Citation Un pas de plus
Découvrez une citation Un pas de plus - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Un pas de plus issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 1410 citations et proverbes sur le thème Un pas de plus.
1410 citations
Quand mes filles eurent atteint l'âge de douze ans, je les initiai aux mystérieux pouvoirs. Non pas tant, mystérieux, parce qu'elles en ignoraient l'existence, que je les leur avais dissimulés (avec elles, je ne me cachais de rien puisque nous étions de même sexe), mais plutôt que, ayant grandi dans la connaissance vague et indifférente de cette réalité, elles ne comprenaient pas plus la nécessité de s'en soucier ni d'avoir, tout d'un coup, à la maîtriser d'une quelconque façon, qu'elles ne voyaient l'intérêt pour elles d'apprendre à confectionner les plats que je leur servais et qui relevaient d'un domaine tout aussi lointain et peu palpitant. Elles ne songèrent pourtant pas à se rebeller contre cet ennuyeux enseignement. Elles ne tentèrent même pas, certains après-midi ensoleillés, d'y couper sous quelque prétexte. Je me plaisais à croire que, cette docilité chez mes filles peu dociles, mes jumelles fulminantes et impulsives, je la devais à la conscience qu'elles avaient peut-être, malgré tout, là, d'une obligation sacrée.
Il a raison, ton Gauguin : il faut s’habituer à l’idée de n’être pas aimé. C’est la deuxième tâche la plus difficile d’un artiste, la première étant d’être absolument soi-même. Supporter la moquerie, la raillerie, le refus de tout ce que l’on est, de tout ce en quoi l’on tient, se voir imposer le silence et ne pas pouvoir riposter : voilà la grande, l’insupportable, la nécessaire mission d’une vie. Je ne parle pas seulement de la vie d’artiste. Voilà pourquoi l’amour et l’amitié sont des miracles : parce qu’il ne faut jamais s’y attendre ni croire qu’on les mérite.
Sans la faculté d'oublier, notre passé pèserait d'un poids si lourd sur notre présent que nous n'aurions pas la force d'aborder un seul instant de plus, et encore moins d'y entrer.
Quoi, vous voulez dire que je ne suis pas dans un groupe Facebook de joyeux lurons ? Que je ne publie pas de clichés sur Instagram de moi au bord de ma piscine? Incroyable. Je suis donc comme la plupart des gens âgées qui n'en a rien a foutre de tout ça ? Prenez un individu de plus de soixante-dix ans, sans antécédents particuliers et cherchez-le sur Google. Es-ce qu'il s'y trouve? Non et c'est normal. Sauf le jour de ses funérailles , avec le faire-part de décès, je le sais, j'en rédige a l'église.
Qu’on me dise que je manque de courage. Que je me débine. Que je suis lâche. Cela m’est égal. Plusieurs fois, on m’a soufflé : « Êtes-vous sûre de ne pas vouloir aller jusqu’au au bout ? » Je me suis interrogée sur ce fameux « bout » dont tout le monde parlait si souvent pour un oui pour un non, une focale qui se rétrécit comme l’esprit parfois quand il n’a plus d’autre recours pour penser. Qu’on se le dise une bonne fois pour toutes. Je ne viens pas pour obtenir « réparation ». Toute idée de réparation est complètement fictive. On se contentera d’une reconnaissance de la douleur. C’est déjà bien.
Il n'est peut-être pas une personne, si grande que soit sa vertu, que la complexité des circonstances ne puisse amener à vivre un jour dans la familiarité du vice qu'elle condamne le plus formellement.
La proposition de Hollande de 75 % de taxation m'a fait réfléchir. Je n'ai pas envie de dire au gouvernement vous avez raison. Mais, d'un autre côté, je pense que les riches doivent donner plus. C'est normal, c'est bien dans les moments de crise que l'on se mobilise et que les gens riches fassent un effort. Si c'est sur un temps limité et que cela aide à sortir de la récession, pourquoi pas ? En tout cas, je ne quitterai pas la France pour ça…
Nous avions un grand empire qui allait d'un océan à l'autre, du cercle polaire jusqu'aux tropiques. Où est-il passé ? Il a été vaincu sans bombe. Sans Hiroshima. Il a été vaincu par Sa Majesté le Saucisson ! C'est la bonne bouffe qui a gagné. Et les Mercedes... L'homme n'a pas besoin d'autre chose, il ne faut rien lui proposer de plus, ce n'est pas la peine.
