Citation Quand on ne sait pas ou on
Découvrez une citation Quand on ne sait pas ou on - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Quand on ne sait pas ou on issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 30 citations et proverbes sur le thème Quand on ne sait pas ou on.
30 citations
On doit pas toujours garder la même mère, on doit changer. La première, elle a encore dans elle le moule de quand on était petit et les seins sensibles. Elle ne sait pas qu'on peut plus rentrer d'où on est sorti.
Quand j'étais petite, tout en sachant que je finirais par grandir et avoir ma propre famille, ou du moins ma propre maison, je n'imaginais pas ma vie sans mes parents ni mes sœurs. Cela m'aurait paru aussi incongru que d'envisager mon avenir sans mes pieds ou sans mes mains. Nous étions là, ensemble, pour toujours. Et même s'il était clair pour chacun que le temps passait - mon père et ma mère, je le voyais bien, ne vivaient pas avec leurs propres parents - ce que nous formions tous les cinq avait quelque chose d'éternel.
Quand l'autobus nous a de nouveau emportés à travers la rue qui n'en finissait plus de promesses, j'ai reporté mon regard sur les yeux de ce voisin ou de cette voisine qui est à l'origine de ces banales réflexions. Et j'ai bien vu qu'il ou elle continuait à désirer, à en mourir, des choses qu'on fabrique avec l'âme. La carrière de bienfaiteur de l'humanité n'est pas encombrée. Un mauvais esprit, qui m'est naturel, me souffle que c'est simple justice.
A l'heure magique où la lumière survit au soleil, des armées de roussettes se décrochent des Banyans dans le vieux cimetière et dérivent comme fumée à travers le ciel. Quand les chauves-souris s'en vont, les corbeaux s'en viennent. Le vacarme de leur retour au nid ne suffit pas à combler le silence creusé par la disparition des moineaux et l'absence des vieux vautours à dos blanc, gardiens des morts depuis plus de cent millions d'années, qui ont été exterminés. Empoisonnés au diclofénac. Le diclofénac ou aspirine des vaches, administré au bétail comme décontractant pour atténuer les douleurs musculaires et augmenter la production de lait, agit -- ou plutôt agissait -- à la façon d'un gaz neurotoxique sur les vautours à dos blanc.
Je savais qu'il ne pleuvrait pas sur mes noces pour une simple raison : quand on a souffert aussi longtemps que moi, on mérite une sorte de récompense. Ce jour-là, encore une fois, je m'étais fiée à mon instinct. Et j'avais eu raison de le faire. La vie ne m'a pas toujours fait de cadeaux. Après tant d'années de travail acharné et d'épreuves, je me réjouissais de profiter de l'instant présent avec Erwin, de me lever en paix chaque matin, sans un souci, ni un besoin, ni un projet. J'ai atteint le nirvana... cet état de félicité suprême où on ne désire plus rien. Trois mois plus tard, je me suis réveillée en proie à la panique. J'avais l'impression d'avoir reçu un coup à la tête et sur ma jambe droite, et une drôle de sensation au niveau de la bouche me gênait pour appeler Erwin à mon aide. Ce qui m'arrivait dépassait mes pires craintes. Je faisais un AVC.
Le bonheur était là et je l'avais laissé passer pour ne pas me compliquer l'existence. C'était si simple pourtant. Il suffisait de tendre la main. Le reste se serait bien arrangé d'une façon ou d'une autre. Tout finit par s'arranger quand on est heureux.
Un pays nouveau, pour moi, c’est une musique nouvelle d’abord, et, quand je le quitte, une danse que je voudrais danser... Danses de mes voyages avec cette ceinture ou plutôt ce collier de noms qui m’amusent : Joséphina, Guiseppina, la Bakerova, Koséfina, Phifine... et même Pepel, comme on disait à Vienne. De pays en pays, en Europe, j’ai appris à mieux connaître, à mieux comprendre la France, par réaction, et le rôle mystérieux et si beau de Paris... Paris, étoile de l’Occident, étoile, n’est-ce pas ? Polaire...
