La définition de Hiéroglyphé, ée du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Hiéroglyphé, ée
Nature : adj.
Prononciation : i-é-ro-gli-fé, fée
Etymologie : Terme dérivé du mot grec signifiant sacré, et verbe grec traduit par graver.

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de hiéroglyphé, ée de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec hiéroglyphé, ée pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Hiéroglyphé, ée ?


La définition de Hiéroglyphé, ée

Néologisme. Marqué d'hiéroglyphes.


Toutes les définitions de « hiéroglyphé, ée »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

HIÉROGLYPHE. n. m.
T. d'Archéologie. Nom donné aux caractères dont se servaient les anciens Égyptiens pour exprimer leur pensée. Il ne s'applique avec exactitude qu'aux Seuls caractères sacrés, sculptés ou peints, représentant des objets naturels; mais on l'étend à Tout le système d'écriture des Égyptiens. Un monument couvert d'hiéroglyphes. Déchiffrer, traduire des hiéroglyphes. Il se dit quelquefois, figurément et familièrement, d'un Style, d'une écriture, d'un langage difficile à comprendre.

Littré

HIÉROGLYPHE (i-é-ro-gli-f') s. m.
  • Nom donné aux signes que les Égyptiens employaient pour exprimer leurs idées par l'écriture. Les caractères qui, dès l'origine, composèrent le système entier de l'écriture sacrée, furent des imitations plus ou moins exactes d'objets existants dans la nature?; ces caractères, consistant en images de choses réelles, reproduites dans leur ensemble ou dans quelques-unes de leurs parties, reçurent des anciens auteurs le nom de caractères sacrés, et, plus particulièrement, celui de caractères sacrés sculptés?; de là est dérivé le nom d'hiéroglyphes ou de caractères hiéroglyphiques qu'on leur a conservé jusqu'à notre temps, Champollion, Gramm. égypt. p. 1. Le nom d'hiéroglyphes ne doit, à la rigueur, être appliqué qu'aux seuls caractères sacrés, sculptés ou peints, représentant des objets naturels dessinés ou sculptés avec quelque soin, ID. ib.

    Hiéroglyphes linéaires, méthode abréviative de figurer les hiéroglyphes, qui consiste à réduire le dessin de l'objet à de simples lignes.

    Par extension. À M. M. M. M. madame? ces quatre lettres hiéroglyphiques vous embarrasseront aussi bien que les autres?, Corneille, Andr. Dédic.

    Fig. Ce sont des hiéroglyphes pour moi, c'est-à-dire c'est une chose à laquelle je ne comprends rien.


REMARQUE

Chateaubriand a aspiré l'h, mais à tort. Une statue de bronze? dont la base soit chargée de hiéroglyphes, Chateaubriand, Gén. I, II, 2.


SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

HIÉROGLYPHE. Ajoutez?:
2Il s'est dit pour symbole. Les lis, qui sont des hiéroglyphes de la pureté, Guillet de St-Georges, dans Mém. inéd. sur l'Acad. de peint. publ. par Dussieux, etc. t. II, p. 72.
3Nom donné à des taches sur la tête des vipères?; ces taches imitent des lettres.

REMARQUE

L'exemple cité de l'Andromède de Corneille appartient à hiéroglyphique et non à hiéroglyphe.

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Encyclopédie, 1re édition

HIÉROGLYPHE, s. m. (Arts antiq.) écriture en peinture ; c'est la premiere méthode qu'on a trouvée de peindre les idées par des figures. Cette invention imparfaite, défectueuse, propre aux siecles d'ignorance, étoit de même espece que celle des Méxiquains qui se sont servi de cet expédient, faute de connoître ce que nous nommons des lettres ou des caracteres.

