Citations sur manes

Nous [Athéniens] n'avons à présent d'autre ressource que l'indulgence ou la pitié de ce prince [Philippe] ; la pitié ! mânes de Thémistocle et d'Aristide !...

Vous disiez que les manes toutes guerrieres et bouillantes de M. de Martigues.... s'irriterent....

Regagner les drapeaux que le Parthe a gagnés, Et venger de Crassus les mânes indignés

Regagner ces drapeaux que le Parthe a gagnés, Et venger de Crassus les mânes indignés

Tes mânes irrités s'élèvent contre nous ; Non jamais ton bourreau ne sera mon époux

Aux mânes de Pompée il faut une autre offrande, La victime est trop basse et l'injure est trop grande

Aux mânes paternels je dois ce sacrifice

Ô mânes de mon père !.... N'ayant pu vous venger, je vous irai rejoindre

Vous, madame, agréez pour votre grand héros Que ses mânes vengés goûtent un plein repos

Je ne puis trop conjurer Votre Majesté de faire rendre aux mânes de Voltaire, dans l'église catholique de Berlin, les honneurs funèbres que les Velches s'obstinent à lui refuser

Voilà mon sort ; mais vous, par le flambeau du monde, Par sa douce clarté que je ne verrai plus, Par votre cher Ascagne et ses jeunes vertus, Par les mânes d'Anchise, abrégez ma misère !

Les manes font un bruit, et Caron par ses cris Reclame à son secours Pluton et ses esprits

Ô fils d'Ulysse ! me dit Aceste, je ne puis refuser votre sang aux mânes de tant de Troyens que votre père a précipités sur les rivages du noir Cocyte

Tisiphone désarmée, la Parque oisive, Mégère attendrie, le monarque des mânes lui-même étonné de se trouver sensible ; telles sont les images parlantes et les éloquentes allégories sous lesquelles la première antiquité se plaît à nous peindre la puissance de l'harmonie dès les temps héroïques

Les mânes effrayés quittent leurs monuments

Ah ! vous pleurer est le bonheur suprême, Mânes chéris de quiconque a des pleurs ; Vous oublier, c'est s'oublier soi-même ; N'êtes-vous pas un débris de nos coeurs ?

Ah ! vous pleurer est le bonheur suprême, Mânes chéris de quiconque a des pleurs ; Vous oublier c'est s'oublier soi-même : N'êtes-vous pas un débris de nos coeurs ?

À ses mânes errants je rendis le repos ; Je fis seul son bûcher, et ramassai sa cendre

Et pour mieux apaiser ses mânes irrités

Pensez-vous qu'après tout ses mânes en rougissent ?

[Le phénix] Oiseau religieux aux manes de son pere

Les mânes indignés de tant de bons soldats Contre ma lâcheté ne murmureraient pas

Les mânes effrayés quittent leurs monuments ; Et les vents échappés de leurs caverne sombres Mêlent à ces clameurs d'horribles sifflements

Ces dons que je dois faire à nos dieux infernaux, aux mânes d'une mère

Ils [les Juifs] pensèrent, comme presque toutes les autres nations, que l'âme est quelque chose de délié, d'aérien, une substance légère, qui retenait quelque apparence du corps qu'elle avait animé ; c'est ce qu'on appelait les ombres, les mânes des corps