Citation d eau dans la
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Une Sélection de 300 citations et proverbes sur le thème d eau dans la.
300 citations
Mais ce qui lui plaisait le plus dans cette île, c'était le soir, lorsque le chevrier, avec son maigre troupeau, s'avançait vers les femmes,debout devant leur maison, et trayait dans une jatte le lait qu'elles avaient demandé ; lorsque, dans la lumière doucement déclinante, montaient tous les parfums de la terre et que, se mêlant aux senteurs de varech, la fumée des feux et des cuisines flottaient dans l'air. Sur les bateaux, à l'ancre; on préparait le dîner et, sur la place déserte, le vieillard unijambiste clopinait en martelant le pavé de sa jambe de bois. Le phare s'allumait, fantôme errant dans la pénombre, tandis que les façades bariolées des maisons autour de la place pâlissaient imperceptiblement et que la mer enflait sa voix...
On était à présent dans la saison des ouragans; quand il n'y a pas d'ouragan en train, c'est le plus beau temps de l'année.
Qu'un tableau ait une histoire ne me gêne pas dans la mesure où elle commence et se termine à l'intérieur des quatres coins de la toile. Un tableau n'est terminé que quand il se suffit à lui-même. Le titre ne devrait pas être un résumé.
Citation dans "Image in Progress". de La lecture était ma liberté et mon réconfort, ma consolation, mon stimulant favori : lire pour le pur plaisir de lire, pour ce beau calme qui vous entoure quand vous entendez dans votre tête résonner les mots d'un auteur.
Rule Britania, they have melons : Ils ont des chapeaux ronds, vive la Bretagne. Devise d'anne de bretagne, aujourd'hui encore gravée dans la pierre au pied de la tour nord du château de Nantes, juste au-dessus de Fifi aime Nénette.
Quand une science ne produit pas un bien très près de sa source, on la regarde comme inutile. C'est un ruisseau qui semble se perdre dans la terre, et qu'on ne voit point produire une autre source.
C'est auprès de toi que ma vie prend sens. Je t'ai dans la peau. Je t'ai dans l'âme. Sans toi je ne suis rien. Tu es ma drogue, mon espérance et mon idéal.
Je peux encore sentir sa douceur dans mon cou, sa voix, sa chaleur, l'odeur de sa peau, tout est là. Tout est là... il suffit d'y penser. Au bout de combien de temps oublie-t-on l'odeur de celui qui vous a aimée? Et quand cesse-t-on d'aimer à son tour?
Ce jour-là, j'ai compris que les anciens, il suffit de les toucher, de leur prendre la main pour qu'ils racontent. Comme quand on creuse un trou dans le sable sec au bord de la mer, l'eau remonte systématiquement sous les doigts.
Désormais, Paol est un ennemi du Reich, un indésirable. On lui a retiré ses papiers, ses lacets, sa ceinture. Sur la paillasse, il ne cesse de recomposer les derniers instants, son cerveau ayant tout enregistré, il voit enfin la scène, y traquant en vain quelque chose, un indice : les pas dans la cour, la sonnerie, son nom prononcé derrière la porte, les sbires qui se ruent, cette narcose vénéneuse filtrant de partout, avec lui au milieu, en accéléré entre les plans ralentis, c'était son coeur qui battait fort, il est ceinturé dans la Citroën, la portière claque, il traverse le bourg, croise une section de soldats allemands en colonne, et puis deux gars au seuil d'une ferme, un copain sur son vélo au croisement, un autre plus âgé qui guette par la fenêtre en angle du café d'Ys, tout le village sera au courant, la voiture descend jusqu'à l'Aulne pour franchir le pont, le bruit du moteur coupe en deux les champs et les futaies en attaquant une nouvelle côte, il a un mal de tête atroce, sa main est insensible comme du marbre, et le ruban d'asphalte par la lunette arrière est devenu sa vie débobinée tant les virages se répètent et s'évanouissent, il n'y a pas de héros, il doit oublier le réseau, ils vont si vite, un accident serait préférable à ce qui l'attend, et après le dernier croisement le panneau fléché « BREST » lui oppresse soudain la poitrine et l'affole…
J'ai pensé à leur rencontre. J'ai frotté mes parents comme du cuivre ancien pour en effacer le noir. Redressé leur têtes, aminci leurs corps, rallumé leurs yeux. Ils avaient dû s'aimer l'espace d'un instant, quand ils avaient tournoyé sous les lampions du 14 juillet, à moins qu'ils ne soient restés fixes pendant que le reste se mettait à tourner. Ton père était beau, avait dit ma mère, et il était doux, et il dansait comme un dieu. J'ai pensé à leur rencontre mille fois, le plus souvent la nuit, quand j'avais l'impression d'étouffer. Il fallait qu'ils se soient aimés, sinon quelle raison j'avais d'exister, moi, de respirer, de prendre la place d'un autre ? Mais alors, il était parti où, cet amour ? Je l'ai cherché sous mon lit, dans les murs froids, dans la forêt, dans les yeux de ma mère puis dans ceux d'autres femmes, et j'ai fini par comprendre qu'il s'était changé en pierre. Elle avait dû rouler quelque part, passer par le trou d'une poche, et peut-être même qu'ils l'avaient un peu cherchée, mais va-t'en retrouver une pierre dans la caillasse du monde.
