La définition de Botter du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Botter
Nature : v. a.
Prononciation : bo-té
Etymologie : Botte 2.

Voir les citations du mot BotterSignification du mot Botter


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de botter de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec botter pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Botter ?


La définition de Botter

Fournir des bottes ; faire des bottes à quelqu'un. Botter un régiment de cavalerie.


Toutes les définitions de « botter »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

BOTTER. v. tr.
Pourvoir quelqu'un de bottes, à sa mesure, soit en les lui fabriquant, soit simplement en les lui vendant. Quel est le cordonnier qui vous botte? Je me suis botté à ce magasin. Il signifie aussi Chausser quelqu'un avec des bottes. Venez me botter. Je vais me botter. Fig. et fam., C'est un singe botté, il a l'air d'un singe botté, se dit d'un Homme petit, mal fait, qui est embarrassé dans son accoutrement.

Littré

BOTTER (bo-té) v. a.
  • 1Fournir des bottes?; faire des bottes à quelqu'un. Botter un régiment de cavalerie.

    Absolument. Ce cordonnier botte bien.

  • 2Mettre des bottes à quelqu'un. On est obligé de le botter et de le débotter.

    Substantivement. Sortant du cabinet du roi, je trouvai M. le duc et quelques courtisans distingués qui attendaient son botter dans sa chambre, Saint-Simon, 128, 162. Les dernières entrées étaient appelées au lever, un moment avant les courtisans distingués?; d'ailleurs nul privilége que le botter du roi, Saint-Simon, 455, 148.

  • 3Très trivialement, cela me botte, cela m'arrange, me convient.
  • 4Se botter, v. réfl. Mettre ses bottes. On allait partir [à la chasse] et Portland se bottait, Saint-Simon, 54, 150. Il me fâche fort de perdre de vue mon canal et mes allées dans lesquelles je me promenais sans être obligé de me botter, Guez de Balzac, Liv. IV, lett. 30.

    Se botter bien, mal, porter ordinairement des bottes bien ou mal faites.

    Se botter, se disposer à partir. M. de St-Malo se botte pour le clergé, Sévigné, 233.

    Fig. et familièrement, amasser beaucoup de terre autour de ses pieds en marchant.


HISTORIQUE

XVIe s. Les Anglois sont toujours bottez et esperonnez dans les navires, et les gens de robe longue au palais, D'Aubigné, Faen. IV, 2.


SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

BOTTER. Ajoutez?:
5 V. n. Se charger de boue, en parlant des roues d'une machine. Quand la terre est détrempée, quand les roues de la machine bottent, c'est-à-dire quand elles se chargent de terre, C. Laurent, la Liberté, 17 sept. 1868.
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Encyclopédie, 1re édition

BOTTER, (se) signifie mettre des bottes pour monter à cheval. On dit aussi qu'un cheval se botte lorsque marchant dans un terrein gras, la terre lui remplit le pié & y reste. (V)

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Wiktionnaire


Verbe 2 - français

botter \b?.te\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. (Informatique) Utiliser un bot.
    • Comment botter sur Dofus. (« Comment botter sur Dofus », WikiHow)

Verbe 1 - français

botter \b?.te\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison) (pronominal : se botter)

  1. Frapper à l'aide du pied.
    • Comme il a pris son billet d'avion au dernier moment, ça lui aura coûté un bras, voire les deux, et ça lui fera les pieds. Tu ne peux pas lui botter l'arrière-train, mais tu peux le botter au porte-monnaie. (Julia London, Un parfait arrangement, traduit de l'anglais (USA) par Véronique Fourneaux, éd. J'ai Lu, 2017, chapitre 9)
    • Elle se dandine vers moi, elle prend son élan et me botte la tronche comme si j'étais un ballon de football. (Peter Cheyney, Les femmes s'en balancent, traduction de Michelle et Boris Vian, Gallimard, 1949, page 164)
  2. (Argot) Plaire.
    • Et pour midi, ça vous botterait un restaurant ?
    • Son exaltation du don total ne me bottait pas davantage, quand on aime un homme on accepte tout de lui, disait-elle, on mangerait sa merde. (Annie Ernaux, La femme gelée, 1981, réédition Quarto Gallimard, page 363)
  3. Pourvoir quelqu'un de bottes, soit en les lui fabriquant, soit simplement en les lui vendant.
    • Quel est le cordonnier qui vous botte ?
    • Je me suis botté à ce magasin.
  4. (Transitif) Chausser quelqu'un de bottes.
  5. (Vieilli) Amasser de la terre ou de la neige sous les semelles de ses chaussures ou sous ses skis.
    • La neige, fortement ramollie par le soleil, n'avait plus aucune consistance et nous avions ôté nos crampons pour éviter de « botter ». (Samivel, L'amateur d'abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 209)
    • Botter est pénible et dangereux : les skis n'avancent plus, les pointes des crampons n'ancrent plus dans la neige glacée. (Sylvain Jouty, Hubert Odier, Dictionnaire de la montagne, Éd. Omnibus, 2009)
  6. (Transitif) (Québec) (Vulgaire) (Par extension) Faire l'amour à, copuler avec (se dit en général d'une femme).
    • Ça faisait longtemps qu'on s'était vus, elle et moi. Depuis ma dernière job au chantier de la Manicouagan. Alors, en revenant en ville, je l'ai bottée toute la nuit comme un étalon. Et puis, elle aime ça se faire botter par les soirées froides du mois de janvier. Ça la rend toute sentimentale.
    • [...] Ou, plutôt, je lui ai dit ce que je pensais d'elle et elle m'a lancé un coup de pied. ? Aïe. ? Ne te fais aucun souci, je l'ai bottée aussi. Heidi se mit à rire. ? Ça, ça m'étonnerait ! (Susan Mallery, Aux premiers jours de l'été : T1 - Une saison à Fool's Gold, Harlequin, 2012)
  7. (Pronominal) Se chausser de bottes.
    • Je vais me botter.
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

