La définition de Myrrhe du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Myrrhe
Nature : s. f.
Prononciation : mi-r'
Etymologie : Provenç. esp. et ital. mirra ; du lat. myrrha ; comparez le grec, et voy. .

Voir les citations du mot MyrrheSignification du mot Myrrhe


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de myrrhe de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec myrrhe pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Myrrhe ?


La définition de Myrrhe

Gomme résine du balsamodendron myrrha, Nees, plante térébinthacée, voisine des amyris kataf et kafal de Forskal ; elle est apportée de l'Arabie heureuse et de l'Abyssinie.


Toutes les définitions de « myrrhe »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

MYRRHE. n. f.
Sorte de gomme odorante qui vient de l'Arabie. L'encens et la myrrhe.

Littré

MYRRHE (mi-r') s. f.
  • Gomme résine du balsamodendron myrrha, Nees, plante térébinthacée, voisine des amyris kataf et kafal de Forskal?; elle est apportée de l'Arabie heureuse et de l'Abyssinie. Ils [les mages] lui offrirent [à l'enfant Jésus] pour présents de l'or, de l'encens et de la myrrhe, Sacy, Bible, Évang. St Math, II, 11. On [les mages] lui donne [à l'enfant Jésus] de l'or comme à un roi?; l'encens honore sa divinité?; et la myrrhe, son humanité et sa sépulture, parce que c'était le parfum dont on embaumait les morts, Bossuet, Élévat. sur myst. XVII, 9.

    Fig. Jusqu'à ce que les ombres se dissipent, et que le jour de la bienheureuse éternité paraisse, j'irai dans la solitude, sur la montagne de la myrrhe et sur la colline de l'encens, pour contempler les vérités éternelles, Bossuet, Réfl. sur l'état des péch. Elle fit de tous ces maux, comme l'épouse des Cantiques, un faisceau de myrrhe qu'elle reçut des mains de son bien-aimé et qu'elle mit dans son sein comme une marque précieuse de son amour, Fléchier, Dauphine.


HISTORIQUE

XIe s. Mirre et timoine [ils] i firent alumer, Ch. de Rol. CCIX.

XIIe s. Fum [fumée] des especes de myrre et d'encens et de tote purriere [poussière] de pigment, Job, p. 447.

XVIe s. De bonne myrrhe playe puante, proverbe par corruption de?: debonnaire mire [médecin] fait playe puante, H. Estienne, Précell. p. 200.

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Encyclopédie, 1re édition

MYRRHE, s. f. (Hist. nat. des drog. exot.) suc résineux, gommeux, qui découle naturellement ou par incision, d'un arbre duquel nous ne savons autre chose, sinon qu'il croît dans l'Arabie-heureuse, en Egypte, en Ethiopie, en Abyssinie, & au pays des Troglodytes, autrement dit la côte d'Abex.

Les anciens ont parlé de plusieurs sortes de myrrhe, qu'ils ont décrites & distinguées les unes des autres avec peu d'exactitude. Présentement même, on trouve dans des caisses de myrrhe, que nous recevons des Indes orientales ou des échelles du Levant, plusieurs morceaux de myrrhe différens par le goût, l'odeur & la consistence. Tantôt ils ont une odeur suave de myrrhe, tantôt une odeur incommode & désagréable, tantôt ils n'ont qu'une légere amertume, & tantôt ils répugnent par leur amertume, & excitent des nausées. Ajoutez, qu'ils sont mêlés de bdellium & de gomme arabique.

L'on voit du-moins qu'il y a grande différence entre les larmes de la myrrhe, selon qu'elle provient de différens arbres, de diverses parties d'un même arbre, selon les différentes saisons de l'année où on la recueille, selon le pays, selon la culture, & selon que ces larmes découlent d'elles-mêmes, ou par incision ; car il ne s'agit pas ici des sophistiqueries particulieres qu'on peut y faire en Europe dans le débit.

