Citation je ne regarde
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Une Sélection de 120 citations et proverbes sur le thème je ne regarde.
120 citations
Je ne sais pas parler de la mer. Tout ce que je sais, c'est qu'elle me débarrasse soudain de toutes mes obligations. Chaque fois que je la regarde, je deviens un noyé heureux.
Mon deal avec la mort ne regarde personne. Que je reboive et que je refume, c'est mon problème.
Le fait est que ma pauvreté avait aiguisé en moi certaines facultés au point de me valoir de véritables désagréments, oui je l’assure, de véritables désagréments, hélas ! Mais cela avait aussi des avantages, cela me venait en aide dans certaines situations. Le pauvre intelligent était un observateur bien plus fin que le riche intelligent. Le pauvre regarde autour de soi à chaque pas qu’il fait, épie soupçonneusement chaque parole qu’il entend dire aux gens qu’il rencontre ; chaque pas qu’il fait lui-même impose à ses pensées et à ses sentiments un devoir, une tâche.
La vérité ne m'aime pas. Dès que je la dis, elle change de figure et se retourne contre moi. J'ai l'air de mentir et tout le monde me regarde de travers. Et pourtant je suis simple et je n'aime pas le mensonge. Je le jure.
J’ai tellement de beaux souvenirs. J’y repense quelquefois sans nostalgie, je ne regarde pas vraiment dans le rétroviseur.
J'aime penser que la lune est là même si je ne la regarde pas.
Chaque après-midi, quand le jour décline, je suis à la poupe du navire, et je regarde le sillage qui brille. C'est l'instant que je préfère, quand tout est paisible, et le pont désert, à part le timonier et un marin qui surveille la mer.
Ma bibliothèque est comme un tonneau, au choix à moitié vide ou à moitié pleine. Je la regarde heureux, en savourant tout ce qui me reste à lire. Ou malheureux, en me disant que je ne vivrai sûrement pas assez longtemps pour avoir tout lu.
Ma mère nous fait photographier pour pouvoir nous voir, voir si nous grandissons normalement. Elle nous regarde longuement comme d'autres mères, d'autres enfants. Elle compare les photos entre elles, elle parle de la croissance de chacun. Personne ne lui répond. Ma mère ne fait photographier que ses enfants. Jamais rien d'autre. Je n'ai pas de photographie de Vinhlong, aucune, du jardin, du fleuve, des avenues droites bordées des tamariniers de la conquête française, aucune, de la maison, de nos chambres
Il y a longtemps que je ne suis pas allé en forêt. Je n'aime pas beaucoup ces zones inhumaines, je préfère rester à distance, sur la route, près des maisons, de la lumière. Ce qui me met mal à l'aise, ce qui - soyons honnête - me fait peur, ce ne sont pas les arbres, qui n'ont jamais fait de mal à personne, qui poussent tranquillement depuis toujours, ce n'est pas non plus la vie secrète qui s'y cache, les bêtes, invisibles mais sans doute innombrables, les oiseaux, les vers, les insectes, tout ce qui grouille, les limaces, les rongeurs (les loups ?) dissimulés dans les feuillages et l'ombre, je n'ai pas peur d'un écureuil ou d'un hibou - non, ce qui m'inquiète et me maintient à l'écart, c'est au contraire l'absence de vie perceptible, d'humanité, quand on regarde de l'extérieur (en voiture par exemple, ou derrière la vitre d'un train qui passe), le silence qu'on imagine, l'immobilité apparente de cet enclos vert figé, si vaste, rien ne bouge là-dedans depuis des années, des siècles, de loin on peut même supposer que rien n'y respire. Et à l'intérieur, dans le vert, il n'y a pas de témoin.
J’ai tant regardé la rivière
et le soleil
et le doux ciel,
que j’ai lâché mon roseau vert.
Il est allé dans l’eau si claire,
il est allé jusqu’à la mer !
J’ai voulu cueillir aussitôt
un autre roseau si beau,
mais je me suis coupée aux herbes,
mes cheveux ont traîné dans l’eau...
(Ah ! rendez-moi donc mon roseau
et ma prairie et ma rivière !)
J’ai vu passer le fils du roi ;
il m’a dit : « Ma belle, pourquoi,
le long de la jolie rivière,
pourquoi pleures-tu là ? »
Ha ! Ha !
C’était le fils du roi.
Il m’a dit : « Viens avec moi,
et si tu veux tu seras reine.
Tu auras pour filer la laine
un rouet d’or, et un fuseau
aussi léger qu’un os d’oiseau !»
Las! je suis reine et prisonnière
dans un royaume merveilleux.
Mon cœur, mon cœur a tant de peine,
pleurez, pleurez, mes yeux.
Où sont mes sœurs et ma rivière ?
J’ai perdu mon roseau vert.Je regarde les visages inexpressifs des autres passagers qui soulèvent leurs porte-documents, leurs sacs à dos, et traînent des pieds pour débarquer et je pense à ce qu’a dit Hobie : la beauté modifie le grain de la réalité. Je continue aussi de penser à la sagesse plus conventionnelle : à savoir que la poursuite de la beauté pure est un piège, une voie rapide menant à l’amertume et au chagrin, parce que la beauté doit être associée à quelque chose de plus profond.
Ce qui compte quand on regarde une photo, c'est le photographe derrière. Pas tellement celui qui a appuyé sur le déclencheur mais celui qui a choisi la photo, qui a dit celle-là je la garde, je la montre.
