Citation Il n y a pas de
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Une Sélection de 2180 citations et proverbes sur le thème Il n y a pas de.
2180 citations
Il n'y a pas de péché sinon la stupidité.
Il y a des gens d'une certaine étoffe ou d'un certain caractère avec qui il ne faut jamais se commettre, de qui l'on ne doit se plaindre que le moins qu'il est possible, contre qui il n'est pas même permis d'avoir raison.
Le préjugé de confirmation, c'est la tendance à ne repérer autour de soi que des arguments en faveur de ses idées préconçues et à ne pas voir ce qui pourrait les remettre en cause. J'ai l'impression qu'il y a de ça dans le regard qu'on porte sur ses enfants.
J'ai dû tout apprendre par moi-même, ce qui prend plus de temps que guidé par des maîtres. J'ai avalé livres, dictionnaires, encyclopédies avec une immense soif de connaissances. Et je ne passe pas un soir sans lire et apprendre quelque chose. Je le ferai jusqu'au bout. Il n'y a pas de malédiction à être ignare.
Solitaires, nous ne sommes même pas le lien entre la vie et la mort. Il n'y a pas de lien. Car la vie et la mort sont unies à jamais, indissociables comme l'eau mélangée au vin.
C’est une drôle d’affaire, la pensée, n’est-ce pas ? Ce n’est pas qu’il y ait long en distance du cerveau vers les lèvres mais quelquefois quand même ça peut vous paraître des kilomètres, que le trajet pour une phrase, ce serait comme traverser un territoire en guerre avec un sac de cailloux sur l’épaule, au point qu’à un moment la pensée pourtant ferme et solide et ruminée cent fois, elle préfère se retrancher comme derrière des sacs de sable.
Quelquefois, je me disais qu'il passait peut-être toute une journée sans penser une seconde à moi. Je le voyais se lever, prendre son café, parler, rire, comme si je n'existais pas. Ce décalage avec ma propre obsession me remplissait d'étonnement. Comment était-ce possible. Mais lui-même aurait été stupéfait d'apprendre qu'il ne quittait pas ma tête du matin au soir. Il n'y avait pas de raison de trouver plus juste mon attitude ou la sienne. En un sens, j'avais plus de chance que lui.
Avec de la tendresse autour de soi, on n'est pas incapable de vivre... Il n'y a que les âmes tout à fait seules qui aient besoin de mourir...
Il faut se battre pour le bonheur des autres. Ce n’est pas du tout acquis. Il faut avancer. Nous sommes en pleine régression. Nous retournons au Moyen Âge, aux guerres de Religion qui sont extrêmement dangereuses et qui font que s’est installée la méfiance, le rejet en même temps que la peur de l’autre. On vit un moment très étrange. Pourquoi vouloir s’imposer par la violence et la terreur. Il y a la parole ! On devrait parler « avec » tout le monde, échanger, proposer, tendre la main.
Un homme n'est pas plus qu'une puce. Nos joies, comme nos douleurs, doivent s'absorber dans notre œuvre. On ne reconnaît pas dans les nuages les gouttes d'eau de la rosée que le soleil y a fait monter ! Evaporez-vous, pluie terrestre, larmes des jours anciens, et formez dans les cieux de gigantesques volutes, toutes pénétrées de soleil.
Il n'y a rien, Madame, qui marque davantage qu'on a de l'esprit, que de croire n'en pas avoir, et il est de la nature de ce bien-là, que plus on en a, plus on croit en manquer.
Le jour où tu verras la vie comme elle mérite d'être vue, tu sauras alors qu'il n'y a que la naissance et la mort et, entre les deux, le temps. Ainsi, en un tournemain, connaîtras-tu la valeur des choses auxquelles, aujourd'hui, tu n'attaches guère d'importance : l'harmonie des sentiments et l'équilibre intérieur; cela ressemble à une honnête boutique du coin de la rue, avec son enseigne, une de ces boutiques que l'on tient de quelque arrière-grand-père. Roulant comme sur des rails invisibles, ce commerce confère une sorte de solidité à la vie. Qui dit solidité dit aussi immobilité, et c'est donc de ces entreprises sans espoir. Mais ces dernières sont pleines de sagesse si l'on admet que l'espoir est un sentiment fait pour les gens qui ne supportent pas le présent.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il y a ce regard échangé de loin. C'est la mère qui avance vers la fille parce que cette dernière est pétrifiée - par cette beauté, par cette vague d'émotion qui l'atteint, par le poids de ces dix dernières années, par la difficulté à être l'enfant de sa mère - et toujours le coeur qui bat, le ventre qui tourne, l'esprit qui se débat pour trouver les mots qui conviennent, mais en réalité c'est autre chose qui prend le dessus et ça ressemble à un début, à quelque chose qui s'ouvre et qui offre on ne sait pas encore quoi, on ne sait pas encore comment mais on espère que ça ressemblera à de la tendresse, et, pour l'instant, ça leur suffit.