Le vendredi 12 décembre 1941, par une paisible matinée caraïbe où le soleil, à cette époque de l'année, caresse la peau plutôt que de la mordre, la république indépendante, libre et démocratique d'Haïti déclara les hostilités au IIIe Reich et au Royaume d'Italie. L'annonce prit de court les citoyens, qui, tournés vers les festivités de Noël, avaient déjà oublié que, quatre jours plus tôt, incapable d'avaler l'anaconda de Pearl Harbor, leur bout d'île avait fait une virile entrée en guerre contre l'Empire nippon. L'information avait déboulé à la vitesse d'un cyclone force 5 sur la planète ; des centaines de millions de sceptiques avaient eu du mal à en croire, qui leurs yeux, qui leurs oreilles, selon qu'ils l'avaient lue dans les gazettes ou captée sur leur poste tsf. Les têtes couronnées du Japon et leurs fidèles sujets n'en étaient toujours pas revenus.
Les infirmières nous sonnent comme des domestiques, pour accompagner un résident aux toilettes par exemple. Les infirmières ont plus de responsabilités médicales que les aides-soignantes, mais je préfère mon métier parce que nous, nous tenons la main des résidents. Pour que les familles sachent à qui elles ont affaire, le personnel soignant ne porte pas les mêmes blouses. Celles des infirmières sont roses, celles des chefs de service, blanches, et celles des aides-soignantes, vertes, couleur poubelle.
De nos jours, les fesses d'une femme à poil, cela ne vaut plus rien : il suffit de lever la tête pour en voir une paire, on a à peine le temps d'éternuer qu'on tombe sur une deuxième, et on n'a pas de sitôt tourné le coin de la rue qu'on risque de marcher sur une troisième. Mais en ce temps-là, il n'en allait pas de même. C'était un trésor que personne n'aurait échangé contre tout l'or du monde, et il n'y a qu'au toilette qu'on pouvait espérer en mater une. Et voilà comme un petit voyou du genre de Li Guangtou s'était fait pincer la main dans le sac là-bas, et pourquoi un grand voyou comme son père y avait perdu la vie.
D'où vient qu'un boiteux ne nous irrite pas, et qu'un esprit boiteux nous irrite ? C'est à cause qu'un boiteux reconnaît que nous allons droit, et qu'un esprit boiteux dit que c'est nous qui boitons. Sans cela nous en aurions plus de pitié que de colère.
Ca fait un peu mal de rêver toujours. Ca rend fou, mais ce qu'il y a de plus douloureux dans le rêve, c'est qu'il n'existe pas.
On te dira qu'il faut prendre la vie comme elle vient... conneries... la vie, c'est elle qui te prend, sans te laisser le choix, et par les couilles, encore. Le temps qui passe fait que la mémoire s'use un peu, mais le problème, c'est qu'elle s'use pas sur les mauvaises choses qu'on a vécues, elle s'attarde plutôt sur les bonnes, plus tendres.
L'amertume vient presque toujours de ne pas recevoir un peu plus que ce que l'on donne.
Il n'est rien de plus lourd que la compassion. Même notre propre douleur n'est pas aussi lourde que la douleur coressentie avec un autre, pour un autre, à la place d'un autre, multipliée par l'imagination prolongée dans des centaines d'échos.
Mademoiselle, dit Labal avec calme, permettez-moi de vous dire que vous raisonnez comme un manche, ne voyez pas plus loin que le bout de votre nez et utilisez de travers votre matière grise.
