Citations sur boileau

Le bel honneur pour vous en voyant vos ouvrages Occuper le loisir des laquais et des pages

....Va pâlir sur la Bible, Va marquer les écueils de cette mer terrible

....Le seul honneur solide, C'est de prendre toujours la vérité pour guide

Mais aucun de ces maux n'égale les rigueurs Que la mauvaise honte exerça dans les coeurs ; De ce nid à l'instant sortirent tous les vices

Les voyageurs sans guide assez souvent s'égarent

Le bruit court qu'avant-hier on vous assassina

Au pied de cet autel de structure grossière, Gît sans pompe, enfermé dans une vile bière, Le plus savant mortel qui jamais ait écrit [Antoine Arnauld]

Le fidèle, attentif aux règles de sa loi

Ô toi [ô nuit], de mon repos compagne aimable et sombre, à de si noirs forfaits prêteras-tu ton ombre ?

Quand mes cheveux plus noirs ombrageaient mon visage

Mais un démon fatal à cette ample machine Fit tomber à nos yeux le pupitre un matin

L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé

Le mal qu'on dit d'autrui ne produit que du mal

Il tira du manteau sa dextre vengeresse

Cependant, à l'entendre, il chérit la critique, Vous avez sur ses vers un pouvoir despotique ; Mais tout ce beau discours dont il vient vous flatter N'est rien qu'un piége adroit pour vous les réciter

[La savante] Pèse sans passion Chapelain et Virgile

Le vigilant Girot.... C'est d'un maître si saint le plus digne officier ; La porte dans le choeur à sa garde est commise

Oh ! que de mon esprit triste et mal ordonné, Ainsi que de ce champ par toi si bien orné, Ne puis-je faire ôter les ronces, les épines !

On verra les abus par ta main réformés, La licence et l'orgueil en tous lieux réprimés, Du débris des traitants ton épargne grossie

Point de glace, bon Dieu, dans le coeur de l'été, Au mois de juin ! pour moi, j'étais si transporté ....

Moi ! j'irais épouser une femme coquette !

Riche, gueux, triste ou gai, je veux faire des vers

C'est une erreur [que Tomyris ait fait tuer Cyrus] dont on a abusé seulement durant vingt-cinq siècles, et cela par la faute du gazetier de Scythie, qui répandit mal à propos la nouvelle de sa mort sur un faux bruit

On ne voit point mes vers, à l'envi de Montreuil, Grossir impunément les feuillets d'un recueil

Croyez-vous qu'ébloui de vos vaines paroles J'ignore qu'en effet tous vos discours frivoles Ne sont qu'un badinage...