Trésor de la Langue Française informatisé


BOTTER, verbe trans.

I.? Emploi trans.
A.? HABILL. (cf. botte2). [Le suj. et le compl. d'obj. désignent une ou des pers.]
1.
a) Vx. Mettre les bottes à quelqu'un. Anton. débotter.Venez me botter (Ac.1835-1932) :
1. Il [Mario] était assis pendant qu'on le bottait, et semblait n'avoir pas la force de soulever ses petites jambes. G. Sand, Les Beaux Messieurs de Bois-Doré,t. 2, 1858, p. 214.
Rem. Attesté dans la plupart des dict. gén. du xixeet xxes. de Ac. 1798 à Quillet 1965.
b) [Le suj. désigne une autorité] Munir quelqu'un de bottes, p. ext. de chaussures. Botter un régiment.
Rem. Attesté dans la plupart des dict. gén. du xixeet xxes. de Ac. 1798 à Lar. encyclop.
? Souvent au passif. Être chaussé de. Être botté de cuir, de caoutchouc, de gros chaussons (cf. Hugo, Choses vues, 1885, p. 14).
? P. métaph. :
2. [cyrano, mourant] ? Ne me soutenez pas! ? personne! (Il va s'adosser à l'arbre.) Rien que l'arbre! (Silence.) Elle vient. Je me sens déjà botté de marbre, ? Ganté de plomb! (Il se raidit.) Oh! mais! ... Puisqu'elle est en chemin, ... E. Rostand, Cyrano de Bergerac,1898, V, 6, p. 224.
2. [Le suj. désigne un bottier] Fournir quelqu'un en bottes, p. ext. en chaussures. Quel est le cordonnier qui vous botte? (Ac.1835-1932).
? Emploi abs. Fabriquer, fournir des bottes, des chaussures. Le cordonnier/bottier botte bien, mal (Ac.1798).
3. [Le suj. désigne une botte, une chaussure] Épouser parfaitement la forme du pied, de la jambe. Cette chaussure vous botte bien. Synon. usuel chausser.
? P. métaph., fam. [Le suj. peut désigner une pers., un inanimé concr. ou abstr.] Convenir à quelqu'un. Il me botte, ça me botte. Synon. plaire :
3. ... répondez-moi tout de suite à la question suivante : voulez-vous, lundi prochain, venir me prendre chez moi vers onze heures? Nous déjeunerons ensemble, puis je vous lirai mon chapitre. Après quoi, je m'en irai à Saint-Gratien, où je dois être vers cinq heures. Si vous ne pouviez lundi, voulez-vous dîner samedi? (De samedi en huit.) Mais c'est lundi prochain qui me botterait le mieux. Flaubert, Correspondance,1879, p. 261.
4. Sézenac roulait un mouchoir entre ses mains et regardait fixement le plancher; c'était vraiment difficile de trouver un contact avec lui. ? Qu'est-ce qui ne va pas? répéta Henri. Moi je veux bien te donner encore une chance. ? Non, dit Sézenac. Le journalisme, ça ne me botte pas. S. de Beauvoir, Les Mandarins,1954, p. 125.
Rem. Attesté dans les dict. gén. du xixeet du xxes. à partir de Lar. 19e.
B.? P. méton., fam. [Botter a pour pendant botte2B] Donner un coup de pied. Botter qqn, lui botter le derrière :
5. Le mitrailleur s'arrêta encore, recommença à tirer. Dix secondes, quinze. « Fous le camp, idiot! » cria le serveur. Il commença à botter les fesses du mitrailleur, à toute volée : « Mais vas-tu foutre le camp! » Les coups de pied eurent plus d'effet que les balles et l'avance des Maures. Le tireur reprit sa mitrailleuse et cavala. Malraux, L'Espoir,1937, p. 642.
Rem. Attesté dans la plupart des dict. gén. du xxesiècle.
? SP. Botter le ballon. Frapper le ballon d'un coup de pied énergique, appuyé par des chaussures très solides, pour l'envoyer à une certaine distance ou dans le but de l'adversaire. Synon. shooter.Le corner, botté par l'extrême droit, est repris de la tête par l'avant centre qui le convertit en but (Montherlant, Les Olympiques,1924, p. 252).
Rem. 1. Attesté dans Rob., Lar. encyclop., Dub., Lar. Lang. fr. 2. On rencontre parfois un emploi abs. « le joueur botte ».