Lorsque Dieu créa les hommes, il les mit à cuire dans un four. Dès les premières flammes, le blanc se sauva, puis les autres le suivirent à mesure que la température montait. Seuls nous autres, bravement, pour prouver à Dieu qu'Il venait de créer des hommes, restâmes dans le four jusqu'à ce que Dieu jugeât l'épreuve suffisante. J'ai donc toujours cru que ces hommes blancs avaient un corps froid. Erreur dont il faut revenir. Ils ont le corps chaud, et d'une chaleur douce, égale, délicate. Gardons-nous de juger sur l'apparence, sur la peau.
Assurément il existe un culte du héros plus anciens et meilleurs que celui-ci. Mais l'ancien héros était un être qui, comme Achille, était plus humain que l'humanité elle-même. Le surhomme de Nietzsche est froid et sans amis. Achille est si éperdument épris du sien qu'il immole des armées dans l'agonie de son deuil. Le triste César de M. Bernard Shaw s'écrit dans son orgueil désolé : « Qui n'a jamais connu l'espoir ne peut jamais désespérer. » L'Homme-Dieu d'autrefois répond du haut de la montagne tragique : « Y eut-il jamais une douleur semblable à la mienne ? » Un grand homme n'est pas un homme si fort qu'il sente moins que les autres hommes ; c'est un homme si fort qu'il sent davantage. Et, quand Nietzsche dit : « Je vous donne un nouveau commandement : « soyez durs », il dit en réalité : « je vous donne un nouveau commandement : soyez morts. » La sensibilité est la définition de la vie.
La mer ne lâche jamais prise. La mer ne se rend jamais. L'hiver, elle est comme une peau gelée. L'automne est une attente immobile, avec les brusques clameurs des vents volubiles. L'été n'est qu'un reflet fugace dans le miroir de l'eau.
Nous étions voisins de Hambourg, que la RAF bombardait presque chaque nuit ; en outre, les avions anglais traversaient le ciel pour s'enfoncer plus loin dans le pays. Chaque fois qu'une escadrille était signalée à quatre-vingts kilomètres, la Voralarm retentissait. Toutes les lumières s'éteignaient. Il fallait alors s'habiller dans l'obscurité totale, sans quitter sa paillasse, et attendre, avec l'angoisse de ce qui allait suivre et que nous ne connaissions que trop bien. […] Généralement, après ce bref lever de rideau qui nous semblait interminable, la sirène de la Gross Alarm déchirait le silence. On se levait en grande hâte, on se ruait dans les caves. Il arrivait souvent que la gross Alarm sifflât sans avertissement. C'était le pire : car nous devions alors nous vêtir précipitamment. Les Stubendienste, dans l'obscurité profonde, frappaient en hurlant, au hasard, sur les paillasses où s'attardaient les malhabiles. Il semblait que la nuit accrût leur férocité.
A peine un engin volant s'est-il écrasé qu'un autre prend le relais, nouveau maillon de la chaîne qui peu à peu quitte la terre. Longtemps, on a eu le nez dans le paysage, on en était une part minuscule, enfouie, aveugle, on ne l'appelait même pas paysage, cette nature qu'on sentait avant de la voir – l'hostilité de la chaleur et du froid, les cultures à discipliner à la force des bras, le noir de la forêt dont on faisait les contes. Pour la changer en paysage, il a fallu prendre de la distance, celle que donnent la peinture comme la cartographie, appeler sublimes les lieux qu'on n'avait pas encore apprivoisés, les pôles, les mers, les montagnes acérées, classifier le monde et pour cela s'élever, toujours, dans des ballons, dans des avions, un jour dans des stations spatiales.
Il faut un intermédiaire plus humble entre lui si grand et elles si petites. Cet intermédiaire, c'est le marabout... C'est donc au tombeau du saint, dans la petite chapelle où il est enseveli, que nous trouverons la femme arabe en prière.