On marche vraiment sur la tête. Ou, comme dirait ma grand-mère, qui n'est pas dénuée de sagesse, le monde « ne tourne pas rond ma petite-fille ». « Tous les gens très intelligents qui gouvernement nos vies apportent plus de problèmes que de solutions, je les appelle les fournisseurs de crises ! » a-t-elle coutume de me dire. Sa remarque me fait penser à une maxime de Frédéric Dard : « Le bon sens, c'est ce qui permet d'être écouté quand vous n'êtes pas intelligent » disait avec une ironie cinglante, l'auteur de San-Antonio résumant ainsi la prétendue opposition entre intelligence et bon sens. Une dichotomie qui nous aveugle et nous éloigne du vrai chemin.
Quand on ne sait pas où l'on va, tous les chemins mènent nulle part.
Sans référence de Enfant, j'espérais devenir un livre quand je serais grand. Pas un écrivain, un livre : les hommes se font tuer comme des fourmis, les écrivains aussi. Mais un livre, même si on le détruisait méthodiquement, il en subsisterait toujours quelque part un exemplaire qui ressusciterait sur une étagère, au fond d'un rayonnage dans quelque bibliothèque perdue, à Reykjavik, Valladolid ou Vancouver.
Quand on applique la sévérité où il ne faut pas, on ne sait plus l'appliquer où il faut.
En temps de guerre, la vie est suspendue. On passe des jours dans les abris à ne rien faire, à tourner en rond, à l’écoute des dernières nouvelles du front. On ne sait plus vraiment ce qui se passe dehors, si la radio ment ou pas, si les déflagrations qu’on entend sont des « départs » ou des « arrivées ». En temps de guerre, on bannit le confort : on s’adapte à tout, on fait avec. En cas de pénurie d’essence, on attend des heures devant les stations-service ; quand le pain manque, on prend d’assaut les boulangeries ; et lorsque l’eau tarit dans les réservoirs, on court à la fontaine remplir les bidons. En temps de guerre, plus rien ne compte sauf Dieu, seule planche de salut dans un pays livré à la violence aveugle des hommes. Églises et mosquées ne désemplissent pas ; ceux qui n’ont jamais cru se retrouvent à genoux. En temps de guerre, enfin, les normes n’existent plus : le milicien fait la loi ; le gendarme se planque. Ceux qui ne se battent pas deviennent des lâches ; ceux qui tuent, des héros.
Quand on ne sait pas où l'on va, il faut y aller... Et le plus vite possible.
Il en est du monde comme du goût sexuel, où l'on ne sait pas jusqu'à quelles perversions il peut arriver quand une fois on a laissé des raisons esthétiques dicter ses choix.
Quand il faisait son entrée sur la scène domestique de sa vie, chacun pensait qu'il venait d'une autre scène où il tenait un autre rôle, celui de l'important qui court le monde, fréquente les ministres, dîne sous les lambris officiels, et qu'il le reprendrait en sortant. Mais il n'y avait pas d'autre scène, pas d'autre public devant qui jouer l'autre rôle. Dehors, il se retrouvait nu. Il retournait à l'absence, au vide, au blanc, qui n'étaient pas un accident de parcours mais l'unique expérience de sa vie. Il n'en a jamais connu d'autre, je crois, même avant la bifurcation.
Il vaut mieux, disait tout le temps ma mémé sucre d'orge
Dire du bien de sa valise que de la malle du voisin
Qui connaît ses seins mettra ou pas un soutien-gorge
Comme dit l'autre, on n'est jamais trahi que par les siens
C'est quand le chat n'est pas là que les souris s'emmerdent
Et il ne faut pas perdre de vue qu'on a souvent
Besoin d'un plus p'tit que soi pour lui casser la gueule
Qui sème des gnons récoltera toujours des dents.Vous savez quoi, Monsieur Macron ? Vous avez un talent fou : vous arrivez à parler sept minutes, je suis incapable de résumer votre pensée ! vous n'avez rien dit ! Rien dit ! C'est le vide absolu, sidéral ! J'attire l'attention des Français : je voudrais quand même qu'ils s'attachent à vérifier que, à chaque fois que vous prenez la parole, vous dites un petit peu de ceci, un petit peu de cela et jamais vous ne tranchez ! On ne sait pas ce que vous voulez […], et honnêtement je trouve ça très inquiétant. Très inquiétant.