Plusieurs anciens & presque tous les modernes ont cru que les prêtres d'Egypte inventerent les hiéroglyphes, afin de cacher au peuple les profonds secrets de leur science. Le P. Kircher en particulier a fait de cette erreur le fondement de son grand théâtre hiéroglyphique, ouvrage dans lequel il n'a cessé de courir après l'ombre d'un songe. Tant s'en faut que les hiéroglyphes ayent été imaginés par les prêtres égyptiens dans des vues mystérieuses, qu'au contraire c'est la pure nécessité qui leur a donné naissance pour l'utilité publique ; M. Warburthon l'a démontré par des preuves évidentes, où l'érudition & la philosophie marchent d'un pas égal.

Les hiéroglyphes ont été d'usage chez toutes les nations pour conserver les pensées par des figures, & leur donner un être qui les transmît à la postérité. Un concours universel ne peut jamais être regardé comme une suite, soit de l'imitation, soit du hazard ou de quelque évenement imprévu. Il doit être sans doute considéré comme la voix uniforme de la nature, parlant aux conceptions grossieres des humains. Les Chinois dans l'orient, les Mexiquains dans l'occident, les Scythes dans le nord, les Indiens, les Phéniciens, les Ethiopiens, les Etruriens ont tous suivi la même maniere d'écrire, par peinture & par hiéroglyphes ; & les Egyptiens n'ont pas eû vraissemblablement une pratique différente des autres peuples.

En effet, ils employerent leurs hiéroglyhes à dévoiler nuement leurs loix, leurs réglemens, leurs usages, leur histoire, en un mot tout ce qui avoit du rapport aux matieres civiles. C'est ce qui paroît par les obélisques, par le témoignage de Proclus, & par le détail qu'en fait Tacite dans ses Annales, liv. II. ch. lx. au sujet du voyage de Germanicus en Egypte. C'est ce que prouve encore la fameuse inscription du temple de Minerve à Saïs, dont il est tant parlé dans l'antiquité. Un enfant, un vieillard, un faucon, un poisson, un cheval-marin, servoient à exprimer cette sentence morale : « Vous tous qui entrez dans le monde & qui en sortez, sachez que les dieux haïssent l'impudence ». Ce hiéroglyphe étoit dans le vestibule d'un temple public ; tout le monde le lisoit, & l'entendoit à merveille.

Il nous reste quelques monumens de ces premiers essais grossiers des caracteres égyptiens dans les hiéroglyphes d'Horapollo. Cet auteur nous dit entr'autres faits, que ce peuple peignoit les deux piés d'un homme dans l'eau, pour signifier un foulon, & une fumée qui s'élevoit dans les airs, pour désigner du feu.

Ainsi les besoins secondés de l'industrie imaginerent l'art de s'exprimer : ils prirent en main le crayon ou le ciseau, & traçant sur le bois ou les pierres des figures auxquelles furent attachées des significations particulieres, ils donnerent en quelque façon la vie à ce bois, à ces pierres, & parurent les avoir doués du don de la parole. La représentation d'un enfant, d'un vieillard, d'un animal, d'une plante, de la fumée ; celle d'un serpent replié en cercle, un ?il, une main, quelque autre partie du corps, un instrument propre à la guerre ou aux arts, devinrent autant d'expressions, d'images, ou, si l'on veut, autant de mots qui, mis à la suite l'un de l'autre, formerent un discours suivi.

Bien-tôt les Egyptiens prodiguerent par-tout les hiéroglyphes : leurs colonnes, leurs obélisques, les murs de leurs temples, de leurs palais, & de leurs sépultures, en furent surchargés. S'ils érigeoient une statue à un homme illustre, des symboles tels que nous les avons indiqués, ou qui leur étoient analogues, taillés sur la statue même, en traçoient l'histoire. De semblables caracteres peints sur les momies, mettoient chaque famille en état de reconnoître le corps de ses ancêtres ; tant de monumens devinrent les dépositaires des connoissances des Egyptiens.