Malhabiles nous sommes à nous atteindre, les hommes, malgré la promesse entrevue dans l'eau du regard.
Le soir, une monitrice me lit, assise sur le rebord du lit, les lettres dans lesquelles ma mère décrit notre nouvel appartement, ma nouvelle chambre à coucher, ma nouvelle école, mon nouveau quartier, bref, la nouvelle disposition de notre nouvelle vie, lorsque je rejoindrai Paris. Du fin fond de la campagne où l’on m’a expédiée, au milieu des cris d’enfants redevenus sauvages en l’absence de leurs parents, tout cela me paraît bien abstrait. La monitrice a souvent l’œil humide et la voix brisée tout en me faisant à haute voix la lecture de ces courriers maternels faussement enjoués. Après ce rituel du soir, il arrive qu’on me retrouve la nuit, à cause d’une crise de somnambulisme, en train de descendre les escaliers à reculons, en direction de la porte de sortie.
Pour notre chance d'humains en bonne santé et avec quelque chose à faire, nous avons reçu en partage, légué par l'évolution de l'espèce et par les milliards de morts qui nous ont précédés, un cerveau incroyablement performant, surdimensionné dès la naissance (qu'il rend par là-même difficile et douloureuse). Ce même cerveau ultra-rapide et ultra-efficace, nous le conservons dans le très grand âge, quand nous n'avons plus rien qu'à mâcher le rien.
Il me suffit de soulever encore en pensée la fenêtre en guillotine pour revoir au petit matin la brume argentée de la clairière, le ciel blanc au dessus des arbres et, broutant l'herbe éclatante de rosée, les poneys aux longs poils humides, brillants comme de la soie. Le souffle retenu, je restais immobile, buvant l'air froid jusqu'à ce qu'un des poneys m'aperçût et se mît à hennir. Alors le troupeau redressait la tête dans ma direction, et après un court frémissement de l'échine, trottait vers la lisière de la forêt où il s'arrêtait encore quelques secondes avant de disparaître.
La pureté de l'humanité existe. On la trouve dans les montagnes, les champs de glace, la jungle et les vallées ainsi qu'au bord des cours d'eau.
L'Ecriture nous apprend : il y a trois choses qui ne laissent pas de traces : l'oiseau dans l'air, le poisson dans l'eau, et la femme...
Lorsqu'elle l'eut mené au fond de la taille, elle lui fit remarquer une crevasse dans la houille. Un léger bouillonnement s'en échappait, un petit bruit, pareil à un sifflement d'oiseau.
- Mets ta main, tu sens le vent... C'est du grisou.Oui, la lutte contre l'apartheid est terminée. Il y a un nouveau combat à mener : il faut transformer l'Afrique du Sud en pays démocratique. C'est un sacré défi pour nous qui avons changé très vite, en quinze ans. Pour cela, nous devons démanteler nos vieilles structures héritées du temps de l'apartheid, lutter contre la corruption qui se développe dans notre pays et, enfin, combattre l'idée que la démocratie est synonyme de consommation.
Stolz (1975) de Paul Nizon
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Le vieil homme et la mer (1952) de Ernest Hemingway
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Allen Jones
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Brooklyn Follies (2005) de Paul Auster
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Dictionnaire superflu à l'usage de l'élite et des bien nantis (1985) de Pierre Desproges
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Notes, maximes et pensées de Claude Adrien Helvétius
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La spirale du bonheur (2004) de Paule Salomon
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Je l'aimais (2003) de Anna Gavalda
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Les oubliés du dimanche (2017) de Valérie Perrin
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La part du fils (2019) de Jean-Luc Coatalem
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Cent millions d'années et un jour (2019) de Jean-Baptiste Andrea
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Un Nègre à Paris (1959) de Bernard Dadié
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Hérétiques (1912) de Gilbert Keith Chesterton
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Profondeurs (2004) de Henning Mankell
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L'homme et la bête (1947) de Louis Martin-Chauffier
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Un monde sans rivage (2019) de Hélène Gaudy
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La Vie errante (1890), D'Alger à Tunis de Guy de Maupassant
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Il n'y a pas de paradis de André Frénaud
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Devant ma mère (2007) de Pierre Pachet
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Les Poneys sauvages (1970) de Michel Déon
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Les dernières Ethnies - Avant qu'elles ne disparaissent (2013) de Jimmy Nelson
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La Reine Margot (1845) de Alexandre Dumas
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Germinal (1885), I, IV de Emile Zola
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Interview de Johnny Clegg au « Nouvel Observateur », avril 2013. de Johnny Clegg
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