Qu'est-ce qu'un peuple ? demandes-tu. Faut-il donc tellement s'en occuper. Celui qui, sans se soucier de son peuple, l'entraîne à sa suite dans l'universel par la beauté triomphante de ses œuvres, celui qui donne ainsi la gloire, et par la même l'éternité, en fait-il pas davantage pour lui ? Oui, c'est évident. Comment peut-il être question de peuples depuis l'ère chrétienne ? Il n'y a plus de simples peuples, mais des peuples convertis, transfigurés, et c'est précisément cette conversion qui compte, et non la fidélité à de vieux principes.
A dix ans, je n'étais pas Sissi, à dix-huit ans, beaucoup moins encore. Je me sentais étiquetée. Et rien n'est plus dangereux pour une actrice (...). Personne ne voulait croire que je pouvais faire autre chose. Je devais jouer le rôle d'une princesse dans ce film, puis dans un autre encore. Je me suis défendue contre le deuxième Sissi et j'en ai pourtant tourné un troisième. Pourquoi ? Je ne savais tout simplement pas comment me libérer de tous mes liens, personnels et professionnels. J'étais assez désespérée.
Il est dans l'amour un sanctuaire dans lequel on ne peut plus rentrer quand on a fait un seul pas hors de son enceinte.
Si ma lettre devait être publiée ou seulement lue par une douzaine de personnes, tu peux être persuadé que j'userais ici de tous mes avantages et que je me servirais de toi comme tout voyageur se sert de l'ami auquel il écrit. - « Reste à Paris, te dirais-je, toi qui, plus sage que moi, as consacré ta vie aux calculs de la fortune et aux luttes de l'ambition ; toi, esprit exact et sachant le prix des choses, qui ne te livres pas à de vaines et poétiques rêveries, etc. » Ce qui signifie que l'ami auquel on écrit est un rustre , un butor, un boutiquier, une huître, un cloporte destiné à faire ressortir par un contraste l'âme élevée, le désintéressement artistique, la poétique désinvolture de l'ami qui écrit.
elle femme eût résisté à l'amour qu'elle éprouve, qui ne résiste pas à l'amour qu'elle inspire. On peut résister au plaisir d'aimer, mais on ne résiste guère à celui d'être aimée; l'amour que l'on a pour nous, nous fait faire beaucoup plus de chemin que celui que nous avons pour un autre.
La décision a besoin d'un esprit de maître; et il est sans comparaison plus facile de faire ce qu'on est, que d'imiter ce qu'on n'est pas.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.L'amour est une maladie, et le malade le plus sage, pour cette maladie-là comme pour les autres, est celui qui, n'ayant jamais lu un livre de médecine, ne sait pas ce qu'il a, et qui souffre sans penser, comme une bête.
La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
Références de Marie NDiaye - Biographie de Marie NDiaye
Plus sur cette citation >> Citation de Marie NDiaye (n° 163478) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les singuliers (2014) de Anne Percin
Références de Anne Percin - Biographie de Anne Percin
Plus sur cette citation >> Citation de Anne Percin (n° 167380) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
De l'inconvénient d'être né (1973) de Emil Cioran
Références de Emil Cioran - Biographie de Emil Cioran
Plus sur cette citation >> Citation de Emil Cioran (n° 114903) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'heure du diable (2020) de Patrick Bauwen
Références de Patrick Bauwen - Biographie de Patrick Bauwen
Plus sur cette citation >> Citation de Patrick Bauwen (n° 170231) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Parle tout bas (2021) de Elsa Fottorino
Références de Elsa Fottorino - Biographie de Elsa Fottorino
Plus sur cette citation >> Citation de Elsa Fottorino (n° 173515) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
A la recherche du temps perdu, Du côté de chez Swann (1913) de Marcel Proust
Références de Marcel Proust - Biographie de Marcel Proust
Plus sur cette citation >> Citation de Marcel Proust (n° 111793) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview Paris Match le 24/11/2012, par Benjamin Locoge de Sophie Marceau
Références de Sophie Marceau - Biographie de Sophie Marceau
Plus sur cette citation >> Citation de Sophie Marceau (n° 163235) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Fin de l'homme rouge (2013) de Svetlana Alexievitch
Références de Svetlana Alexievitch - Biographie de Svetlana Alexievitch