Quelques auteurs doutant que notre myrrhe soit la même que celle des anciens, prétendent que ce que nous appellons myrrhe, étoit leur bdellium ; cependant on l'en distingue facilement, parce qu'elle est amere, moins visqueuse, d'une odeur plus piquante que celle du bdellium. D'autres soupçonnent, que nous n'avons point la belle myrrhe des anciens, mais seulement l'espece la plus vile, à laquelle Dioscoride donnoit le surnom de caucalis & d'ergasine ; cependant il est plus vraissemblable qu'on nous apporte encore la vraie myrrhe antique, quoique mélangée avec d'autres especes d'une qualité inférieure.

Je sai bien que les anciens comptoient leur myrrhe parmi les plus doux aromates, & qu'ils s'en servoient pour donner de l'odeur aux vins les plus précieux ; mais outre qu'ils avoient peut-être un art particulier de la préparer pour leurs parfums, & leurs vins, on ne doit pas disputer des goûts, ni des odeurs.

Il faut remarquer, que les anciens connoissoient deux especes de myrrhe, une liquide qu'ils appelloient stacte, & une myrrhe solide ou en masse. Ils distinguoient encore trois sortes de myrrhe liquide, l'une qui étoit naturelle, & qui découloit d'elle-même des arbres sans incision ; c'est, dit Pline, la plus estimable de toutes. La seconde, tirée par incision, étoit également naturelle, mais plus épaisse & plus grossiere. La troisieme, qu'on faisoit artificiellement, étoit de la myrrhe récente en masse, pilée avec une petite quantité d'eau, que l'on passoit en l'exprimant fortement ; cette préparation qu'on peut nommer émulsion de myrrhe, ne se pratique point aujourd'hui ; mais on trouve quelquefois dans les boutiques des morceaux de myrrhe récente, pleins d'un suc huileux, que nos parfumeurs appellent stacte.

Outre les myrrhes liquides, les anciens distinguoient plusieurs sortes de myrrhe solide ou en musse, entre lesquelles Galien regardoit la myrrhe troglodityque pour la meilleure, & après elle la myrrhe minnéenne, minn?a, ainsi nommée des Minnéens, peuples de l'Arabie heureuse, que Strabon, l. XVI. p. 798. met sur les côtes de la mer rouge. Enfin, Dioscoride fait mention d'une myrrhe de Béotie, mais on ne la connoît point du-tout aujourd'hui.

La myrrhe donc, myrrha, off. ??????, Diosc. ????? Hipprocratis mor. des Arabes, est un suc résineux, gommeux, en morceaux fragiles de différentes grandeurs ; tantôt de la grosseur d'une noisette ou d'une noix, tantôt plus gros ; de couleur jaune, rousse ou ferrugineuse, transparens en quelque maniere, & brillans. Quand on les brise, on y voit des veines blanchâtres à demi-circulaires ou sphéroides ; son goût est amer, aromatique, avec un peu d'âcreté, qui cause des nausées. Quand on la pile, elle donne une odeur forte, qui frappe les narines ; & quand on la brûle, elle répand une agréable fumée.

Myrrhe, (Chimie, Pharmacie & Mat. médic.) on doit choisir celle qui est friable, légere, égale en couleur dans toutes ses parties, sans ordures, très aromatique, d'un roux foncé & demi-transparente ; la plus mauvaise est celle qui est noire, pesante & sale.