La girafe d'Agathe, quand on marche dessus, fait entendre un son de klaxon ou de trompette. La vraie girafe, on ne sait pas. Personne n'a les jambes assez longues pour marcher sur la vraie girafe.
Loin de consister en une simple récitation de formules, la vraie prière représente un état mystique où la conscience s'absorbe en Dieu. Cet état n'est pas de nature intellectuelle. Aussi reste-t-il inaccessible autant qu'incompréhensible aux philosophes et aux savants. De même que le sens du beau et l'amour, il ne demande aucune connaissance livresque. Les simples sentent Dieu aussi naturellement que la chaleur du soleil ou le parfum d'une fleur. Mais ce Dieu si abordable à celui qui sait aimer se cache à celui qui ne sait que comprendre. La pensée et la parole font défaut quand il s'agit de le décrire. C'est pourquoi la prière trouve sa plus haute expression dans un essor de l'amour à travers la nuit obscure de l'intelligence.
Personne ne se repose jamais vraiment, on imagine qu'on se repose ou qu'on va se reposer mais c'est juste une petite espérance qu'on a, on sait bien que ça n'existe pas, ce n'est qu'une chose qu'on dit quand on est fatigué.
Quand un enfant mâle naissait dans la famille, on ne disait pas : Comme il ressemble à son papa ou à sa maman ! On disait : Regardez ce joli nez ! Il a déjà un profil de juge.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Quand on parlait de moi, c'était constamment pour évoquer mes conneries. Je me sentais très seul et incompris. Je pense que j'essayais d'exister dans un univers où les enfants sont considérés comme des sous-hommes. On les empêche de participer au débat intellectuel. J'avais envie d'y participer moi, je le comprenais ce débat, je ne me sentais pas enfant. Mais on n'écoutait pas mon avis : « Tais-toi, vas dans ta chambre ! » J'avais surtout une immense curiosité. On disait que je cassais tout, mais j'avais surtout envie de comprendre comment marchaient mes jouets, donc je les démontais, je les ouvrais. Cette curiosité ne m'a pas lâché.
Des livres, en revanche, on en avait à profusion, les murs en étaient tapissés, dans le couloir, la cuisine, l'entrée, sur les rebords des fenêtres, que sais-je encore ? Il y en avait des milliers, dans tous les coins de la maison. On aurait dit que les gens allaient et venaient, naissaient et mouraient, mais que les livres étaient éternels. Enfant, j'espérais devenir un livre quand je serais grand. Pas un écrivain, un livre : les hommes se font tuer comme des fourmis, les écrivains aussi. Mais un livre, même si on le détruisait méthodiquement, il en subsisterait toujours quelque part un exemplaire qui ressusciterait sur une étagère, au fond d'un rayonnage dans quelque bibliothèque perdue, à Reykjavik, Valladolid ou Vancouver.
L'amour, c'est comme le vent.
Si l'on ne sait pas d'où il vient,
On ne sait pas non plus très bien
Ni ou il s'en ira, ni quand.