II.? Emploi pronom. réfl.
A.? [Le suj. désigne une pers.] Enfiler ses bottes :
6. Tout de suite, ils commencèrent la pêche. Bottés de caoutchouc jusqu'au faîte des cuisses, un ciré noir leur collant à l'échine, ils pataugeaient, l'aveiniau à la main. Tournefier, lui aussi, s'était botté : il marchait dans le lit de l'étang, foulant le sable moite et ferme, ... Genevoix, Raboliot,1925, p. 16.
Rem. Attesté de Ac. 1798 à Quillet 1965.
? Loc. fig. Se botter. Partir, se mettre en route. La gendarmerie se botte maintenant à tout propos pour eux [les gens du château] (Balzac, Les Paysans,1844-50, p. 69).
? P. ext. Se chausser. Se botter bien, mal (Ac. 1798). Se chausser de bonnes ou de mauvaises bottes (supra I A 3).
Rem. Attesté dans les dict. gén. du xixes. jusqu'à Guérin 1892.
B.? P. méton., vx. [Le suj. désigne une pers., un animé] Amasser de la terre sous les bottes, les chaussures, en marchant dans un terrain boueux. On ne saurait se promener dans ce jardin qu'on ne se botte. Un cheval se botte (Ac.1798-1878).
Rem. Attesté dans les dict. gén. de Ac. 1798 à DG, repris par Quillet 1965.
III.? Emploi abs. ou intrans. (supra II B)
A.? [Le suj. désigne un animé ou une partie d'animé ou un obj. en contact avec un animé] Se charger de boue ou de neige. Les crampons bottent.
? Techn., vx. [Le suj. désigne les roues d'une machine] Se charger de boue.
Rem. Attesté dans Littré, Guérin 1892, Nouv. Lar. ill., Lar. 20e.
B.? Emploi factitif, vx. Ce terrain botte (Ac. 1798); la neige botte. Être dans un état tel qu'on se couvre de boue en y marchant :
7. [La Comtesse] Allez du côté du vent sur la route, la neige ne bottera pas. J. de La Varende, Pays d'Ouche,1934, p. 52.
PRONONC. ET ORTH. : [b?te]. Fér. Crit. t. 1 1787 propose la graph. boter avec un seul t.
ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. Av. 1225 « chausser » (Reclus de Molliens, Charité, 133, 11 dans T.-L.), attest. isolée, repris en 1539 (Est.); av. 1592 botté « prêt à partir » (Montaigne dans Besch.); 1798 singe botté, avoir l'air d'un singe botté « être mal à l'aise » (Ac.); 2. 1690 « faire ou fournir des bottes » (Fur.); 1694 pronom. (Ac. : [...] Un tel se botte bien, ou se botte mal, c'est à dire, Porte ordinairement des bottes bien faites ou mal faites); 1866 « (d'une botte) s'adapter, aller » (Lar. 19e); d'où 3. 1856 fam. « convenir » (Flaubert, Correspondance, 4, 131 dans Quem.); 4. 1690 pronom. « mettre, emporter de la boue à ses pieds » (Fur.); 1868 mécan. (C. Laurent, La Liberté dans Littré Suppl.); 5. 1867 pop. « donner un coup de pied » (A. Delvau, Dict. de la lang. verte); d'où dans le lang. sportif 1926 « donner un coup de pied dans un ballon » d'apr Esn.; 1933, 20 juin (L'Auto dans A. O. Grubb, French sports neologisms, 1937, p. 21). Dér de botte2* étymol. 1; botter au sens 4 est prob. bien ant. à 1690, v. cailleboter; pour le sens 5 on peut se demander s'il ne s'agit pas d'une survivance marginale et d'un reclassement néologique de l'anc. verbe bouter* « jeter, lancer ».
STAT. ? Fréq. abs. littér. : 67.
DÉR.
Botteur, subst. masc.,sp. Joueur qui est chargé d'envoyer la balle dans les buts. Botteur de goal. Synon. plus usuel buteur.Attesté dans Rob. Suppl. 1970.? 1reattest. 1958 (A. Arnoux, Pour solde de tout compte, p. 117); dér. du rad. de botter terme de sport, suff. -eur2*.
BBG. ? Sain. Lang. par. 1920, p. 199. ? Wexler (P. J.). Pour l'ét. du vocab. des vaudevilles. In : [Mél. Cohen (M.)]. The Hague-Paris, 1970, p. 214.

