Citation sous mes yeux
Découvrez une citation sous mes yeux - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase sous mes yeux issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 50 citations et proverbes sur le thème sous mes yeux.
50 citations
Enlacé dans tes bras, quand tu me dis: Je t'aime;
Quand mes yeux enivrés se soulèvent vers toi,
Nul mortel sous les cieux n'est plus heureux que moi!J'ai peur de perdre tous mes souvenirs. Je me fiche d'oublier ce que j'ai mangé une heure avant, mais j'ai peur d'oublier la joie intense que j'ai ressentie à la naissance de chacun de mes enfants, j'ai peur d'oublier combien j'ai aimé les câliner, les rassurer, les voir sourire... j'ai peur d'oublier les visages heureux de mes petits-enfants quand ils jouaient sous le cerisier de mon jardin, j'ai peur d'oublier la tendresse dans les yeux de mes parents. Je vais m'accrocher à ces souvenirs-là de toutes mes forces, en espérant que la maladie prendra d'abord les autres, puisque je n'ai d'autre choix que de les lui donner.
Nous sommes de petits vers, Zorba, de tout, tout petit vers sur la petite feuille d'un arbre gigantesque. Cette petite feuille est notre Terre. Les autres feuilles sont les étoiles que tu vois se mouvoir dans la nuit. Nous cheminons sur notre petite feuille en l'examinant anxieusement. Nous la humons, elle sent bon ou mauvais. Nous la goûtons, elle est comestible. Nous tapons dessus, elle résonne et crie comme un être vivant. Quelques hommes, les plus intrépides, arrivent jusqu'au bout de la feuille. De là, nous nous penchons, les yeux grands ouverts, les oreilles tendues, vers le vide. Nous frémissons. Nous devinons au-dessous de nous l'effrayant précipice, nous entendons de loin en loin le bruissement des autres feuilles de l'arbre gigantesque, nous sentons la sève monter des racines de l'arbre et notre coeur se gonfler. Ainsi penchés sur l'abîme, de tout notre corps, de toute notre âme, nous frissonnons de terreur
J'ai pensé à leur rencontre. J'ai frotté mes parents comme du cuivre ancien pour en effacer le noir. Redressé leur têtes, aminci leurs corps, rallumé leurs yeux. Ils avaient dû s'aimer l'espace d'un instant, quand ils avaient tournoyé sous les lampions du 14 juillet, à moins qu'ils ne soient restés fixes pendant que le reste se mettait à tourner. Ton père était beau, avait dit ma mère, et il était doux, et il dansait comme un dieu. J'ai pensé à leur rencontre mille fois, le plus souvent la nuit, quand j'avais l'impression d'étouffer. Il fallait qu'ils se soient aimés, sinon quelle raison j'avais d'exister, moi, de respirer, de prendre la place d'un autre ? Mais alors, il était parti où, cet amour ? Je l'ai cherché sous mon lit, dans les murs froids, dans la forêt, dans les yeux de ma mère puis dans ceux d'autres femmes, et j'ai fini par comprendre qu'il s'était changé en pierre. Elle avait dû rouler quelque part, passer par le trou d'une poche, et peut-être même qu'ils l'avaient un peu cherchée, mais va-t'en retrouver une pierre dans la caillasse du monde.
Sur la plage, les yeux fermés, sous la caresse du soleil, comme on se rappelle bien. Comme on se glisse magiquement dans le souvenir. Dans ce bonheur.
Quand nous avons de grands trésors sous les yeux nous ne nous en apercevons jamais. Pourquoi cela? Parce que les hommes ne croient pas aux trésors.
Dans les livres d'images qui ont amusé mes premières années, on voyait passer le père Fouettard, avec son paquet de verges sous le bras; mais ce n'était à mes yeux qu'une métaphore.
Jeune fille, dans mon métier, on n'a pas les yeux dans sa poche. Je reconnais la bonne pierre sous les genévriers et le bon bois comme un maître-pivert: Tout de même les hommes et les femmes.
Je ne me soutiens plus; ma force m'abandonne. - Mes yeux sont éblouis du jour que je revoi, - Et mes genoux tremblants se dérobent sous moi.
Les grands majordomes sont grands parce qu’ils ont la capacité d’habiter leur rôle professionnel, et de l’habiter autant que faire se peut ; ils ne se laissent pas ébranler par les événements extérieurs, fussent-ils surprenants, alarmants ou offensants. Ils portent leur professionnalisme comme un homme bien élevé porte son costume : il ne laissera ni des malfaiteurs ni les circonstances le lui arracher sous les yeux du public ; il s’en défera au moment où il désirera le faire, et uniquement à ce moment, c’est-à-dire, invariablement, lorsqu’il se trouvera entièrement seul. C’est, je l’ai déjà dit, une question de « dignité »
Il m'éblouit, il goûte le bonheur des dieux cet homme qui devant toi prend place et près de toi écoute, captivé, la douceur de ta voix.
