Citation car tant
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Une Sélection de 200 citations et proverbes sur le thème car tant.
200 citations
Ami lecteur, avant de pénétrer dans les méandres du récit, je voudrais te poser une question : Qui es-tu ? Je voudrais que tu réfléchisses un instant à ce qui fait que tu es toi. Il n’y a pas l’ombre d’un mouvement sectaire derrière cette entrée en matière, il n’y a pas de paroisse, pas de salut, pas d’enfer. Tout juste des questions, car les questions sont la vie même. Tant qu’il existera quelqu’un pour se questionner, l’humanité vivra, avancera, reculera, s’effondrera, renaîtra de ses cendres. Donc qui es-tu ?
Ce qui fait la grandeur d'un roman, c'est aussi la manière dont la psychologie des personnages y est travaillée. C'est important car le destin des personnages est sans doute ce qui nous reste en mémoire.
Car voilà pourtant où nous en sommes, et il est inouï de penser que sur trois expéditionnaires, l'un soit fou, le deuxième gâteaux et le troisième à l'enterrement. Ca à l'air d'une plaisanterie nous nageons en pleine opérette !
Au zoo, le léopard longe son enclos et te contemple au travers de barreaux ou derrière un fossé infranchissable en méprisant ton infériorité, ton besoin d'installer entre lui et toi une barrière. En cet instant, chacun sait de quoi il retourne car, pour être non verbal, le message n'en est pas moins clair: le léopard est le prédateur et tu es la proie, et ton sentiment de supériorité et de sécurité, tu ne le dois, humain que tu es, qu'à cette barrière. Face à la cage du léopard, ce sentiment se teinte de honte, devant la puissance hautaine de l'animal, sa morgue, sa piètre estime de ta personne.
On ne peut pas être vraiment soi qu'aussi longtemps qu'on est seul; qui n'aime donc pas la solitude n'aime pas la liberté, car on n'est libre qu'étant seul.
Il m'éblouit, il goûte le bonheur des dieux cet homme qui devant toi prend place et près de toi écoute, captivé, la douceur de ta voix.
Ah ! ce désir d'aimer qui passe dans ton rire. Et c'est bien pour cela qu'un spasme étreint mon cœur dans ma poitrine. Car si je te regarde, même un instant, je ne puis plus parler.
Mais d'abord ma langue est brisée, un feu subtil soudain a couru en frisson sous ma peau, mes yeux ne me laissent plus voir, un sifflement tournoie dans mes oreilles.
Une sueur glacée couvre mon corps, et je tremble, tout entière possédée, et je suis plus verte que l'herbe. Me voici presque morte, je crois.
Mais il faut tout risquer... puisque...Volontarisme, aristocratisme et esthétisme, autant de vertus inactuelles, au sens de Nietzsche, car cette époque est tout entière faite d'avachissement, d'uniformité et de laideur.
Considérez mes livres. Vous les connaissez, vous en avez souvent usé. Comme moi, vous les aimez comme des personnes. Ils me sont si familiers qu'au toucher seul je les pourrais reconnaître. Leur odeur même à chacun m'est familière. Et puis, eux, ils sont immortels et assurés de leur éternité. Ils continueront à vivre, glissant de main en main, immuables et sereins, transmettant le savoir et la sagesse. Immortels, oui, car qui pourrait envisager de détruire un livre ?
Mon vote n’intéressera que moi car je redeviens ce soir (…) un simple citoyen. Mais puisque vous avez été assez intelligents au point de nous choisir malgré tant de difficultés, je vous fais totalement confiance pour faire votre choix dans quinze jours.
Les boeufs ? Les flics, si vous préférez. Oui, car si chez nous le flic est un poulet, au Québec c'est un boeuf. Et en Angleterre, c'est un pig, un cochon. C'est comme ça. Nous n'avons pas la même lecture zoomorphique du représentant de l'ordre.
A la guerre il est important de savoir reconnaître l'ennemi. Car, sans ennemi, la guerre est ridicule.
Ce qui touche le plus les femmes, n'est-ce pas de rencontrer en nous des délicatesses gracieuses, des sentiments exquis autant que le sont les leurs; car chez elles la grâce et la délicatesse sont les indices du vrai.
L'instant décisif de l'évolution humaine dure toujours. C'est pourquoi les mouvements spirituels et révolutionnaires, qui déclarent nul tout ce qui fut jadis, le font à juste titre, car rien encore ne s'est produit.
Tous, quand nous avons un peu de loisir et d'argent, nous voyageons, ou plutôt nous fuyons, car il ne s'agit pas tant de voyager que de partir, entendez-vous? Quel est celui de nous qui n'a pas quelque douleur à distraire ou quelque joug à secouer?
L'enfer est dans l'ici et le maintenant. De même que le ciel. Cesse de t'inquiéter de l'enfer ou de rêver le ciel, car ils sont tous les deux présents dans cet instant précis.
Nous avions tant de choses à échanger. Je m'endormis, ce soir-là, enveloppé par la douceur de son absence. Car l'absence, bien sûr, n'est rien d'autre qu'une présence obsédante.
Le rêve est souvent significatif et prophétique, car c'est une action de l'âme de la nature. Il repose par conséquent sur un ordre d'association. Il est aussi significatif que la poésie - sa signification étant désordonnée, il est entièrement libre.
Mon entrée parmi les Immortels a été un moment très important car il n’y avait jamais eu d’académicien couturier. Je serais peut-être le seul. Mais je pense que ce n’est pas le couturier qui a été élu sous la coupole, mais l’homme.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Ma vie a passé à expier les horreurs du colonialisme. J'ai beaucoup de mérite à être militant antiraciste, car j'ai passé mon temps à me castagner avec les Arabes.
Et tous les autres dont les visages plus lointains sont là dans l'ombre. Le temps est venu où les répertoires sont pleins d'adresses dont on ne poussera plus jamais la porte, de numéros de téléphone qu'on ne composera plus jamais - mais les rayer serait une profanation. Ces inscriptions sont comme les fantômes qui marquent dans les bibliothèques la place des livres absents. Cela fait des années que ça a commencé, ce lent effacement du monde, et la disparition des proches qui au début me semblait une effraction scandaleuse du néant dans la vie a pris désormais, tout en restant aussi choquante, la forme de l'inéluctable et presque de l'habituel. Il me semble que je dois en parler, même si je me suis promis d'exclure autant que possible l'intime de ce récit, ou de ne l'évoquer que lorsque c'est le monde extérieur qui le suscite, car cette attrition du territoire de l'amitié est une des raisons du mouvement qui m'emporte loin sur les routes du vaste monde : je m'éloigne d'un monde peu à peu, opiniâtrement déserté. Mes amis morts, dont l'absence me pèse, me font de plus en plus léger, une plume prête à s'envoler, un "bateau frêle comme un papillon de mai.". Ce livre est un livre sur le monde et sur l'éloignement du monde
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Car si tu es réellement pour moi un ange, je veux te traiter avec autant de respect que ma propre vie.
Car il faut faire tout le mal d'un coup afin que moins longtemps le goûtant, il semble moins amer, et le bien petit à petit afin qu'on le savoure mieux.
A chaque instant correspond aussi quelque chose qui est hors du temps. A l'ici-bas ne peu succéder aucun au-delà, car l'au-delà est éternel, il ne peut donc pas avoir de contact temporel avec l'ici-bas.

Alexis Michalik
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