qui avaient commis les crimes nazis, ou les avaient regardé commettre ou avaient détourné les yeux ?
Elle était contre moi, muette, bandée, comme une pesée lourde et nocturne, ses seins durs et nus sous la blouse tendus par la fraîcheur comme une voile étarquée. Mes yeux glissèrent vers la naissance de ces seins que soulevait un souffle sans loi, un nuage les brouilla ; je baissai le front sans mot dire, la bouche sèche, et il me sembla que mes paumes se mouillaient.
Dans les livres d'images qui ont amusé mes premières années, on voyait passer le père Fouettard, avec son paquet de verges sous le bras; mais ce n'était à mes yeux qu'une métaphore.
Et je suis si contente de voir tout mon petit fourbi là, sous mes yeux, bien en ordre.
Les limites de son rôle dérivent de la nature de ses vertus. Et ces vertus, c’est encore aux lectures d’enfance que je vais aller demander en quoi elles consistent. Ce livre que vous m’avez vu tout à l’heure lire au coin du feu dans la salle à manger, dans ma chambre au fond du fauteuil revêtu d’un appuie-tête au crochet, et pendant les belles heures de l’après-midi, sous les noisetiers et les aubépines du parc, où tous les souffles des champs infinis venaient de si loin jouer silencieusement auprès de moi, tendant sans mot dire à mes narines distraites l’odeur des trèfles et des sainfoins sur lesquels mes yeux fatigués se levaient parfois, ce livre, comme vos yeux en se penchant vers lui ne pourraient déchiffrer son titre à vingt ans de distance, ma mémoire, dont la vue est plus appropriée à ce genre de perceptions, va vous dire quel il était « le Capitaine Fracasse », de Théophile Gautier. J’en aimais par-dessus tout deux ou trois phrases qui m’apparaissaient comme les plus originales et les plus belles de l’ouvrage.
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l’ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
Premier pays de l'Histoire contemporaine à avoir aboli les armes à la main l'esclavage sur son sol, le tout jeune État avait décidé lors, pour en finir une bonne fois avec la notion ridicule de race, que les êtres humains étaient tous des nègres, foutre ! Article gravé à la baïonnette au numéro 14 de la Constitution. Aussi existe-t-il dans le vocabulaire des natifs de l'île des nègres noirs, des nègres blancs, des nègres bleus, des nègres cannelle, des nègres rouges, sous la peau ou tout court, des nègres jaunes, des nègres chinois aux yeux déchirés... Dans la foulée, ces nègres polychromes avaient décrété que tout individu persécuté à cause de son ethnie ou de sa foi peut trouver refuge sur le territoire sacré de la nation.
Je ne pouvais plus voir un sourire ou entendre un rire, dehors, dans les rues, au parc, au café, partout, les rires transperçaient mes tympans et restaient bloqués dans mes oreilles, ils résonnaient à l'intérieur de mon crâne pour le reste de la journée, bloqués dans mon crâne, dans mes yeux, sous mes lèvres - comme si les rires existaient contre moi
Nous sommes de petits vers, Zorba, de tout, tout petit vers sur la petite feuille d'un arbre gigantesque. Cette petite feuille est notre Terre. Les autres feuilles sont les étoiles que tu vois se mouvoir dans la nuit. Nous cheminons sur notre petite feuille en l'examinant anxieusement. Nous la humons, elle sent bon ou mauvais. Nous la goûtons, elle est comestible. Nous tapons dessus, elle résonne et crie comme un être vivant. Quelques hommes, les plus intrépides, arrivent jusqu'au bout de la feuille. De là, nous nous penchons, les yeux grands ouverts, les oreilles tendues, vers le vide. Nous frémissons. Nous devinons au-dessous de nous l'effrayant précipice, nous entendons de loin en loin le bruissement des autres feuilles de l'arbre gigantesque, nous sentons la sève monter des racines de l'arbre et notre coeur se gonfler. Ainsi penchés sur l'abîme, de tout notre corps, de toute notre âme, nous frissonnons de terreur
Bon Dieu, vous ne voyez donc pas ce qu’est en train de devenir le monde ? Le monde que nous fabriquons ? Mais ouvre les yeux ! Tu ne vois donc pas ce qu’ils nous préparent avec leurs fermes de calcul, leurs algorithmes et leurs applications ? Un monde où tout un chacun est sous le regard des autres tout le temps, jugé pour le moindre de ses faits et gestes par une armée de petits censeurs, de petits procureurs et de petits dictateurs planqués derrière leurs ordinateurs !