Il disait encore: - A ceux qui ignorent, enseignez leur le plus de choses que vous pourrez; la société est coupable de ne pas donner l'instruction gratis; elle répond de la nuit qu'elle produit. Cette âme est pleine d'ombre, le péché s'y commet.
Il y a des choses qu'on n'a pas du tout envie de croire possibles. On les pousse tout au bout de son cerveau, dans un petit coin sombre où on ne les voit plus, comme on planque des trucs sous le lit dans sa chambre. Enfin, moi, c'est comme ça que je fais, et si ça marche avec les papiers de bonbons, ça peut marcher avec d'autres trucs.
En meslant et diversifiant la vie de l'homme du sentiment de bien et de mal, à fin qu'il n'y en ait pas un qui la passe entierement pure et nette de tout malheur.
Il n'y a guère moins de tourment au gouvernement d'une famille que d'un état entier ; où que l'âme soit empêchée, elle y est toute ; et, pour être les occupations domestiques moins importantes, elles n'en sont pas moins importunes.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Je vis bien que le roi n'était pas persuadé, mais je crus qu'il n'y avait qu'à en demeurer là.
L'argent, écrit Cioran, a ruiné le monde. Pendant des milliards d'années, il n'y a pas de mal dans l'univers. Le mal naît avec la pensée. Il prospère avec l'argent.
Mon Johnny à moi, c'est le Johnny de « Que je t'aime », pas celui de Dallas. On s'envoyait des petits mots avant sa mort. Il m'avait aussi dit un jour en plaisantant, alors qu'il avait déjà un grave problème aux poumons, Tu me feras ma nécro, hein ? J'ai fait sa nécro. Et à la fin, je voulais ajouter Nous nous reverrons un jour ou l'autre. Embrasse Coluche et Gainsbourg pour moi, mais ce n'est pas sorti. J'étais anéanti.
Mon grand sujet, c'est l'amour de la vie. Je mets alors l'accent sur l'individualisme, le besoin de liberté, le destin de chacun. Ensuite, il y a les autres, parce qu'il n'est pas confortable de vivre seul. Deux autres thèmes apparaissent: l'amour, qui est le contact affectif, facile ou difficile à vivre, avec les autres, et, plus largement, l'ensemble des relations humaines. D'autres thèmes surgissent aussitôt: la critique sociale, le pouvoir, la violence, l'environnement, l'avenir de l'espèce humaine. Mon œuvre est un long cheminement à travers ces thèmes, parmi des personnages et des histoires généralement très différents de livre en livre.
A vingt ans je trouve bête mon Moi je de dix ans. A trente celui de vingt. A cinquante celui d'avant. Il n'y aura pas de trêve. Où est le dernier Moi qui jugera tous les autres, et pourra les absoudre parce qu'enfin délivré d'être sempiternellement Moi?
On parle beaucoup de la violence ailleurs, de la pauvreté dans d'autres villes, mais on ne regarde pas ce qu'il y a autour de nous.
The Critic as an Artist de Oscar Wilde
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Les Caractères (1696), 28, V, De la société et de la conversation de Jean de La Bruyère
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Défendre Jacob (2012) de William Landay
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Rencontre avec la journaliste Annick Cojean, en 2009, pour Le Monde de Charles Aznavour
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Le Nécrophile (1972) de Gabrielle Wittkop
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Article 353 du code pénal (2017) de Tanguy Viel
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Passion simple (1991) de Annie Ernaux
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Au large de l'écueil (1912) de Hector Bernier
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Interview We Culte - Le Mag Culture, Juliette Gréco : « Il faut se battre pour le bonheur » par Victor Hache, 6 décembre 2015 de Juliette Gréco
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Correspondance à Louise Colet, 26 août 1853 de Gustave Flaubert
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Contes de ma Mère l'Oye (1697), Riquet à la houppe de Charles Perrault
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Vivre (1985) de Milena Jesenská
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le ciel par-dessus le toit (2019) de Nathacha Appanah
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Les Misérables (1862) de Victor Hugo
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Ma mère, le crabe et moi (2015) de Anne Percin
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Paul-Aemile, 57 de Jacques Amyot
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Essais, I, 39 de Michel de Montaigne
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Lettre au cardinal de Noailles, 25 mai 1698 de Françoise d'Aubigné, marquise de Maintenon
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Un jour je m'en irai, sans en avoir tout dit (2013) de Jean d'Ormesson
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Entretien Le Parisien - Propos recueillis par Michaël Zoltobroda le 04 juillet 2018 de Michel Drucker
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Entrevue Revue Liaison par Jean-Louis Trudel, septembre 1993 de Jean-François Somcynsky, dit Jean-François Somain
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Moi je (1969) de Claude Roy
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Contact, l'encyclopédie de la création (Emission de TV canadienne). de Carole Champagne, dite Carole Laure
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