Citation un pas en avant
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Une Sélection de 130 citations et proverbes sur le thème un pas en avant.
130 citations
On m'avait promis qu'en vieillissant je perdrais la mémoire, mais c'était faux, comme on m'avait promis à dix-sept ans qu'un jour j'apprendrais que la vie véritable était hors des livres, et c'était également faux. Je ne désespère pas de comprendre les mensonges des adultes avant ma mort.
Un vrai humoriste ne rit pas, il fait rire. Le public, qui n'est pas aussi bête qu'il le pense, n'a plus besoin de rire si l'humoriste a ri avant lui. En riant, il commet une faute professionnelle.
L'orgueil des hommes est une chose singulière, il ne se laisse pas facilement réprimer; quand on a bouché le trou A, il ressort par un autre trou B avant qu'on ait eu le temps de s'en apercevoir, et si l'on bouche celui-là, il se tient derrière le trou C.
Toute ma joie de vivre se tient dans cette tension et ce va-et-vient, ce jeu intérieur entre un mal que je sais depuis l'enfance être celui de tous les humains à la fois, à savoir de n'être que cela, humain dans un monde minéral, végétal, animal, divin, et une guérison dont personne ne voudrait, qui me priverait, en cas de réussite, de tout courage, de tout désir, de tout plaisir d'aller toujours au delà; en avant - et dont par intérêt bien compris depuis longtemps, je ne veux pas
Pour la première fois de ma vie, j'ai ressenti le sens du mot jamais. Eh bien, c'est terrible. On prononce ce mot cent fois par jour mais on ne sait pas ce qu'on dit avant d'avoir été confronté à un vrai «plus jamais».
C'est pas la vie de vivre dans un rétroviseur. La vie, faut aller la chercher où elle se trouve. En avant. Et pas faire le tri. Tout prendre. Avec appétit. Sans rougir.
Quand il faisait son entrée sur la scène domestique de sa vie, chacun pensait qu'il venait d'une autre scène où il tenait un autre rôle, celui de l'important qui court le monde, fréquente les ministres, dîne sous les lambris officiels, et qu'il le reprendrait en sortant. Mais il n'y avait pas d'autre scène, pas d'autre public devant qui jouer l'autre rôle. Dehors, il se retrouvait nu. Il retournait à l'absence, au vide, au blanc, qui n'étaient pas un accident de parcours mais l'unique expérience de sa vie. Il n'en a jamais connu d'autre, je crois, même avant la bifurcation.
Puis l'histoire des clochettes lui revint en mémoire. Les clochettes ! A l'époque victorienne, les gens redoutaient tant d'être enterrés vivants qu'il était devenu habituel d'attacher un fil à leur doigt avant la mise en terre. Un fil passé par un trou percé dans le cercueil et remontant jusqu'à l'extérieur de la tombe. Un fil auquel était attaché une clochette. Pendant sept jours un gardien faisait la ronde autour de la sépulture, à l'écoute du moindre tintement indiquant que la personne inhumée n'était pas morte...
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Certes, l'humour est destiné à susciter le rire. Mais le rire n'est pas son but, ce n'est qu'un moyen. L'humour permet avant tout de faire passer un message, souvent même à l'insu du narrateur et de son public, en le dédramatisant.
C'est en feuilletant virtuellement le site « Dicocitations » que je suis tombé sur cette surprenante déclaration qu'a faite Gérard Depardieu. Le site réunit 117 000 citations, proverbes et dictons du monde entier. Je crois pouvoir affirmer sans me tromper qu'il me serait impossible de tout citer avant les informations de 9 heures. J'aurai pu choisir une réflexion de Raymond Aron qui dit Objectivité ne signifie pas impartialité mais universalité. J'aurais pu préférer une pensée de Jean-Paul Sartre qui a dit : Le désir s'exprime par la caresse comme la pensée par le langage. J'ai privilégié une citation de Gérard Depardieu : Je pète souvent. Je pète souvent. comme un cri du coeur, un aveu, une confidence.
Ami lecteur, avant de pénétrer dans les méandres du récit, je voudrais te poser une question : Qui es-tu ? Je voudrais que tu réfléchisses un instant à ce qui fait que tu es toi. Il n’y a pas l’ombre d’un mouvement sectaire derrière cette entrée en matière, il n’y a pas de paroisse, pas de salut, pas d’enfer. Tout juste des questions, car les questions sont la vie même. Tant qu’il existera quelqu’un pour se questionner, l’humanité vivra, avancera, reculera, s’effondrera, renaîtra de ses cendres. Donc qui es-tu ?
Avant je croyais en Dieu parce que je croyais en l’Homme, aujourd’hui c’est l’inverse : je crois en l’Homme parce que je crois en Dieu. On ne peut pas vivre dans un monde qui souffre et ne rien faire. Sinon, on a vécu un coup pour rien.
Pour un homme, fût-il savant, même s'instruire et ne pas s'obstiner n'a rien d'humiliant.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Je n'avais jusqu'alors jamais ressenti le besoin de regarder un homme comme les hommes semblent regarder les femmes -ces femmes sur les couvertures glacées des magazines, les hanches en avant et la bouche brillante à moitié ouverte, ou sur les affiches- ces femmes provocatrices qui surgissent des téléviseurs pendant que leurs maris, assis dans leurs fauteuils, s'efforcent de ne pas les regarder devant leurs épouses, tout en le faisant.
C'est parce que je doute que je cherche, que je me bats, que je me force à avancer toujours un peu plus loin, que j'essaie de faire un pas de plus alors que mes pieds sont de plus en plus lourds et ma fatigue de plus en plus pesante. Mais je chercherai et agirai ainsi tant qu'il me restera un souffle de vie et le courage de m'en servir pour aller de l'avant et, peut-être, comprendre enfin...