Ils employerent la méthode hiéroglyphique de deux façons, ou en mettant la partie pour le tout, ou en substituant une chose qui avoit des qualités semblables, à la place d'une autre. La premiere espece forma l'hiéroglyphe curiologique, & la seconde, l'hiéroglyphe tropique : la lune, par exemple, étoit quelque fois représentée par un demi-cercle, & quelquefois par un cynocéphale. Le premier hiéroglyphe est curiologique, & le second tropique ; ces sortes de hiéroglyphes étoient d'usage pour divulguer ; presque tout le monde en connoissoit la signification dès la tendre enfance.

La méthode d'exprimer les hiéroglyphes tropiques par des propriétés similaires, produisit des hiéroglyphes symboliques, qui devinrent à la longue plus ou moins cachés, & plus ou moins difficiles à comprendre. Ainsi l'on représenta l'Egypte par un crocodile, & par un encensoir allumé, avec un c?ur dessus. La simplicité de la premiere représentation donne un hiéroglyphe symbolique assez clair ; le rafinement de la derniere offre un hiéroglyphe symbolique vraiment énigmatique.

Mais aussi-tôt que par de nouvelles recherches, on s'avisa de composer les hiéroglyphes d'un mystérieux assemblage de choses différentes, ou de leurs propriétés les moins connues, alors l'énigme devint inintelligible à la plus grande partie de la nation. Aussi quand on eut inventé l'art de l'écriture, l'usage des hiéroglyphes se perdit dans la société, au point que le public en oublia la signification. Cependant les prêtres en cultiverent précieusement la connoissance, parce que toute la science des Egyptiens se trouvoit confiée à cette sorte d'écriture. Les savans n'eurent pas de peine à la faire regarder comme propre à embellir les monumens publics, où l'on continua de l'employer ; & les prêtres virent avec plaisir, qu'insensiblement ils resteroient seuls dépositaires d'une écriture qui conservoit les secrets de la religion.

Voilà comme les hiéroglyphes, qui devoient leur naissance à la nécessité, & dont tout le monde avoit l'intelligence dans les commencemens, se changerent en une étude pénible, que le peuple abandonna pour l'écriture, tandis que les prêtres la cultiverent avec soin, & finirent par la rendre sacrée. Voyez les articles Écriture, & Écriture des Egyptiens.

Mais je n'ai pas tout dit ; les hiéroglyphes furent la source du culte que les Egyptiens rendirent aux animaux, & cette source jetta ce peuple dans une espece d'idolatrie. L'histoire de leurs grandes divinités, celle de leurs rois, & de leurs législateurs, se trouvoit peinte en hiéroglyphes, par des figures d'animaux, & autres représentations ; le symbole de chaque dieu étoit bien connu par les peintures & les sculptures que l'on voyoit dans les temples, & sur les monumens consacrés à la religion. Un pareil symbole présentant donc à l'esprit l'idée du dieu, & cette idée excitant des sentimens religieux, il falloit naturellement que les Egyptiens dans leurs prieres, se tournassent du côté de la marque qui servoit à le représenter.

Cela dut sur-tout arriver, depuis que les prêtres égyptiens eurent attribué aux caracteres hiéroglyphiques, une origine divine, afin de les rendre encore plus respectables. Ce préjugé qu'ils inculquerent dans les ames, introduisit nécessairement une dévotion relative pour ces figures symboliques ; & cette dévotion ne manqua pas de se changer en adoration directe, aussi-tôt que le culte de l'animal vivant eût été reçû. Ne doutons pas que les prêtres n'ayent eux-mêmes favorisé cette idolatrie.

Enfin, quand les caracteres hiéroglyphiques furent devenus sacrés, les gens superstitieux les firent graver sur des pierres précieuses, & les porterent en façon d'amulete & de charmes. Cet abus n'est guere plus ancien que le culte du dieu Séraphis, établi sous les Ptolomés : certains chrétiens natifs d'Egypte, qui avoient mêlé plusieurs superstitions payennes avec le Christianisme, sont les premiers qui firent principalement connoître ces sortes de pierres, qu'on appelle abraxas ; il s'en trouve dans les cabinets des curieux, & on y voit toutes sortes de caracteres hiéroglyphiques.