Ah ! ce désir d'aimer qui passe dans ton rire. Et c'est bien pour cela qu'un spasme étreint mon cœur dans ma poitrine. Car si je te regarde, même un instant, je ne puis plus parler.
Mais d'abord ma langue est brisée, un feu subtil soudain a couru en frisson sous ma peau, mes yeux ne me laissent plus voir, un sifflement tournoie dans mes oreilles.
Une sueur glacée couvre mon corps, et je tremble, tout entière possédée, et je suis plus verte que l'herbe. Me voici presque morte, je crois.
Mais il faut tout risquer... puisque...C’est une chose d’une grande conséquence que d’habiller les pingouins. À présent, quand un pingouin désire une pingouine, il sait précisément ce qu’il désire, et ses convoitises sont bornées par une connaissance exacte de l’objet convoité. En ce moment, sur la plage, deux ou trois couples de pingouins font l’amour au soleil. Voyez avec quelle simplicité ! Personne n’y prend garde et ceux qui le font n’en semblent pas eux-mêmes excessivement occupés. Mais quand les pingouines seront voilées, le pingouin ne se rendra pas un compte aussi juste de ce qui l’attire vers elles. Ses désirs indéterminés se répandront en toutes sortes de rêves et d’illusions ; enfin, mon père, il connaîtra l’amour et ses folles douleurs. Et, pendant ce temps, les pingouines, baissant les yeux et pinçant les lèvres, vous prendront des airs de garder sous leurs voiles un trésor !… Quelle pitié !
Je la saisis, je la tins quelques secondes ainsi collée contre ma poitrine, la tête renversée, les yeux clos, les lèvres froides, à demi morte et pâmée, la chère créature, sous mes baisers.
On sait que l’embryon humain passe dans le sein de la mère par toutes les phases de l’évolution du règne animal. L’homme, à sa naissance, reçoit du monde extérieur les mêmes impressions qu’un petit chien. Son enfance résume les étapes de l’histoire humaine : à deux ans, il a les sens et l’intelligence d’un Papou ; à quatre ans, d’un ancien Germain. À six ans, il voit le monde par les yeux de Socrate, à huit ans par ceux de Voltaire. C’est à huit ans qu’il prend conscience du violet, la couleur que le XVIIIè siècle a découverte. Car avant cette date les violettes étaient bleues et la pourpre rouge. Et nos physiciens montrent aujourd’hui dans le spectre solaire des couleurs qui ont déjà un nom, mais dont la connaissance est réservée aux générations à venir. Le petit enfant et le Papou tue ses ennemis et les mange : il n’est pas un criminel. Mais un homme moderne qui tue son voisin et le mange ne peut être qu’un criminel ou un dégénéré. Le Papou tatoue sa peau, sa pirogue, sa pagaie, tout ce qui lui tombe sous la main. Il n’est pas un criminel.
Ils dansèrent de plus belles quand la mairie ouvrit de gros registres pour recenser les nèg-de-terre et leur offrir l'état civil. Après un siècle de queue, mon Esternome et sa Ninon stationnèrent deux secondes devant un secrétaire de mairie à trois yeux. D'un trait d'encre, ce dernier les éjecta de leur vie de savane pour une existence officielle sous les patronymes de Ninon Cléopâtre et d'Esternome Laborieux.
Tu grandiras autrement, dans l'amour que je te porterai toujours. Tu grandiras ailleurs, dans les murmures du monde, dans la Méditerranée, dans le jardin de Sasha, dans le vol d'un oiseau, au lever du jour, à la tombée de la nuit, à travers une jeune fille que je croiserai par hasard, dans le feuillage d'un arbre, dans la prière d'une femme, dans les larmes d'un homme, dans la lumière d'une bougie, tu renaîtras plus tard, un jour, sous la forme d'une fleur ou d'un petit garçon, chez une autre maman, tu seras partout là où mes yeux se poseront. Là où mon coeur demeurera, le tien continuera de battre.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Nous sommes tellement occupés de nous et de nos semblables, que nous ne faisons pas la moindre attention à tout le reste, quoique sous nos yeux, et autour de nous.