Tout saut en avant implique au préalable un pas en arrière. Il en va de même pour la régénération de l'histoire, c'est-à-dire pour un nouveau commencement. Il faut prendre son élan.
Sur le quai de la gare, où elle a tenu à l'accompagner, tous les témoins ont vu combien il leur en coûtait de se séparer. Jusqu'au moment du départ ils sont demeurés enlacés, les bras croisés à hauteur de la taille, n'en finissant pas de se regarder, de s'embrasser, n'échangeant pas un mot, tétanisés à l'idée que bientôt un train régional allait les arracher brusquement l'un à l'autre, parvenir à scinder cette créature à deux têtes qu'ils forment sur le quai. Les quelques passagers qui attendent avec eux ont beau faire semblant de s'intéresser au trafic, de tendre l'oreille vers les haut-parleurs nasillards qui recommandent de faire attention au passage d'un train voie C ou que le train prévu à telle heure arrivera voie B, avec un retard de dix minutes environ, de se passionner pour les pigeons perchés sur le bord de la marquise, ou de dégager leur poignet pour vérifier que leur montre marque bien la même heure que l'horloge suspendue entre deux câbles deux lampadaires, on sent bien qu'ils se privent avec peine de la contemplation du beau couple, qu'ils ne demanderaient pas mieux que de s'installer sous leur nez et de compter à la trotteuse de la même montre la durée de leur baiser, ou du moins simplement les contempler, comme s'ils étaient derrière une glace sans tain, se gavant en toute impunité de cet éblouissement partagé de deux cœurs insatiables. Comme ça ne se fait pas [...], alors ils font comme les moineaux, toujours la tête en mouvement, pour capter des éclats de bonheur.
Qu'il s'agisse de lieux, d'événements, de personnes, il n'en est pas un qui ne déçoive si nous les avons souvent imaginés avant de les percevoir.
Observer des tabous, ce n'est pas forcément une régression. Ce n'est pas un pas en arrière pour la liberté d'expression, c'est un pas en avant pour l'intelligence.
Je me suis toujours tenu à distance du politique. Je m’en suis toujours méfié et je refuse les zones opaques en politique. Je viens d’adhérer au Parti breton, parce que je pense qu’il est nécessaire de faire entendre sa voix. Ce parti me semble éviter les « ismes.» J’ai beaucoup discuté avec des amis déjà au Parti breton avant d’adhérer moi-même, car je voulais savoir dans quoi je m’engageais. Connaissant l’histoire politique de la Bretagne, je préférai faire quelque chose axé vers le développement et l’avenir. Au Parti breton, j’ai trouvé des gens réalistes qui permettent l’échange, le dialogue sans extrémisme pour construire avec du sens et du bon sens. Moi je veux marcher avec mes semblables pour donner du sens. La Bretagne doit s’ouvrir et devenir un pôle tourné vers l’avenir. On ne transforme pas les choses par la violence, les frontières tomberont d’elles même le jour où les gens seront heureux. Ma devise, celle de ma famille : ne jamais renoncer. C’est aussi, un peu, celle de tous les Bretons.
Le timbre de sa voix n'était pas le même qu'avant. Les mots avaient l'air de sortir d'une boîte ancienne, d'y avoir été conservés plusieurs années, d'en sortir un par un, détachés les uns des autres, sans fluidité, comme de vieux papiers qui s'effritaient entre ses doigts à la lumière.
Que je m'appelle Albertine dans L'astragale de Brigitte Sy ou Leïla dans Les intranquilles de Joachim Lafosse, ça m'est égal, tant que le personnage n'est pas seulement défini par son prénom. Dans Le grand bain, je m'appelle Amanda, par exemple : j'étais hyper-heureuse que Gilles Lellouche pense à moi en tant qu'actrice et pas en tant que fille maghrébine. Mais je n'aurais eu aucun souci à m'appeler Samira, car ce rôle-là, c'était avant tout celui d'une femme forte.
Ma dévotion de Julia Kerninon
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Ca m'agace (2012) de Jean-Louis Fournier
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Aphorismes (1800-1806) de Georg Christoph Lichtenberg
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Coma de Pierre Guyotat
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L'élégance du hérisson (2006) de Muriel Barbery
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Les hommes cruels ne courent pas les rues (1990) de Katherine Pancol
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L'Adversaire (2000) de Emmanuel Carrère
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La maison du clair de lune (1996) de Mary Higgins Clark
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La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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La culture générale en jeux (2015) de Didier Hallépée
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Je veux être futile à la France (2013), 14 décembre 2012 de François Morel
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Loin (2021) de Alexis Michalik
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Interview par Philippe Dupuy, 19 septembre 2010, « Je veux sauver la planète », Corse Matin
de Robert Hossein
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Antigone, 710 de Sophocle
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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À Suspicious River(1996) de Laura Kasischke
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Les défricheurs d’Éternité (2000) de Claude Michelet
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Dernière Année. Notes pour conclure le siècle (1999) de Alain de Benoist
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La Femme promise (2009) de Jean Rouaud
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Proust, les horreurs de l'amour (2008) de Nicolas Grimaldi
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Dans Le Nouvel Obs, 7 février 2006 de Jean Plantureux, dit Plantu
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Entretien publié en janvier 2012 sur 7seizh.info de Jean-Yves Lafesse
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Un amour impossible (2015) de Christine Angot
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Entretien, numéro 823 de Marie Claire, avril 2021. de Leïla Bekhti
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