Il s'ensuit de sa qualité de gomme-résine, voyez Gomme-résine, qu'elle ne doit être soluble qu'en partie dans l'eau, dans l'esprit de vin rectifié, & dans les huiles. Elle se dissout cependant en entier, ou peut s'en faut, dans l'esprit de vin tartarisé, & presque entierement aussi dans la liqueur qui se sépare du blanc d'?uf durci, que l'on fait résoudre ou tomber en deliquium avec la myrrhe, en les exposant ensemble dans un lieu humide ; opération qui fournit ce qu'on appelle très-improprement dans les boutiques, huile de myrrhe par défaillance. Ces deux derniers phénomenes méritent d'être constatés par de nouvelles observations, & ils sont très singuliers, si ce qu'en ont dit les auteurs est conforme à la vérité : selon l'analyse de M. Cartheuser, une once de belle myrrhe est composée de sept gros de substance gommeuse inséparablement barbouillée d'un peu de résine & d'huile, de deux scrupules & quelques grains de résine chargée d'huile essentielle & d'environ douze grains d'ordure absolument insoluble. La myrrhe choisie, distillée à l'eau, donne au rapport de Fred. Hoffman, qui prétend avoir exécuté cette opération le premier, Obs. phys. chim. l. I. obs. 5. environ deux dragmes, & même la plus parfaite, jusqu'à trois dragmes par livre d'huile essentielle, dont une partie est plus pesante que l'eau, & une autre partie nage à sa surface.

La myrrhe est un des remedes que les anciens ont le plus célébré, & que les modernes ont aussi compté parmi les médicamens les plus précieux. Elle possede toutes les qualités des gommes-résines à un degré que l'on peut appeller temperé ou moyen, qui permet de l'employer dans tous les sujets & dans tous les cas où les gommes-résines sont indiquées : dire de ce remede, que les anciens & les modernes l'ont également célébré, c'est assez faire entendre qu'ils lui ont attribué généralement toutes les vertus. Celles qui sont le plus reconnues sont sa qualité stomachique, roborante, apéritive & utérine ; aussi son usage le plus fréquent est pour donner du ton à l'estomac, pour fondre les obstructions, surtout bilieuses ; pour ranimer, & sur-tout pour faire couler les regles ; on la donne rarement seule, mais on la fait entrer fort communément dans les pillules ou bols stomachiques, fondans, emménagogues, & dans les préparations officinales, dont la vertu dominante est d'être cordiale ou excitante. Les qualités bézoardique & antiputride, ne sont fondées que sur des préjugés : la derniere sur-tout qu'on a estimée sur l'usage que les anciens faisoient de la myrrhe dans les embaumemens, est on ne peut pas plus précaire, voyez Embaumement & Mumie : la vertu vulnéraire & cicatrisante est commune à la myrrhe & à tous les sucs balsamiques, liquides & concrets ; mais notre gomme-résine n'a aucun avantage à cet égard, au contraire. Cartheuser met cependant au-dessus de toutes les propriétés de la myrrhe, celle qu'il lui attribue d'être un remede souverain contre la toux invétérée & plusieurs autres maladies chroniques de la poitrine, qui dépendent principalement de la foiblesse du poumon & du ventricule. Au reste, cet auteur moderne est très-enthousiaste sur les éloges de la myrrhe ; ce remede doit se donner en substance & incorporé à cause de son amertume, avec un excipient qui le réduise sous forme solide. La teinture de myrrhe est beaucoup plus efficace que la myrrhe en substance, selon la remarque de Sthal, soit parce que cette teinture ne contient que la résine & l'huile essentielle qui sont ses principes les plus actifs, débarrassés de la partie gommeuse qui masquoit ou châtroit en partie leur action ; mais plus encore parce que ces principes sont très-divisés dans l'esprit de vin, & enfin parce que ce menstrue concourt très-efficacement à leur activité. Au reste, cette remarque doit être commune aux teintures en général. Voyez Teinture.

L'huile essentielle de la myrrhe doit être comptée, si l'on en croit Cartheuser & Frid. Hoffman, parmi les moins âcres & les plus convenables pour l'usage intérieur, voyez Huile essentielle. Le dernier auteur recommande particulierement celle-ci prise à la dose de quelques gouttes sous forme d'?leosaccharum dans une infusion de véronique ou dans du caffé, contre plusieurs maladies chroniques de la poitrine, telles que la toux invétérée, l'asthme humide, &c. il conseille aussi de prendre le même ?leosaccharum le matin dans du bouillon, du chocolat ou du caffé, comme une excellente ressource contre l'influence d'un air épais & chargé d'exhalaisons putrides ou de miasmes épidémiques.