BOTTER, verbe trans.
ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. Av. 1225 « chausser » (Reclus de Molliens, Charité, 133, 11 dans T.-L.), attest. isolée, repris en 1539 (Est.); av. 1592 botté « prêt à partir » (Montaigne dans Besch.); 1798 singe botté, avoir l'air d'un singe botté « être mal à l'aise » (Ac.); 2. 1690 « faire ou fournir des bottes » (Fur.); 1694 pronom. (Ac. : [...] Un tel se botte bien, ou se botte mal, c'est à dire, Porte ordinairement des bottes bien faites ou mal faites); 1866 « (d'une botte) s'adapter, aller » (Lar. 19e); d'où 3. 1856 fam. « convenir » (Flaubert, Correspondance, 4, 131 dans Quem.); 4. 1690 pronom. « mettre, emporter de la boue à ses pieds » (Fur.); 1868 mécan. (C. Laurent, La Liberté dans Littré Suppl.); 5. 1867 pop. « donner un coup de pied » (A. Delvau, Dict. de la lang. verte); d'où dans le lang. sportif 1926 « donner un coup de pied dans un ballon » d'apr Esn.; 1933, 20 juin (L'Auto dans A. O. Grubb, French sports neologisms, 1937, p. 21). Dér de botte2* étymol. 1; botter au sens 4 est prob. bien ant. à 1690, v. cailleboter; pour le sens 5 on peut se demander s'il ne s'agit pas d'une survivance marginale et d'un reclassement néologique de l'anc. verbe bouter* « jeter, lancer ».

Botter au Scrabble


Le mot botter vaut 8 points au Scrabble.

botter

Informations sur le mot botter - 6 lettres, 2 voyelles, 4 consonnes, 5 lettres uniques.

Quel nombre de points fait le mot botter au Scrabble ?


Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

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Les citations avec le mot Botter


  1. C'est pour pouvoir enfin botter les fesses
    A ces vieillards qui nous ont dit
    Que nos vingt ans que notre jeunesse
    Etaient le plus beau temps de la vie.


    Auteur : Jacques Brel - Source : Vieille (1963)


  2. Tirer sa crampe revient à botter le cul de la mort en chantant.

    Auteur : Charles Bukowski - Source : Journal d'un vieux dégueulasse (1969)


  3. Je te le redis de vivement prendre la porte. Ou je vas te botter les fesses, François!

    Auteur : Gabriel Chevallier - Source : Clochemerle (1934)


Les citations du Littré sur Botter


  1. Caillebotter se dit, en Normandie, des pommiers, lorsqu'ils fleurissent lentement, sans vigueur, et que leurs feuilles sont attaquées par les chenilles

    Auteur : DELBOULLE - Source : Gloss. de la vallée d'Yères, 1876, p. 58


  2. Encore tout poudreux et sans me débotter

    Auteur : BOILEAU - Source : Épît. VI


  3. Un cousin, abusant d'un fâcheux parentage, Veut qu'encor tout poudreux et sans me débotter, Chez vingt juges pour lui j'aille solliciter

    Auteur : BOILEAU - Source : Épît. VI


  4. Il me fâche fort de perdre de vue mon canal et mes allées dans lesquelles je me promenais sans être obligé de me botter

    Auteur : BALZ. - Source : Liv. IV, lett. 30


  5. Il fallut se débotter [que Portland se débottât] et revenir tout de suite à Paris

    Auteur : SAINT-SIMON - Source : 54, 150


  6. Un cousin, abusant d'un fâcheux parentage, Veut qu'encor tout poudreux, et sans me débotter, Chez vingt juges pour lui j'aille solliciter

    Auteur : BOILEAU - Source : Épît. VI


  7. Il m'a conté qu'il passa une fois à Langeron, et qu'il ne voulait pas s'y débotter seulement ; il y fut six semaines

    Auteur : Madame de Sévigné - Source : 20 juillet 1679




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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 17h15








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