Je ne me regarde pas sans surprise. Ce qui me frappe d'abord, c'est mon inutilité, et pourtant, je n'arrive pas à me persuader que je n'arriverai jamais à rien.
Papa est toujours sur sa planète. J'essaye de le faire rire en imitant le singe heureux de retrouver la jungle. Il dit "non" avec sa tête. Bon. Sur sa planète, on ne rit pas. Alors je m'approche de lui et je lui prends sa main dans laquelle je dépose un baiser d'amour. Rien à voir avec la langue de Franklin. On fait ça le dimanche quand on regarde des DVD à la télé. Entre deux films, papa et moi on dépose des baisers d'amour au creux des mains. Je me suis assis sur mes talons, la tête sur les jambes, et j'attends qu'il me caresse la tête. Je suis prêt à rester des heures. Je veux juste qu'il abandonne un instant sa planète pour la mienne. Et sa main, un peu hésitante, se pose sur mes cheveux, ses yeux gris laissent sortir la tempête, de grosses gouttes qui me tombent dessus et coulent sur mes joues, comme si on pleurait tous les deux, un goût de mer chaude, sans le sable et les transats bleu et blanc.
Au jugement de la vie d'autrui, je regarde toujours comment s'en est porté le bout; et des principaux études de la mienne, c'est qu'il se porte bien, c'est-à-dire quiètement et sourdement.
« On ne va quand même pas croire à ces conneries », ai-je entendu. Il faut bien y croire puisque c’est là, puisque nous voilà cloîtrés, calfeutrés. Puisque jamais l’avenir n’a paru aussi incertain. Nous sommes confinés. J’écris cette phrase mais elle ne veut rien dire. Il est 6 heures du matin, le jour pointe à peine, le printemps est déjà là. Sur le mur qui me fait face, le camélia a fleuri. Je me demande si je n’ai pas rêvé. Ça ne peut pas être. Cela ressemble aux histoires qu’on invente à Hollywood, à ces films que l’on regarde en se serrant contre son amoureux, en cachant son visage dans son cou quand on a trop peur. C’est le réel qui est de la fiction.
Je regarde à nouveau mes mains. Elles sont fragiles comme des ailes blanches brisées dans la poigne froide d'un homme à genoux sur le parking lisse et trempé de la clinique.
Quand je regarde une poitrine de femme, je vois double.
Des images, on en a plein les yeux. Je le sais parce que j'ai internet, pour bavarder avec mes petits-enfants. On ne les regarde même plus. Ce qu'il y a derrière, la vérité des corps, l'amour ou l'oppression, on s'en fiche.
Tant d'années se sont écoulées depuis qu'elle est morte ! Où es tu, maintenant, petite mère ? Au ciel, sur la terre ? Je suis ici, loin de toi. Je serais plus à l'aise, si j'avais été plus près de toi ; au moins, aurais je regardé ton monument, touché ta pierre. Ah ! maman. Je ne peux plus prier et je pleure de plus en plus rarement. Mais mon âme pense à toi, à moi, et ma pensée se consume dans le chagrin.
C'est une sensation curieuse, quand je sors dans la rue maintenant. Parfois les gens se poussent du coude en disant : « N'est-ce pas Romy Schneider ?» Et ils me dévisagent. C'est agréable et agaçant à la fois. Je me sens tiraillée. Une fois je suis fière, une autre fois j'aimerais m'asseoir dans un bistrot et manger une saucisse sans que personne ne me regarde et ne m'examine pour voir comment je m'y prends et si je me tiens bien à table. Ou si au contraire je me tiens mal et pourquoi.
Pourquoi voyager ? Je regarde la télévision et je vois que toutes les villes ressemblent à toutes les villes. Les grands immeubles en béton, ici, à cent mètres de chez moi, je les retrouve partout, au Brésil, en Argentine, au Pérou, aux Indes, partout c'est la même chose.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.J'aurai recours à la médecine le plus tard que faire se pourra; je la regarde comme la soeur presque jumelle de la métaphysique, par son incertitude.
La Promesse de l'aube (1960) de Romain Gary
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Pensées, provocs et autres volutes (2006) de Serge Gainsbourg
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La Faim (1890) de Knut Hamsun
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Le menteur de Cocteau de Jean Cocteau
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Interview Le Figaro, 7 février 2020 de Annie Cordy
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Sans référence de Albert Einstein
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Le Chercheur d'or (1985) de J. M. G. Le Clézio
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Les rencontres des jours, 1992-1993 (1995) de Claude Orland, dit Claude Roy
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L'Amant (1984) de Marguerite Duras
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Au printemps des monstres (2021) de Philippe Jaenada
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Petites voix (1930) de Madeleine Ley
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Le Chardonneret (2013) de Donna Tartt
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Babylone (2016) de Yasmina Reza
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Journal, 9 octobre 1894 de Jules Renard
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Au pays des kangourous (2012) de Gilles Paris
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Essais, I, 19 de Michel de Montaigne
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Le « Journal du confinement » de Leïla Slimani (2020) de Leïla Slimani
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À Suspicious River(1996) de Laura Kasischke
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Journal, 12 février 1898 de Jules Renard
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Portrait d'après blessure (2014) de Hélène Gestern
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Ma vie de Marc Chagall
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Moi, Romy (1990) de Romy Schneider
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Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Lettre au roi de Prusse, 17 septembre 1764 de Jean le Rond d'Alembert
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