Je ne pouvais plus voir un sourire ou entendre un rire, dehors, dans les rues, au parc, au café, partout, les rires transperçaient mes tympans et restaient bloqués dans mes oreilles, ils résonnaient à l'intérieur de mon crâne pour le reste de la journée, bloqués dans mon crâne, dans mes yeux, sous mes lèvres - comme si les rires existaient contre moi
Bon Dieu, vous ne voyez donc pas ce qu’est en train de devenir le monde ? Le monde que nous fabriquons ? Mais ouvre les yeux ! Tu ne vois donc pas ce qu’ils nous préparent avec leurs fermes de calcul, leurs algorithmes et leurs applications ? Un monde où tout un chacun est sous le regard des autres tout le temps, jugé pour le moindre de ses faits et gestes par une armée de petits censeurs, de petits procureurs et de petits dictateurs planqués derrière leurs ordinateurs !
En outre, le facteur décisif qui me permit de m'épanouir dans cet institut fut que l'étude et la lecture n'étaient pas pour moi un pensum. Au contraire, enfermé comme je l'avais été jusqu'ici dans la Bible et les homélies galloises, il me semblait qu'à chaque page tournée s'ouvrait sous mes yeux une nouvelle porte. Je lisais tout....
Il reste à parler d'un état de l'âme qui, ce nous semble, n'a pas encore été bien observé : c'est celui qui précède le développement des passions, lorsque nos facultés, jeunes, actives, entières, mais renfermées, ne se sont exercées que sur elles-mêmes, sans but et sans objet. Plus les peuples avancent en civilisation, plus cet état du vague des passions augmente ; car il arrive alors une chose fort triste : le grand nombre d'exemples qu'on a sous les yeux, la multitude de livres qui traitent de l'homme et de ses sentiments rendent habile sans expérience. On est détrompé sans avoir joui ; il reste encore des désirs, et l'on n'a plus d'illusions. L'imagination est riche, abondante et merveilleuse ; l'existence pauvre, sèche et désenchantée. On habite avec un coeur plein un monde vide, et sans avoir usé de rien on est désabusé de tout.
Là, tout en me promenant, je faisais ma prière qui ne consistait pas en un vain balbutiement de lèvres, mais dans une sincère élévation de coeur à l'auteur de cette aimable nature dont les beautés étaient sous mes yeux.
J'ai entendu cette expression un jour : un être qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle. Je la vois brûler et se consumer sous mes yeux.
- Montre-moi ton permis de séjour. Comme sous l'effet de la frayeur, la femme laissa tomber la serviette, levant les mains pour se couvrir les yeux. Longues jambes, taille étroite, ventre plat, seins hauts et fermes, une vraie femme comme celles qui se voyaient dans les publicités à la télévision. Au bout d'un instant, devant l'attente immobile de Fatma, Montalbano se rendit compte qu'il ne s'agissait pas de peur, mais d'une tentative pour trouver le plus évident et le plus pratique des arrangements entre un homme et une femme.
Méditations poétiques (1820), à Elvire de Alphonse de Lamartine
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Tu comprendras quand tu seras plus grande (2017) de Virginie Grimaldi
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Alexis Zorba (1946) de Níkos Kazantzákis
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Cent millions d'années et un jour (2019) de Jean-Baptiste Andrea
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Plage (2011) de Marie Sizun
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L'Alchimiste (1988) de Paulo Coelho
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Propos, 28 octobre 1921, Fausses perspectives du progrès de Emile-Auguste Chartier, dit Alain
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L'Annonce faite à Marie (1912) de Paul Claudel
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Phèdre (1677), I, 3, Phèdre de Jean Racine
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Les vestiges du jour (2002) de Kazuo Ishiguro
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Odes et fragments, Sappho (trad. Yves Battistini), éd. Gallimard, coll. « Poésie », 2005 de Sapho
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L'Ile des Pingouins (1908) de Anatole France
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Dominique (1862) de Eugène Fromentin
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Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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Texaco (1992) de Patrick Chamoiseau
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Changer l'eau des fleurs (2019) de Valérie Perrin
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Réflexions et Maximes (1746) de Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues
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Histoire de la violence de Édouard Louis
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M, le bord de l'abîme (2019) de Bernard Minier
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Austerlitz (2001) de W. G. Sebald
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Atala, ou Les Amours de deux sauvages dans le désert (1801) de François-René de Chateaubriand
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Les Confessions (édition posthume 1782-1789) de Jean-Jacques Rousseau
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Le ciel est partout (2010) de Jandy Nelson
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La forme de l'eau (1994) de Andrea Camilleri
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