Quand nous avons de grands trésors sous les yeux, nous ne nous en apercevons jamais. Et sais-tu pourquoi? Parce que les hommes ne croient pas aux trésors.
J'ai pensé à leur rencontre. J'ai frotté mes parents comme du cuivre ancien pour en effacer le noir. Redressé leur têtes, aminci leurs corps, rallumé leurs yeux. Ils avaient dû s'aimer l'espace d'un instant, quand ils avaient tournoyé sous les lampions du 14 juillet, à moins qu'ils ne soient restés fixes pendant que le reste se mettait à tourner. Ton père était beau, avait dit ma mère, et il était doux, et il dansait comme un dieu. J'ai pensé à leur rencontre mille fois, le plus souvent la nuit, quand j'avais l'impression d'étouffer. Il fallait qu'ils se soient aimés, sinon quelle raison j'avais d'exister, moi, de respirer, de prendre la place d'un autre ? Mais alors, il était parti où, cet amour ? Je l'ai cherché sous mon lit, dans les murs froids, dans la forêt, dans les yeux de ma mère puis dans ceux d'autres femmes, et j'ai fini par comprendre qu'il s'était changé en pierre. Elle avait dû rouler quelque part, passer par le trou d'une poche, et peut-être même qu'ils l'avaient un peu cherchée, mais va-t'en retrouver une pierre dans la caillasse du monde.
Jeune fille, dans mon métier, on n'a pas les yeux dans sa poche. Je reconnais la bonne pierre sous les genévriers et le bon bois comme un maître-pivert: Tout de même les hommes et les femmes.
Sur la plage, les yeux fermés, sous la caresse du soleil, comme on se rappelle bien. Comme on se glisse magiquement dans le souvenir. Dans ce bonheur.
Quand mes filles eurent atteint l'âge de douze ans, je les initiai aux mystérieux pouvoirs. Non pas tant, mystérieux, parce qu'elles en ignoraient l'existence, que je les leur avais dissimulés (avec elles, je ne me cachais de rien puisque nous étions de même sexe), mais plutôt que, ayant grandi dans la connaissance vague et indifférente de cette réalité, elles ne comprenaient pas plus la nécessité de s'en soucier ni d'avoir, tout d'un coup, à la maîtriser d'une quelconque façon, qu'elles ne voyaient l'intérêt pour elles d'apprendre à confectionner les plats que je leur servais et qui relevaient d'un domaine tout aussi lointain et peu palpitant. Elles ne songèrent pourtant pas à se rebeller contre cet ennuyeux enseignement. Elles ne tentèrent même pas, certains après-midi ensoleillés, d'y couper sous quelque prétexte. Je me plaisais à croire que, cette docilité chez mes filles peu dociles, mes jumelles fulminantes et impulsives, je la devais à la conscience qu'elles avaient peut-être, malgré tout, là, d'une obligation sacrée.
En outre, le facteur décisif qui me permit de m'épanouir dans cet institut fut que l'étude et la lecture n'étaient pas pour moi un pensum. Au contraire, enfermé comme je l'avais été jusqu'ici dans la Bible et les homélies galloises, il me semblait qu'à chaque page tournée s'ouvrait sous mes yeux une nouvelle porte. Je lisais tout....
Nous sommes mieux que des personnages de fiction. Car sous tes yeux, nous allons prendre vie. Oui, c'est déjà trop tard : grâce à toi, lecteur, nous existons !

Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues
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Julien Gracq
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