La myrrhe réduite en poudre & la teinture de myrrhe sont aussi des remedes extérieurs très-usités dans les pansemens des plaies & des ulceres, & sur-tout dans la gangrene & dans la carie.

Il est peu de drogues qui entrent dans autant de compositions officinales, soit internes, soit externes, que la myrrhe, son efficacité est sur-tout remarquable dans l'élixir de propriété, les pillules de Rufus, & la thériaque diatessaron, parce que ces remedes sont composés de très-peu d'ingrédiens. (b)

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Wiktionnaire


Nom commun - français

myrrhe \mi?\ féminin

  1. Gomme-résine aromatique qui vient de l'Arabie, produite par une burséracée du genre Commiphora.
    • L'encens et la myrrhe.
    • Adonis par l'escorce d'un arbre de myrrhe ? (François Rabelais, Gargantua, 1534)
    • Mais je sens une odeur de myrrhe qui est à donner la nausée. (Pierre Louÿs, La Nuit de printemps, dans Archipel, 1905)
    • On m'ouvrit la pierre qui fermait son tombeau et je pénétrai dans la cavité creusée dans la roche.
      Le parfum ravageur de la myrrhe empoissait l'air.
      (Éric-Emmanuel Schmitt, L'Évangile selon Pilate, Albin Michel, 2000, collection Le Livre de Poche, page 75)
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

Trésor de la Langue Française informatisé


MYRRHE, subst. fém.

Gomme résine aromatique exsudant du tronc de certains arbres d'Asie et d'Afrique, utilisée pour son parfum et ses propriétés antispasmodiques et stimulantes. Odeur, parfum de myrrhe; se parfumer de myrrhe. On emploie la myrrhe (...) dans les catarrhes bronchiques (Deschamps d'Avallon,Compendium pharm. prat., 1868, p.759).La myrrhe nuptiale! La funèbre myrrhe! Cela qui chez les anciens ne servait pas à la célébration d'un seul mystère seulement (Claudel,Père humil., 1920, iv, 2, p.560).V. aloës ex.3, benjoin ex.2, cinname ex. 1:
. C'est ainsi qu'autrefois, sous Augustus Caesar, Sont venus, présentant l'or, l'encens et la myrrhe, Les Rois Mages Gaspar, Melchior et Balthasar. Heredia,Trophées, 1893, p.92.
? P. méton. Arbre qui produit cette gomme. Pays (...) où croît la myrrhe (Quinet,Ahasvérus, 1833, 3ejournée, p.198).Demeure comme un signe sur mon bras et comme un bouquet de myrrhe entre mes mamelles (Claudel,Corona Benignitatis, 1915, p.391).
Prononc. et Orth.: [mi:?]. Att. ds Ac. dep. 1694. Homon. mir, mire, formes de mirer et de mettre. Étymol. et Hist. Fin xes. mirra (Passion, éd. D'Arco Silvio Avalle, 347); ca 1100 mirre (Roland, éd. J. Bédier, 2958). Empr. au lat. murra, myrr(h)a «arbrisseau d'où provient la myrrhe; la gomme odorante qui en est tirée», gr. ? ? ? ? ? ?; André Bot., s.v. myrrha. Fréq. abs. littér.: 110.

MYRRHE, subst. fém.
Étymol. et Hist. Fin xes. mirra (Passion, éd. D'Arco Silvio Avalle, 347); ca 1100 mirre (Roland, éd. J. Bédier, 2958). Empr. au lat. murra, myrr(h)a «arbrisseau d'où provient la myrrhe; la gomme odorante qui en est tirée», gr. ? ? ? ? ? ?; André Bot., s.v. myrrha.