Plus sur cette citation >> Citation de Svetlana Alexievitch (n° 165376) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Avant que les ombres s'effacent (2017) de Louis-Philippe Dalembert
Références de Louis-Philippe Dalembert - Biographie de Louis-Philippe Dalembert
Plus sur cette citation >> Citation de Louis-Philippe Dalembert (n° 164238) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les oubliés du dimanche (2017) de Valérie Perrin
Références de Valérie Perrin - Biographie de Valérie Perrin
Plus sur cette citation >> Citation de Valérie Perrin (n° 166803) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Brothers (2008) de Yu Hua
Références de Yu Hua - Biographie de Yu Hua
Plus sur cette citation >> Citation de Yu Hua (n° 165261) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pensées (1670) de Blaise Pascal
Références de Blaise Pascal - Biographie de Blaise Pascal
Plus sur cette citation >> Citation de Blaise Pascal (n° 126767) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Littoral (1999) de Wajdi Mouawad
Références de Wajdi Mouawad - Biographie de Wajdi Mouawad
Plus sur cette citation >> Citation de Wajdi Mouawad (n° 88683) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Grossir le Ciel (2014) de Franck Bouysse
Références de Franck Bouysse - Biographie de Franck Bouysse
Plus sur cette citation >> Citation de Franck Bouysse (n° 166372) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de Paul Valéry
Références de Paul Valéry - Biographie de Paul Valéry
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Valéry (n° 48654) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'insoutenable légèreté de l'être (1984) de Milan Kundera
Références de Milan Kundera - Biographie de Milan Kundera
Plus sur cette citation >> Citation de Milan Kundera (n° 119121) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Fleurs bleues (1965) de Raymond Queneau
Références de Raymond Queneau - Biographie de Raymond Queneau
Plus sur cette citation >> Citation de Raymond Queneau (n° 92914) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Docteur Jivago (1957) de Boris Pasternak
Références de Boris Pasternak - Biographie de Boris Pasternak
Plus sur cette citation >> Citation de Boris Pasternak (n° 161722) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Romy Schneider intime, d'Alice Schwarzer (2018) de Romy Schneider
Références de Romy Schneider - Biographie de Romy Schneider
Plus sur cette citation >> Citation de Romy Schneider (n° 170486) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Gabriel (1839) de George Sand
Références de George Sand - Biographie de George Sand
Plus sur cette citation >> Citation de George Sand (n° 117611) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Hortense (1841) de Alphonse Karr
Références de Alphonse Karr - Biographie de Alphonse Karr
Plus sur cette citation >> Citation de Alphonse Karr (n° 154081) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pensées (1832) de Cécile Brucy, dite Cécile Fée
Références de Cécile Brucy, dite Cécile Fée - Biographie de Cécile Brucy, dite Cécile Fée
Plus sur cette citation >> Citation de Cécile Brucy, dite Cécile Fée (n° 167859) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mémoires de Louis XIV
Références de Louis XIV - Biographie de Louis XIV
Plus sur cette citation >> Citation de Louis XIV (n° 13104) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Physiologie de l'amour moderne (1883) de Paul Bourget
Références de Paul Bourget - Biographie de Paul Bourget
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Bourget (n° 131129) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur Un pas de plus
Toutes les citations sur Un pas de plus Citations Un pas de plus Citation Un pas de plus et Proverbe Un pas de plus Proverbes Un pas de plus : 1410 citations et proverbes sur Un pas de plus Citation Un pas de plus - Proverbe Un pas de plus - 1410 citations Citations, proverbes sur Un pas de plus Citations, proverbes sur Un pas de plus Citations et belles pensées sur Un pas de plus Les plus belles citations sur Un pas de plus Toutes les citations sur Un pas de plus Les plus belles citations et pensées sur Un pas de plus Citation sur un Citations courtes un
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