Aux abraxas ont succedé les talismans, espece de charmes, auxquels on attribue la même efficace, & pour lesquels on a aujourd'hui la plus grande estime dans tous les pays soumis à l'empire du grand-seigneur, parce qu'on y a joint comme aux abraxas, les rêveries de l'Astrologie judiciaire.

Nous venons de parcourir avec rapidité tous les changemens arrivés aux hiéroglyphes depuis leur origine jusqu'à leur dernier emploi ; c'est un sujet bien intéressant pour un philosophe. Du substantif hiéroglyphe, on a fait l'adjectif hiéroglyphique. (D. J.)

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Wiktionnaire


Nom commun - français

hiéroglyphe \je.??.?lif\ masculin

  1. (Égyptologie) Symbole linguistique utilisant le dessin et la représentation symbolique du temps de l'Égypte antique.
    • Chez d'autres, on a saisi les premiers linéaments de la civilisation qui apparaît plus développée chez les Mexicains : par exemple, le commencement d'un système idéographique qui est comme l'embryon des hiéroglyphes nahuatles. (Louis Ferdinand Alfred Maury, La Terre et l'homme ; ou, Aperçu historique de géologie, de géographie et d'ethnologie générales, L. Hachette, Paris, 1857, page 391)
    • C'est pour ce motif que l'hiéroglyphe de l'obélisque [?] s'emploie, dans l'orthographe des basses-époques, pour écrire le nom d'Ammon (F. Chabas, Traduction complète des inscriptions hiéroglyphiques de l'obélisque de Louqsor, Maisonneuve et Cie, 1868, page 3)
    • Une transcription de l'hiératique en hiéroglyphes a été publiée en 1913. (Dalia Hamam, L'ancien Papyrus Ebers, progres.net.eg, 21 janvier 2021)
  2. (Figuré) (Familier) Style, écriture, langage difficile à comprendre.
  3. (Paléontologie, Sédimentologie) Trace en relief que l'on trouve à la base des bancs de sable fossilisés qui peut être due, ou non, à une activité biologique.
    • En observant de près la roche, on s'aperçoit qu'elle est couverte d'hiéroglyphes venant d'une forte activité de fouisseurs.
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Trésor de la Langue Française informatisé


HIÉROGLYPHE, subst. masc.