Le Bout de la route de Jean Giono
Références de Jean Giono - Biographie de Jean Giono
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Giono (n° 20681) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'éternel fiancé (2021) de Agnès Desarthe
Références de Agnès Desarthe - Biographie de Agnès Desarthe
Plus sur cette citation >> Citation de Agnès Desarthe (n° 173487) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Trois Arbres de Palzem, 1984 de Jean Giono
Références de Jean Giono - Biographie de Jean Giono
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Giono (n° 157853) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Ministère du Bonheur suprême (2017) de Arundhati Roy
Références de Arundhati Roy - Biographie de Arundhati Roy
Plus sur cette citation >> Citation de Arundhati Roy (n° 163768) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Tina Turner, autobiographie (2019) de Tina Turner
Références de Tina Turner - Biographie de Tina Turner
Plus sur cette citation >> Citation de Tina Turner (n° 175170) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Je l'aimais (2003) de Anna Gavalda
Références de Anna Gavalda - Biographie de Anna Gavalda
Plus sur cette citation >> Citation de Anna Gavalda (n° 110488) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
« Les mémoires » de Joséphine Baker, recueillis par Marcel Sauvage (1949) de Joséphine Baker
Références de Joséphine Baker - Biographie de Joséphine Baker
Plus sur cette citation >> Citation de Joséphine Baker (n° 173360) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Douce France : Où est (passé) ton bon sens ? (2019) de Sonia Mabrouk
Références de Sonia Mabrouk - Biographie de Sonia Mabrouk
Plus sur cette citation >> Citation de Sonia Mabrouk (n° 163622) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Henry Alfred Kissinger
Références de Henry Alfred Kissinger - Biographie de Henry Alfred Kissinger
Plus sur cette citation >> Citation de Henry Alfred Kissinger (n° 58511) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
Références de Amos Oz - Biographie de Amos Oz
Plus sur cette citation >> Citation de Amos Oz (n° 158093) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pensées de Joseph Joubert
Références de Joseph Joubert - Biographie de Joseph Joubert
Plus sur cette citation >> Citation de Joseph Joubert (n° 57743) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Roman de Beyrouth (2005) de Alexandre Najjar
Références de Alexandre Najjar - Biographie de Alexandre Najjar
Plus sur cette citation >> Citation de Alexandre Najjar (n° 165973) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les shadoks de Jacques Rouxel
Références de Jacques Rouxel - Biographie de Jacques Rouxel
Plus sur cette citation >> Citation de Jacques Rouxel (n° 10750) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
A la recherche du temps perdu, La Prisonnière (1923) de Marcel Proust
Références de Marcel Proust - Biographie de Marcel Proust
Plus sur cette citation >> Citation de Marcel Proust (n° 111792) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Adversaire (2000) de Emmanuel Carrère
Références de Emmanuel Carrère - Biographie de Emmanuel Carrère
Plus sur cette citation >> Citation de Emmanuel Carrère (n° 164305) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les proverbes (1970) de Pierre Perret
Références de Pierre Perret - Biographie de Pierre Perret
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Perret (n° 170041) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Marine Le Pen, Présidentielle : Le Grand Débat, Tristan Carné, TF1, 20 mars 2017 de Marine Le Pen
Références de Marine Le Pen - Biographie de Marine Le Pen
Plus sur cette citation >> Citation de Marine Le Pen (n° 174483) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Ménagerie d'Agathe (2013) de Eric Chevillard
Références de Eric Chevillard - Biographie de Eric Chevillard
Plus sur cette citation >> Citation de Eric Chevillard (n° 143311) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Un médecin parle de la prière (1944) de Alexis Carrel
Références de Alexis Carrel - Biographie de Alexis Carrel
Plus sur cette citation >> Citation de Alexis Carrel (n° 155948) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Je m'en vais (1999) de Jean Echenoz
Références de Jean Echenoz - Biographie de Jean Echenoz
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Echenoz (n° 87962) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Terezin Plage (2011) de Morten Brask
Références de Morten Brask - Biographie de Morten Brask
Plus sur cette citation >> Citation de Morten Brask (n° 152643) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Psychologies Magazine juillet 2009 de Richard Berry
Références de Richard Berry - Biographie de Richard Berry
Plus sur cette citation >> Citation de Richard Berry (n° 155581) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
Références de Amos Oz - Biographie de Amos Oz
Plus sur cette citation >> Citation de Amos Oz (n° 158092) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Dis-moi, dis-lui de Joe Dassin
Références de Joe Dassin - Biographie de Joe Dassin
Plus sur cette citation >> Citation de Joe Dassin (n° 72015) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer

- quadrumane - Qualite - Quarantaine - Querelle - Question
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur Quand on ne sait pas ou on
Toutes les citations sur Quand on ne sait pas ou on Citation sur quand Citations courtes quand
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Thèmes populaires
Citations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
Liens