Myrrhe au Scrabble


Le mot myrrhe vaut 19 points au Scrabble.

myrrhe

Informations sur le mot myrrhe - 6 lettres, 1 voyelles, 5 consonnes, 5 lettres uniques.

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Les citations avec le mot Myrrhe


  1. J'ai orné mon lit de couvertures, - De tapis de fil d'Egypte; - J'ai parfumé ma couche - De myrrhe, d'aloès et de cinnamome. - Viens, enivrons-nous d'amour jusqu'au matin, - Livrons-nous à la volupté.

    Auteur : La Bible - Source : Proverbes, VIII, 17-18


  2. Musc, myrrhe, élémi,
    Chants de toute sorte,
    Je m'endors parmi
    Votre âcre cohorte.


    Auteur : Charles Cros - Source : Le Coffret de santal (1879)


  3. Mon lit est parfumé d'aloès et de myrrhe; - L'odorant cinnamome et la nard de Palmyre - Ont chez moi de l'Egypte embaumé les tapis.

    Auteur : Alfred de Vigny - Source : Sans référence


  4. Nul n’est prophète en son pays : cela reste une grande vérité, il faut qu’un prophète soit un étranger en quelque sorte. Il doit venir d’une terre lointaine, tomber du ciel, avoir un air insolite, improbable. Un mystère doit l’entourer, comme celui, chez les goyim, d’être né d’une vierge. Il doit marcher autrement, parler autrement. Le mieux serait qu’il fût originaire d’endroits inimaginables d’où proviennent des mots exotiques, des mets jamais consommés, des fragrances jamais humées, la myrrhe, les oranges.

    Auteur : Olga Tokarczuk - Source : Les livres de Jakob (2018)


Les citations du Littré sur Myrrhe


  1. Dans l'Exode il est dit : prenez d'excellente myrrhe.... et on fera mourir quiconque s'oindra d'une pareille composition, ou en oindra un étranger

    Auteur : Voltaire - Source : Dict. phil. Sibylle.


  2. Ô myrrhe ! ô cinname ! Nard cher aux époux !

    Auteur : Victor Hugo - Source : F. d'aut. 37


  3. On [les mages] lui donne [à l'enfant Jésus] de l'or comme à un roi ; l'encens honore sa divinité ; et la myrrhe, son humanité et sa sépulture, parce que c'était le parfum dont on embaumait les morts

    Auteur : BOSSUET - Source : Élévat. sur myst. XVII, 9


  4. Ils [les mages] lui offrirent [à l'enfant Jésus] pour présents de l'or, de l'encens et de la myrrhe

    Auteur : SACI - Source : Bible, Évang. St Math, II, 11


  5. Que la myrrhe, le cinnamome et l'aloës couvrent votre lit embaumé !

    Auteur : Chateaubriand - Source : Mart. II, 55


  6. Ainsi est tirée huile de myrrhe, huile de tartre et de vitriol

    Auteur : PARÉ - Source : XXV, 24


  7. En cet endroit le baume, en cet autre la myrrhe Me portent leurs parfums sur l'aile du zéphire

    Auteur : GODEAU - Source : Poésies, 1re partie, Églogue 4


  8. De bonne myrrhe playe puante, proverbe par corruption de : debonnaire mire [médecin] fait playe puante

    Auteur : H. EST. - Source : Précell. p. 200


  9. Ô myrrhe ! ô cinname ! Nard cher aux époux !

    Auteur : Victor Hugo - Source : F. d'aut. 37


  10. Y dissolvant sucre candi, tuthie, gomme diatragant, myrrhe

    Auteur : PARÉ - Source : XI, 14


  11. Ses lèvres sont comme des lis qui distillent la plus pure myrrhe

    Auteur : SACI - Source : Cant. des cant. V, 12


  12. Se servant pour cela, pendant les six premiers mois, d'une onction d'huile de myrrhe, et, pendant les six autres, de parfums et d'aromates

    Auteur : SACI - Source : Bible, Esth. II, 12




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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 14h03










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