A. ? LINGUISTIQUE
1. Caractère sacré de l'écriture égyptienne antique, à valeur figurative, idéographique ou phonétique. Alphabet des hiéroglyphes phonétiques; monument, tombeau couvert de hiéroglyphes; déchiffrer, interpréter, traduire des hiéroglyphes. Les hiéroglyphes étoient une écriture de contours, un dessin des objets (Bonald, Législ. primit., t. 1, 1802, p. 251).Jusque sur les granits de Mezraïm, Champollion a déchiffré ces hiéroglyphes qui semblaient être un sceau mis sur les lèvres du désert, et qui répondait de leur éternelle discrétion (Chateaubr., Mém., t. 4, 1848, p. 603) :
1. L'hiéroglyphe simplifié restait encore l'hiéroglyphe (...). Vous savez comment les Égyptiens mêlaient dans leurs hiéroglyphes (...) les signes représentant des idées aux signes représentant des sons. A. France, Jard. Épicure,1895, p. 186.
2. P. ext. Signe d'une écriture qui fait usage de figures. Synon. emblème, idéogramme, signe.Hiéroglyphes hittites, mayas, mexicains. Les hiéroglyphes des manuscrits du Mexique et des bas-reliefs péruviens, leur vie géométrique, leur raideur de jeux de patience (Faure, Hist. art,1912, p. 239).
B. ? Au fig.
1. Au plur., fam. Style, écriture, langage difficile ou impossible à déchiffrer, à comprendre. La connaissance que je possédais de l'écriture de Lambert me permit, à l'aide du temps, de déchiffrer les hiéroglyphes de cette sténographie créée par l'impatience et par la frénésie de la passion (Balzac, L. Lambert,1832, p. 143).Gros cahiers de commerce rayés de rouge et chargés d'hiéroglyphes bizarres (A. Daudet, Pt Chose,1868, p. 318) :
2. Du moins, en passant des années à débrouiller le grimoire laissé par Vinteuil, en établissant la lecture certaine de ces hiéroglyphes inconnus, l'amie de Mlle Vinteuil eut la consolation d'assurer au musicien dont elle avait assombri les dernières années une gloire immortelle et compensatrice. Proust, Prisonn.,1922, p. 262.
2. Souvent au plur., littér. Chose obscure, énigmatique. Baudelaire avait déchiffré dans les hiéroglyphes de l'âme le retour d'âge des sentiments et des idées (Huysmans, À rebours,1884, p. 253).Souvent ces images-intuitions (...) prennent facilement l'allure de clés capables de déchiffrer l'hiéroglyphe du monde (Ruyer, Esq. philos. struct.,1930, p. 305).
REM. 1.
Hiéroglyphé, -ée, adj.Couvert de hiéroglyphes. Un petit papier hiéroglyphé de signes et de chiffres multicolores (Murger, Scènes vie boh.,1851, p. 111).
2.
Hiéroglyphie, subst. fém.,hapax. Graphie, inscription en hiéroglyphes. La Concorde est lointaine et ses hiéroglyphies (Queneau, Si tu t'imagines,1952, p. 209).
3.
Hiéroglyphié, -ée, adj.,hapax. Transformé en hiéroglyphe, en énigme. Pourquoi la toilette serait-elle donc toujours le plus éloquent des styles, si elle n'était pas réellement tout l'homme, l'homme avec ses opinions politiques, l'homme avec le texte de son existence, l'homme hiéroglyphié? (Balzac, ?uvres div., t. 2, 1830, p. 180).
4.
Hiéroglyphite, subst. masc.,hapax. Sage égyptien au service de Pharaon, versé dans la science des hiéroglyphes. « (...). Qu'on fasse venir (...) mes hiéroglyphites. » (...) c'étaient des personnages d'un aspect formidable et mystérieux, la tête rasée, chaussés de souliers de byblos, vêtus de longues robes de lin, tenant en main des bâtons gravés d'hiéroglyphes (Gautier, Rom. momie,1858, p. 324).
Prononc. et Orth. : [je? ?glif]. Init. asp. ds Pt Rob. 1977. Att. ds Ac. dep. 1694, hieroglyphe (1694-1740), puis hiéro-. Étymol. et Hist. 1546 « caractère des anciennes écritures égyptiennes » (J. Martin, trad. de F. Colonna, Discours du songe de Poliphile, fo21 vods Quem. DDL t. 12); 1689 fig. « écriture impossible à déchiffrer » (Ch. de Sévigné ds Lettres de Mme de Sévigné, éd. M. Monmerqué, t. 9. p. 76). Dér. régr. de hiéroglyphique*. Fréq. abs. littér. : 222. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 408, b) 531; xxes. : a) 141, b) 225. Bbg. David (M.). L'Emploi du terme hiéroglyphe au 18es. Cr. du Groupe Ling. d'Ét. Chamito-sémitiques. 1954/57, t. 7, pp. 98-101. Quem. DDL t. 12.


Hiéroglyphé, ée au Scrabble


Le mot hiéroglyphé, ée vaut 31 points au Scrabble.

hieroglyphe--ee

Informations sur le mot hieroglyphe--ee - 13 lettres, 6 voyelles, 7 consonnes, 9 lettres uniques.

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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 15h23










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